4 replies to this topic

[bernardo]

Encore vous, errante si belle, et impérissable,
Si rêveuse, peut-être vous me comprendrez
Dans cette vie terrestre,
Cette blessure, et les plaintes qui existent :
Et celui qui se meurt, sera le dernier
Qui fanera nos traits,
Dans la disparition de notre vieux monde,
Le perdre, aussi, serait perdre toute une humanité
Toute l’intimité, de l’amour si affectueux.
Et cela vous devez le comprendre aussi
Dans le pourquoi des choses, et je regarde la vie
Du matin, au soir.
Faites taire, notre ardeur amoureuse et sans fin.
Vous savez amour (vous) dans ces amours douceâtres
Lorsque vous aviez ce sourire du printemps,
Votre regard amoureux de l’autre, et qui l'hiver
Vous réchauffiez dans ces bras, pour vous renflammer
Vous saviez mille choses amoureuses, de ces étoiles
Mille choses encore cachées, comme si simplement
Et souvent comme je vous regarde
Vous perdre si silencieusement, dans la plaine vide
Que le ciel emprisonne avec sa silhouette lointaine :
Où je vous aperçois, régulièrement
Vous et moi nous suivions ce chemin vers les étoiles :
Et lorsque je regarde les étoiles,
Qui tracent dans le ciel, de vos yeux
Méditais-je ! Je dis à moi-même :
Il y a, ces étincelles,
Dans cet air infini, et si profond
Aurore immortelle ? Dans ce visage
Dans la solitude vaste ? Qui suis-je ?

[LisAbelle]

Ce poème est une invitation à la rêverie où ombre et magie impriment une douce lumière.
Il est comparable à l'atmosphère diffusée par l'éclairage d'une bougie.
Je vous ai lu plusieurs fois avant de trouver le sommeil.
C'était un plaisir réel.
Merci.
Lisa.

Edited by LisAbelle, 27 November 2006 - 01:34 PM.

[JSCQE]

Encore vous, errante si belle, et impérissable,
Si rêveuse, peut-être vous me comprendrez
Dans cette vie terrestre,
Cette blessure, et les plaintes qui existent :
Et celui qui se meurt, sera le dernier
Qui fanera nos traits,
Dans la disparition de notre vieux monde,
Le perdre, aussi, serait perdre toute une humanité
Toute l’intimité, de l’amour si affectueux.
Et cela vous devez le comprendre aussi
Dans le pourquoi des choses, et je regarde la vie
Du matin, au soir.
Faites taire, notre ardeur amoureuse et sans fin.
Vous savez amour (vous) dans ces amours douceâtres
Lorsque vous aviez ce sourire du printemps,
Votre regard amoureux de l’autre, et qui l'hiver
Vous réchauffiez dans ces bras, pour vous renflammer
Vous saviez mille choses amoureuses, de ces étoiles
Mille choses encore cachées, comme si simplement
Et souvent comme je vous regarde
Vous perdre si silencieusement, dans la plaine vide
Que le ciel emprisonne avec sa silhouette lointaine :
Où je vous aperçois, régulièrement
Vous et moi nous suivions ce chemin vers les étoiles :
Et lorsque je regarde les étoiles,
Qui tracent dans le ciel, de vos yeux
Méditais-je ! Je dis à moi-même :
Il y a, ces étincelles,
Dans cet air infini, et si profond
Aurore immortelle ? Dans ce visage
Dans la solitude vaste ? Qui suis-je ?

Je ne peux mieux dire que lisa trés belle sinon un mot simple c'est ok. LE VIEUX.

[bernardo]

Ce poème est une invitation à la rêverie où ombre et magie impriment une douce lumière.
Il est comparable à l'atmosphère diffusée par l'éclairage d'une bougie.
Je vous ai lu plusieurs fois avant de trouver le sommeil.
C'était un plaisir réel.
Merci.
Lisa.

Mercie, de ce gentil commentaire amicale.
Amitiés .

Je ne peux mieux dire que lisa trés belle sinon un mot simple c'est ok. LE VIEUX.

Te remercie Wargnier, bien à toi et mes amitiés.

[JSCQE]

Mercie, de ce gentil commentaire amicale.
Amitiés .
Te remercie Wargnier, bien à toi et mes amitiés.

C'est moi qui te remercie car l'amitié est rare sur le site.le nombre de lectures est proportionnel aux critiques nous sommes loin de la vraie poêsie.Bien à toi . LE VIEUX.