Huruboon

bon et bien,
son et sens.

dans tous les sens

Je défie quiconque d'être moins con que moi et plus con que lui même et de me lire avec admiration.
Je défie le quelconque de retaper derrière les élucubrations d'homère qui prostré du cul redit ses cérébrées chiées par terre et admiré par son sens du beau de ses 6 ans.

Je défie la France de me faire taire et de m'épier de façon ouverte, par des putains payées pour me dire que je suis beau .
Je défie les putains de me faire croire qu'elles sont bonnes.
je défie les laids d'être beaux en leurs vers putrides et leurs pensées chiantes.

Je défie la casse dans les supermarché car moi messieurs dames pour ceux qui suivent encore,
j'ai vu les emeutes venir dans un asile de psys.annoncées de deux jours, et c'est un minimum.
J'ai vu mourir un ange par son ami destin.
j'ai vu le 11 septembre depuis bientôt 10 ans.
j'ai crié à l'attentat et j'ai sauvé des vies le jour de leur mort.
J'ai vu Saint michel et son psy.
J'ai vu l'irak messieurs du 11 septembre et j'ai pleuré le million de morts regardé pas les fous.
je me suis mouillé en dictant le tsunami.

je suis perverti par vos pervers assis sur les trônes de vos sciences parceque je prends le thé en me tordant les côtes.
je suis perverti par la raison inculquée dans mon cul qui aujourd'hui saigne.

J ai vu le professeur que j'étais ,debut sur scène, en me foutant de la gueule de mon éducation .
j'ai pleuré mon absence , la bible dans la main mais surtout j'ai pleuré l'absence de mon chemin pour elle.

je pleure le voyou que je suis.

je pleure le poète Ferré qui seul a compris.
je pleure mon père mort tous les soirs.
je pleure ma folie qui est de vous pleurer.

je pleure votre amour qui n'éxiste pas.
je pleure en egal devant vous egos.

je pleure devant mes larmes absentes quand je lis des merdes.

je ris aussi ...
o oui je ris car je sais que vous êtes fous.
on me croit génie alors que je vous écris.qui? ...mais lui! moi.

le franc maçon
fraternité et meurtre.

la poèsie : cimetière à cons dans un orifice bleu.

Ma vie suit le cour bleu des semences absentes en une vérité nue, seule avec mes rêves où le néant fait front, au bord d'un abime où souffle une sulfureuse mélopée. Je cultive mes idées dans un univers clos.

Le vase déborde en son grouillement de gargouilles qui surveillent le temps perdu.

Dieu regarde,tranquille.
Le sourire nait, et la lumière en un iris beau indique aux fous qu'ils ont raison d'y croire, en ce printemps de Mai, en cette fin de nuit qui célèbrait l'amour et qui fera date, en un long chemin froid chauffé par le lever du jour en tout point et en tout lieu, derrière la muraille lointaine, éscarpée, chancelante.

De la Terre la vie jaillit par ce sang versé pour le fruit défendu, que jammais ne voulurent sentir les anciens, de peur d'y perdre le nez disaient ils l'oeil peureux et le sourire en coin.
Non, ils n'en savaient pas plus que ce qu'ils en dirent.

Moi ce fruit, je l ai vu.
Parfaitement.
Il était laid, mais sans plus.
J'ai d abbord touché le bidule, bof. J'ai encore mon doigt.

J'ai senti et ça puait moins que de la merde par exemple.

J ai pas été jusqu'à le manger quand même, mais bon ce truc tout moche fallait en finir avec, alors je l'ai éclaté par terre,comme un con.
Ca a fait un bruit terrible! Comme plein de battements d'ailes de papillons.

Du fruit éclaté une fée en ai sortie.
Je te jure : une fée, toute blanche, avec un beau sourire. Elle a juste dit merci et pfrruit ... elle est partie, en un clin d oeil.

Tant mieux au final.

Je me suis retrouvé tout seul mais au bon moins j'avais vu une fée.

le flot revient dans sa course chaude ... en son sein renaissent les i-vraies pures et dures de sagesse.

le flot repait ouvert sa fêlure passionnelle.

vois en lui le détour que tes yeux seuls replissent, en un cil , reviens , en un signe amer, figuré en des décades postées.

le fruit défendu : je connais . le meillleur dans l histoire c'était le reptile, sur sa broche caramail.
cochon pommet.

douceur executée libre
parfum encensé
en son son;
non sens.

vibres en son absence
défonce les sourd-dingues cadrés qui suivent :
lou
marie...

flip,justice est fête en l'absence du juge,pendu à son arbre.
hop, on décroche et suite en satin,
quand octobre nous prend.

en ce terme hétero, clic, je mets deux claques aux perruqués.
Fais moi mâle donc plutôt si je comprends bien .

mal obtrut
mal apprit
mal loi
plus fort
plus vite
je mort
en
vie
en
Toi.

Reprise du souffle Baal,
Babylone perdu sous vêtre
Reprise du cul porcin que j'mange un 24 Août.
L'année est libre,l'annon, non.

Justice passée sous silence.Futur reprise des prises. acides, non ?
Certes Septante groupée en distancée partage mais bon,au final, tu seras seule, aussi...


Temps suspend ton envol et rit de ton glaive posée sur cette fourmi fumeuse.

ecroue la
ecroue la

enfermée dans sa ganja tueuse.