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[vent]

Les moments que nous avions cédés à l’oubli
Et leurs semblables que nous céderions, aussi
Pâles comme les précédents pour les effacer,
Où tu irais belle avec un autre jour, l’harassé
Mesurant son impotence sur la pointe du soir
Piafferait absolu jusqu’au seuil de ton manoir.

Ils ne seront pas de retour ces jours lointains,
Et nous ne laisserions pas derrière leur temps
Rongeur, notre raison courir pour mener loin,
Essoufflées nos âmes qui ont cédés leur accent.

Tout est: plissure, affouillement, hégémonie et dols
Mystiques, et nous les avions vu en nos symboles
Avant la décrépitude leur rendant leur l’atonie
Simplement, pour les rendre à leur léthargie
Sélective, mais nous n’avions pas pu pénétrer
Implicitement ces morts qu’ils voulaient déterrer.

farid khenat et dorothée cochard.

les preuves:

orange, akli, daniel, ali, jerom, jacques aziz, slimane, kahina, tom, mathieu williams, xavier, raphael, rabah les pompiers, massi et compagnie n'ont rien avoir ici.

haut et fort moi farid khenat.


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Date: Sun, 10 Sep 2006 20:23:54 +0200
À: dorothe_reine@yahoo.fr
Objet: Les voleurs menteurs en acrostiches.
De: webmaster@abcpoesie.net Ajouter au carnet d'adresses
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