Les pleures de on coeur résonnent de douleur,
Et souvent je l’entends lentement gémissant
Des cris de mélancolies, ces cris incessants,
Qui craque mon crâne, le felle avec ardeur.
Puis mon sang se répand sur mes joues innocentes,
Coule sur mon corps et l'irrigue violemment
Du désir perpétuel d'être enfin l'amant,
De celle que j'aime, cette femme envoûtante.
Par bonheur, mon coeur, ne cherche plus La lueur,
Cette espoir trompeur, qui, d'une triste pâleur,
Dotait son poignard de vérités illusoires,
Le plantait dans mon flanc, pour semer mon or noir.
Mes inquiétudes noires, portées par ce vent,
Ce sont révélées vrai. Et ma flamme se meurt,
Ce n'est qu'une bougie qui réchauffe mon coeur
Et réjouit mon âme au projet d'être vivant
6 replies to this topic
#1
Posted 11 December 2004 - 12:27 PM
#2
Posted 11 December 2004 - 03:18 PM
J'aime vraiment les deux derniers vers.
Mis à part quelques coquilles ; elles n'enlèvent en rien la beauté sombre des mots colorés d'amertume.
Merci pour cette lecture.
Nath
Mis à part quelques coquilles ; elles n'enlèvent en rien la beauté sombre des mots colorés d'amertume.
Merci pour cette lecture.
Nath
#3
Posted 11 June 2005 - 03:32 PM
Hop. jái changer de pseudo et j'ai retravailler ce poeme.
Les pleures de mon coeur résonnent de douleur,
Et souvent je l’entends lentement gémissant
Des cris de mélancolies, ces cris incessants,
Qui craque mon crâne, le felle avec ardeur.
Puis mon sang se répand sur mes joues innocentes,
Coule sur mon corps et l'irrigue violemment
Du désir incessant d'être enfin l'amant,
De celle que j'aime, cette femme envoûtante.
Les echos de mes pleures, ecorchent mon coeur,
Qui craque a chaque cri que gemit cette plume.
Puis ma flamme se meurs, plus jamais ne s'allume
Ce n'est qu'une bougie qui réchauffe mon coeur
Et réjouit mon âme au projet d'être vivant,
Et réjouit mon âme au projet d'être vivant ...
Les pleures de mon coeur résonnent de douleur,
Et souvent je l’entends lentement gémissant
Des cris de mélancolies, ces cris incessants,
Qui craque mon crâne, le felle avec ardeur.
Puis mon sang se répand sur mes joues innocentes,
Coule sur mon corps et l'irrigue violemment
Du désir incessant d'être enfin l'amant,
De celle que j'aime, cette femme envoûtante.
Les echos de mes pleures, ecorchent mon coeur,
Qui craque a chaque cri que gemit cette plume.
Puis ma flamme se meurs, plus jamais ne s'allume
Ce n'est qu'une bougie qui réchauffe mon coeur
Et réjouit mon âme au projet d'être vivant,
Et réjouit mon âme au projet d'être vivant ...
#4
Posted 12 June 2005 - 03:55 PM
Aucune impression? Sniff sniff, difficle d'etre seul.. sniff sniff... Puisque ca n'a point fait d'impression, est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer ce qui ne va pas dans ce poeme? trop lourd? Repetition? La forme? Deuxieme strophe inutile? J'aime beaucoup ce poeme, j'ai passer beaucoup de temps a y reflechir, j'ai vramient envie de savoir ce qui ne va pas... Toute critique est bienvenue, esperée je dirai meme... Merci d'avance!
#5
Posted 12 June 2005 - 04:36 PM
C'est beau, il y a de l'émotion et un message qui passe... Je ne vais pas te donner d'autre conseil que celui de lire beaucoup, des bons poèmes surtout, et de continuer d'écrire jusqu'à ce que mort s'en suive. Tu ne pourras que t'améliorer ! Et une remarque, c'est difficile d'être seul mais sache qu'on est seul avec pour seuls amis, nos mots et nos vers... Si la solitude t'effraie... chaque de métier :-) mais pas trop souvent de pseudos :-) Amicalement,
Lucille
Lucille
#6
Posted 12 June 2005 - 05:02 PM
Merci! Je sui desole pour le pseudo, mais c'etait y'a 8 mois, j'avais perdu mon password alors hop, j'ai changer .
Mais il n'y a rien de pire que "vivre a deux sa solitude (amateur de Brel, oui? non? personne?)", et ce n'est pas mon metier que d'ecrire, tu l'a dit l'ecriture est le seul compagnon qui ose me suivre dans
"Mes reves bercées
Par la crainte et l'emoi,
Mes nuits tourmentées
Par cette blessure au coeur,
Cette fleche planté
Sans la moindre rancoeur(...)", alors je le garde, le cultive, et le respecte...
Dure dure de parler d'amour quand on y a jamais gouté... Dure dure de parler de compagnon quand on en a jamais eu... Dure dure d'etre seul... Avec, ou sans l'ecriture...
Mais il n'y a rien de pire que "vivre a deux sa solitude (amateur de Brel, oui? non? personne?)", et ce n'est pas mon metier que d'ecrire, tu l'a dit l'ecriture est le seul compagnon qui ose me suivre dans
"Mes reves bercées
Par la crainte et l'emoi,
Mes nuits tourmentées
Par cette blessure au coeur,
Cette fleche planté
Sans la moindre rancoeur(...)", alors je le garde, le cultive, et le respecte...
Dure dure de parler d'amour quand on y a jamais gouté... Dure dure de parler de compagnon quand on en a jamais eu... Dure dure d'etre seul... Avec, ou sans l'ecriture...
#7
Posted 12 June 2005 - 05:09 PM
Ah oui... décembre 2004, je n'avais pas vu ! L'amour, je te prédis que ça viendra un jour :-) Mais ne le cherche pas (pas trop) il vient toujours au moment où on l'attend le moins et on le trouve toujours à l'endroit où n'aurait jamais pensé le trouver :-) Au fait, la solitude, je crois que ça s'apprivoise... comme le petit renard du Petit Prince !
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