Et les supports qui sentent le grain de cellulose,
Le style couve des yeux, quand c'est l'ennui qui ose,
La dernière succulence à ponctuer le signe.
Cette touche certaine...
Je souffre d'écrire les mots, mes traces sur les rides
Et le présent qui pose chaque grain de poussière,
Le genre donne le sens, quand le temps dégénère,
De mes imperfections à excècrer le vide.
Cette nature vorace...
Je relirai ces mots, le fil de mes autismes
Et ma vie qui inspire le grain des transparences,
Le songe rend la lumière au corps qui sait les transes
Des animosités à mes automatismes.
Cette tension polie...
Edited by belvis, 30 August 2006 - 11:11 PM.