Je crois que je t'aime,
Que ça me rend fou,
J'ai aperçu le bonheur,
Me suis assis dessus.
Mais il m'a fait peur,
Il n'était pas docile,
Je l'ai laissé vivre,
Aujourd'hui il m'a fuit.
J'ai tout à regreter,
Tu m'avais invité,
Mais j'ai claqué la porte,
Et puis jeté les clés.
J'essaierais bien les fenêtres,
Je voudrais tant rentrer,
Te dire que tu es belle,
Que tu habites mes pensées.
Hey Youuu
Started by kleM, Oct 24 2006 11:20 AM
6 replies to this topic
#1
Posted 24 October 2006 - 11:20 AM
#2
Posted 24 October 2006 - 11:25 AM
Ha.... que dire... si je dis que je trouve ce poeme un peu nul, je vais me faire incendier, ils ne comprendront pas que je trouve tes mots trop fades par rapport ce que tu veux exprimer, l'amour bordel ça envoie des myriades d'émotions partout, ici, dans ce poeme, je ne les trouve pas tout simplement.
J'avais oublié de dire Bienvenue dans le monde de TLP, le site le plus déroutant que je connaisse, par contre, je peux t'assurer qu'on rigole beaucoup, bon, d'autres pleurent, mais c'est comme ça TLP, des vies qui se croisent, se barrent, se délestent, bref, tu verras par toi-même si tu as la capacité de rester neutre, d'avoir du répondant, de la gentillesse, de la hargne... hé hé... voili
J'avais oublié de dire Bienvenue dans le monde de TLP, le site le plus déroutant que je connaisse, par contre, je peux t'assurer qu'on rigole beaucoup, bon, d'autres pleurent, mais c'est comme ça TLP, des vies qui se croisent, se barrent, se délestent, bref, tu verras par toi-même si tu as la capacité de rester neutre, d'avoir du répondant, de la gentillesse, de la hargne... hé hé... voili
#3
Posted 24 October 2006 - 12:04 PM
Citation (kleM @ Oct 24 2006, 11:20 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Je crois que je t'aime,
Que ça me rend fou,
J'ai aperçu le bonheur,
Me suis assis dessus.
Mais il m'a fait peur,
Il n'était pas docile,
Je l'ai laissé vivre,
Aujourd'hui il m'a fuit.
J'ai tout à regreter,
Tu m'avais invité,
Mais j'ai claqué la porte,
Et puis jeté les clés.
J'essaierais bien les fenêtres,
Je voudrais tant rentrer,
Te dire que tu es belle,
Que tu habites mes pensées.
Que ça me rend fou,
J'ai aperçu le bonheur,
Me suis assis dessus.
Mais il m'a fait peur,
Il n'était pas docile,
Je l'ai laissé vivre,
Aujourd'hui il m'a fuit.
J'ai tout à regreter,
Tu m'avais invité,
Mais j'ai claqué la porte,
Et puis jeté les clés.
J'essaierais bien les fenêtres,
Je voudrais tant rentrer,
Te dire que tu es belle,
Que tu habites mes pensées.
honnetement,
c tres bon
Mais dans il ya des habitudes a perdre
#4
Posted 24 October 2006 - 12:22 PM
Les coulures salines sinuent souvent entre ces seins qu’érige ce certain soleil au croire de la pénombre en contes de fraîcheur, voleurs de soupirs à cœur-chercheurs.
Contraste.
Gouvernemental ?
A la graisse de la Grande Mère comparée en soude germinatrice de genèses explosives se jouie un son récurrent avec des gémissements décidés de métrique. Symphonie bestiale.
Baiser avec la terre.
Ça m’excite trop !
Permission de permutation accordée sur l’angle des sangles virtuelles à l’orbite des giclées vespérales qui cherchent à alunir derrière les tétons de grêle.
Perler la liesse ou parler la laisse.
Ne surtout pas, en tout cas faciliter l’intelligence des choses.
Cette stridence de la chair où espère l’éther des inflexibles mercuriales d’une malédiction sanctifiée en tradition masochiste par phobie du bien ainsi nommé en vue de l’oblation terminale.
La pureté des vierges tueuses.
Sasser sans cesse le sens.
Seul le sang est sacré.
Je t’égorgerai bien pour le prouver…
Mais, il est impossible de mettre un préservatif sur les lampadaires, du coup les électrons éjaculent par milliards et par milliards sur les trottoirs abattoirs oeuvrant ainsi à la survie de l’erreur du remplissage total programmé sans le savoir pour la fin et depuis le moindre début.
Je s’oubli et te dis de chanter pour Elle.
Maestria. Anima sola.
Et les flammes…
Les flammes lèchent de plus en plus fort le corps qui ne s’envole plus par rémission des baguettes du Beth-Luis-Nion en toute crémation :
HURLER LE CULTE DU CARNAGE !
Cependant les flammes n’en font qu’à leur tête…
Les flammes ne fanent pas sans eau.
Les flammes fixent fièrement la fin en se pourléchant les babines, par de là le grand gouffre, derrière la forteresse des dents, là où se cachent la langue, instigatrice.
Complexion est aussi son nom.
Toujours aussi con, là se cascade la vérité.
Avec ses mousses en tampax, cette putain de vérité diffuse un soma, invariablement assimilé au coma, qui saigne les oreilles afin de les transformer en anus ou en vagin, toujours vierge.
Oréade de l’air.
Un prout quoi !
Question de fréquence.
A quoi bon valoriser celle-ci ?
La lumière de l’épiderme éclabousse de désirs l’invocation au Sauveur qui n’est autre qu’un mensonge édifiant qui déchaîne tout avant même chaque seconde. Croire corroborer un corridor.
L’étreinte d’une main géante.
Sécurité intense.
Le rictus opère sa mission de possession par le geste, pas de cerveau gauche à faire le reste, car la lune démone l’a déjà mis en transe, il n’est déjà plus lui, peut-être encore elle, qui sait ce qui se trouve entre eux ?
Vous êtes tous en camps de civilisations !
On fait déjà tout de vous !
Tiens, « On » voilà ce que je cherchais.
Quête du on.
Question ?
Mon con oui !
C’est. Les règles rubis de la grammaire inondent le monde vous incitant à une quotidienne libation d’hémoglobine, bien trop alléchante et dispensatrice de fontaine de fric.
On s’en branle, bien sur !
Vous et vos blessures si sûres.
Serrures en fait.
Défoncer devient l’ultime nécessité au dessus des canapés prédicateurs et de vos djihads journaliers.
Allez je vous en prie, prenez donc un autre terroriste s’il vous plait, cela vous fera plaisir je le sais…
Contraste.
Gouvernemental ?
A la graisse de la Grande Mère comparée en soude germinatrice de genèses explosives se jouie un son récurrent avec des gémissements décidés de métrique. Symphonie bestiale.
Baiser avec la terre.
Ça m’excite trop !
Permission de permutation accordée sur l’angle des sangles virtuelles à l’orbite des giclées vespérales qui cherchent à alunir derrière les tétons de grêle.
Perler la liesse ou parler la laisse.
Ne surtout pas, en tout cas faciliter l’intelligence des choses.
Cette stridence de la chair où espère l’éther des inflexibles mercuriales d’une malédiction sanctifiée en tradition masochiste par phobie du bien ainsi nommé en vue de l’oblation terminale.
La pureté des vierges tueuses.
Sasser sans cesse le sens.
Seul le sang est sacré.
Je t’égorgerai bien pour le prouver…
Mais, il est impossible de mettre un préservatif sur les lampadaires, du coup les électrons éjaculent par milliards et par milliards sur les trottoirs abattoirs oeuvrant ainsi à la survie de l’erreur du remplissage total programmé sans le savoir pour la fin et depuis le moindre début.
Je s’oubli et te dis de chanter pour Elle.
Maestria. Anima sola.
Et les flammes…
Les flammes lèchent de plus en plus fort le corps qui ne s’envole plus par rémission des baguettes du Beth-Luis-Nion en toute crémation :
HURLER LE CULTE DU CARNAGE !
Cependant les flammes n’en font qu’à leur tête…
Les flammes ne fanent pas sans eau.
Les flammes fixent fièrement la fin en se pourléchant les babines, par de là le grand gouffre, derrière la forteresse des dents, là où se cachent la langue, instigatrice.
Complexion est aussi son nom.
Toujours aussi con, là se cascade la vérité.
Avec ses mousses en tampax, cette putain de vérité diffuse un soma, invariablement assimilé au coma, qui saigne les oreilles afin de les transformer en anus ou en vagin, toujours vierge.
Oréade de l’air.
Un prout quoi !
Question de fréquence.
A quoi bon valoriser celle-ci ?
La lumière de l’épiderme éclabousse de désirs l’invocation au Sauveur qui n’est autre qu’un mensonge édifiant qui déchaîne tout avant même chaque seconde. Croire corroborer un corridor.
L’étreinte d’une main géante.
Sécurité intense.
Le rictus opère sa mission de possession par le geste, pas de cerveau gauche à faire le reste, car la lune démone l’a déjà mis en transe, il n’est déjà plus lui, peut-être encore elle, qui sait ce qui se trouve entre eux ?
Vous êtes tous en camps de civilisations !
On fait déjà tout de vous !
Tiens, « On » voilà ce que je cherchais.
Quête du on.
Question ?
Mon con oui !
C’est. Les règles rubis de la grammaire inondent le monde vous incitant à une quotidienne libation d’hémoglobine, bien trop alléchante et dispensatrice de fontaine de fric.
On s’en branle, bien sur !
Vous et vos blessures si sûres.
Serrures en fait.
Défoncer devient l’ultime nécessité au dessus des canapés prédicateurs et de vos djihads journaliers.
Allez je vous en prie, prenez donc un autre terroriste s’il vous plait, cela vous fera plaisir je le sais…
#5
Posted 24 October 2006 - 12:39 PM
Citation (Elysa @ Oct 24 2006, 12:25 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ha.... que dire... si je dis que je trouve ce poeme un peu nul, je vais me faire incendier, ils ne comprendront pas que je trouve tes mots trop fades par rapport ce que tu veux exprimer, l'amour bordel ça envoie des myriades d'émotions partout, ici, dans ce poeme, je ne les trouve pas tout simplement.
J'avais oublié de dire Bienvenue dans le monde de TLP, le site le plus déroutant que je connaisse, par contre, je peux t'assurer qu'on rigole beaucoup, bon, d'autres pleurent, mais c'est comme ça TLP, des vies qui se croisent, se barrent, se délestent, bref, tu verras par toi-même si tu as la capacité de rester neutre, d'avoir du répondant, de la gentillesse, de la hargne... hé hé... voili
J'avais oublié de dire Bienvenue dans le monde de TLP, le site le plus déroutant que je connaisse, par contre, je peux t'assurer qu'on rigole beaucoup, bon, d'autres pleurent, mais c'est comme ça TLP, des vies qui se croisent, se barrent, se délestent, bref, tu verras par toi-même si tu as la capacité de rester neutre, d'avoir du répondant, de la gentillesse, de la hargne... hé hé... voili
Ca n'est pas moi qui t'incendierait, les critiques sont les bienvenues !
J'écris ce qu'il me passe par la tête, selon certains contextes, c'est peut-être parfois trop imprégné, trop personnel, pour laisser une quelconque émotion perçue de tous.
Merci de l'accueil, à+
#6
Posted 24 October 2006 - 12:47 PM
Citation (Cami @ Oct 24 2006, 12:22 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Les coulures salines sinuent souvent entre ces seins qu’érige ce certain soleil au croire de la pénombre en contes de fraîcheur, voleurs de soupirs à cœur-chercheurs.
Contraste.
Gouvernemental ?
A la graisse de la Grande Mère comparée en soude germinatrice de genèses explosives se jouie un son récurrent avec des gémissements décidés de métrique. Symphonie bestiale.
Baiser avec la terre.
Ça m’excite trop !
Permission de permutation accordée sur l’angle des sangles virtuelles à l’orbite des giclées vespérales qui cherchent à alunir derrière les tétons de grêle.
Perler la liesse ou parler la laisse.
Ne surtout pas, en tout cas faciliter l’intelligence des choses.
Cette stridence de la chair où espère l’éther des inflexibles mercuriales d’une malédiction sanctifiée en tradition masochiste par phobie du bien ainsi nommé en vue de l’oblation terminale.
La pureté des vierges tueuses.
Sasser sans cesse le sens.
Seul le sang est sacré.
Je t’égorgerai bien pour le prouver…
Mais, il est impossible de mettre un préservatif sur les lampadaires, du coup les électrons éjaculent par milliards et par milliards sur les trottoirs abattoirs oeuvrant ainsi à la survie de l’erreur du remplissage total programmé sans le savoir pour la fin et depuis le moindre début.
Je s’oubli et te dis de chanter pour Elle.
Maestria. Anima sola.
Et les flammes…
Les flammes lèchent de plus en plus fort le corps qui ne s’envole plus par rémission des baguettes du Beth-Luis-Nion en toute crémation :
HURLER LE CULTE DU CARNAGE !
Cependant les flammes n’en font qu’à leur tête…
Les flammes ne fanent pas sans eau.
Les flammes fixent fièrement la fin en se pourléchant les babines, par de là le grand gouffre, derrière la forteresse des dents, là où se cachent la langue, instigatrice.
Complexion est aussi son nom.
Toujours aussi con, là se cascade la vérité.
Avec ses mousses en tampax, cette putain de vérité diffuse un soma, invariablement assimilé au coma, qui saigne les oreilles afin de les transformer en anus ou en vagin, toujours vierge.
Oréade de l’air.
Un prout quoi !
Question de fréquence.
A quoi bon valoriser celle-ci ?
La lumière de l’épiderme éclabousse de désirs l’invocation au Sauveur qui n’est autre qu’un mensonge édifiant qui déchaîne tout avant même chaque seconde. Croire corroborer un corridor.
L’étreinte d’une main géante.
Sécurité intense.
Le rictus opère sa mission de possession par le geste, pas de cerveau gauche à faire le reste, car la lune démone l’a déjà mis en transe, il n’est déjà plus lui, peut-être encore elle, qui sait ce qui se trouve entre eux ?
Vous êtes tous en camps de civilisations !
On fait déjà tout de vous !
Tiens, « On » voilà ce que je cherchais.
Quête du on.
Question ?
Mon con oui !
C’est. Les règles rubis de la grammaire inondent le monde vous incitant à une quotidienne libation d’hémoglobine, bien trop alléchante et dispensatrice de fontaine de fric.
On s’en branle, bien sur !
Vous et vos blessures si sûres.
Serrures en fait.
Défoncer devient l’ultime nécessité au dessus des canapés prédicateurs et de vos djihads journaliers.
Allez je vous en prie, prenez donc un autre terroriste s’il vous plait, cela vous fera plaisir je le sais…
Contraste.
Gouvernemental ?
A la graisse de la Grande Mère comparée en soude germinatrice de genèses explosives se jouie un son récurrent avec des gémissements décidés de métrique. Symphonie bestiale.
Baiser avec la terre.
Ça m’excite trop !
Permission de permutation accordée sur l’angle des sangles virtuelles à l’orbite des giclées vespérales qui cherchent à alunir derrière les tétons de grêle.
Perler la liesse ou parler la laisse.
Ne surtout pas, en tout cas faciliter l’intelligence des choses.
Cette stridence de la chair où espère l’éther des inflexibles mercuriales d’une malédiction sanctifiée en tradition masochiste par phobie du bien ainsi nommé en vue de l’oblation terminale.
La pureté des vierges tueuses.
Sasser sans cesse le sens.
Seul le sang est sacré.
Je t’égorgerai bien pour le prouver…
Mais, il est impossible de mettre un préservatif sur les lampadaires, du coup les électrons éjaculent par milliards et par milliards sur les trottoirs abattoirs oeuvrant ainsi à la survie de l’erreur du remplissage total programmé sans le savoir pour la fin et depuis le moindre début.
Je s’oubli et te dis de chanter pour Elle.
Maestria. Anima sola.
Et les flammes…
Les flammes lèchent de plus en plus fort le corps qui ne s’envole plus par rémission des baguettes du Beth-Luis-Nion en toute crémation :
HURLER LE CULTE DU CARNAGE !
Cependant les flammes n’en font qu’à leur tête…
Les flammes ne fanent pas sans eau.
Les flammes fixent fièrement la fin en se pourléchant les babines, par de là le grand gouffre, derrière la forteresse des dents, là où se cachent la langue, instigatrice.
Complexion est aussi son nom.
Toujours aussi con, là se cascade la vérité.
Avec ses mousses en tampax, cette putain de vérité diffuse un soma, invariablement assimilé au coma, qui saigne les oreilles afin de les transformer en anus ou en vagin, toujours vierge.
Oréade de l’air.
Un prout quoi !
Question de fréquence.
A quoi bon valoriser celle-ci ?
La lumière de l’épiderme éclabousse de désirs l’invocation au Sauveur qui n’est autre qu’un mensonge édifiant qui déchaîne tout avant même chaque seconde. Croire corroborer un corridor.
L’étreinte d’une main géante.
Sécurité intense.
Le rictus opère sa mission de possession par le geste, pas de cerveau gauche à faire le reste, car la lune démone l’a déjà mis en transe, il n’est déjà plus lui, peut-être encore elle, qui sait ce qui se trouve entre eux ?
Vous êtes tous en camps de civilisations !
On fait déjà tout de vous !
Tiens, « On » voilà ce que je cherchais.
Quête du on.
Question ?
Mon con oui !
C’est. Les règles rubis de la grammaire inondent le monde vous incitant à une quotidienne libation d’hémoglobine, bien trop alléchante et dispensatrice de fontaine de fric.
On s’en branle, bien sur !
Vous et vos blessures si sûres.
Serrures en fait.
Défoncer devient l’ultime nécessité au dessus des canapés prédicateurs et de vos djihads journaliers.
Allez je vous en prie, prenez donc un autre terroriste s’il vous plait, cela vous fera plaisir je le sais…
ouais jouasse
#7
Posted 25 October 2006 - 09:19 AM
Salut
j'aime bien les vers courts les mots pas ronflants et la lisibilité du message.
Pour le style, tu affineras avec le temps.
j'aime bien les vers courts les mots pas ronflants et la lisibilité du message.
Pour le style, tu affineras avec le temps.
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