Qui n’avait pas d’espace pour l’emplir d'amour
Avant la rechute du jour le promenant lentement
Sur ses longueur, où la nuit refaisait ses coures,
Et au moment du déclin, les miens qui noyaient
Mes doux regards finement en ses rubéfactions
Je les avais offerts aux propensions qui cillaient
Somnolentes sur l’alluvion des étranges actions.
Nous étions malhabiles devant toutes les danses
Des pléiades qui illuminaient toutes nos attentes
A chaque rabaissement des cieux vers l’évidence
Qui putréfie les temps d’une couleur aveuglante.
Et la mortification que nous en avions caressée
Au moment de l’attente, pitoyablement, sa saillie,
Nous l’avions amoindrie d’une nouvelle pensée
Pour maintenir notre bienveillance toute la nuit.
Je l’avais laissé grandir en ton cœur, mon âme
Qui n’en avait pas d’espace ailleurs pour mûrir
Et la passion que j’avais tissée sur mes trames
Juvéniles, n’en avait aucun patronyme à retenir,
Et l’amour, différent des autres, à son caractère,
Je l’avais rendu pour rehausser nos perceptions,
Mais tu n’étais pas au sommet le jour des critères
Et nous l’avions perdu entre leurs étranges actions.
dorothée cochard.
par farid khenat et non kamel et le blond menteur mohamed, rabah, et massi.
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Date: Tue, 12 Sep 2006 19:34:06 +0200
À: Farid_khenat@yahoo.fr
Objet: Autrefois, l'amour...
De: webmaster@abcpoesie.net Ajouter au carnet d'adresses
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Edited by vent, 31 October 2006 - 09:50 PM.
