Les vagues qui figeaient sur leur patience ;
Les belles rives perdues dans leur silence,
Et l’espace s’empourprant dans sa querelle
Je les contemplais, autrefois telle ma belle…
Le désir qui m’appâtait d’un loue magique
N’en avait que mon âme en ses longs rets,
L'instant qui tremblotait dans ses tiques
Reprenait souvent ses lenteurs et ses rais…
Et à l’envoûtement qui recouvrait l’unisson
J’accordais mon ton ce désir et ma passion,
Pour que nulle gésine ne trépasserait naine
Dans l’esclandre des vibrations lointaines.
Les vagues s’endormaient doucereusement ;
Les rives s’asseyaient pâles sur leurs lises,
L'écart pourpre s’égarait noir au firmament
Et mes soins, je les offrais à chaque éprise.
Et vibrant en mes visions, pour la reconduire
À sa nature, à sa forme et son inégal sourire,
Je l’accompagnais furtivement à l’incartade
De cette concordance rallongeant ma ballade.
moi FARID KHENAT et dorothée et non mathieu.
et non le blond menteur said, kamel, Tl matin, rabah, claire et son complice.
opposition.
Autrefois Ma Belle.
Started by vent, Nov 10 2006 08:13 PM
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