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[bernardo]

Elle racontait au chevrier, approche,
C'était moi qui t'attirerais,
Môme que j'étais, vers ces sépultures caverneuses,
Ou les vagues se charriant d'elle même
Rangeaient ces perles rares des bourrasques
Que polirent les goémons aux multitudes de prunelles baissées,
Uniquement au foyer lumineux ;
D'une lumière d'un Astre
Alors qu'on met la main,
Sur des fossiles de pensées primitives,
Au long de la route du ciel,
Qui se cherche dans l'univers céleste,
Se cherchant dans la montagne,
De nos mémoires dynamitées
Tu te consumerais de voir apparaître,
L'arête de la cime de tes tristesses,
Ce ruissellement de pluies de larmes,
Ce n'était pas la peine d'endiguer,
Ce flot de désespérance,
Qui inonde en rigole ton visage de Pietà.
Dans ce ruissellement,qui aveugle,
Tout un monde qui va disparaître,
Je te donnerais, mon espace temporel ;
Parce que c'est toi ,avec tes jours en moins.

Et comme chaque jour de moins,
Ses comme un sillon,qui se creuse davantage
De ma vie qui me fuit,
Et aucuns, camarade de mes pensées me souriais...

:mrgreen:

[bernardo]

:mrgreen:

Te remercie regards, d'avoir exumé une de mes poésies ...
Amitiés à toi , regard
http://chenier.blog.ca/