29 replies to this topic

[.ds.]

*


Je reviens des profondeurs de l'abîme
J'ai donné mon âme au cadran de la mort
Au labyrinthe du temps qui n'a pour mémoire
Que le miroir des spectres sans visage


Je reviens de ce rien lorsque tout s'enfuit
J'ai rencontré les profondeurs de l'abîme
Sans visage j'ai donné mon âme aux spectres
Sur le miroir du labyrinthe du temps pour mort


Vous savez ce rien lorsque tout s'enfuit


*

[Erre]

NATH, relis les paroles de Lisange: il faut parfois traverser le mur; il est parfois inévitable et nécessaire de toucher le fond de l'abîme...Ton poème a cette profondeur: Nous savons "ce rien lorsque tout s'enfuit"...Ne nous prive pas de tes mots! Accueille ta douleur et écris!

[Clara]

C'est très touchant DouceSarah. Tes vers exprime en petits couperets affutés tellemnt de douleur...
Bisous
Stéphanie

[Hauteur]

Comme est plein de mystère cette poésie,
Comme est noire la peine qui vous rend ainsi.
Mais si vous revenez des noires contingences,
C’est que dans votre esprit la paix a tué l’engeance ?

Alors, de vos écrits, reverrons-nous la pluie ?

Amitiés et plaisir à vous lire.
Hauteur

[.ds.]

Alors, de vos écrits, reverrons-nous la pluie ?

Parfois, encrée dans les profondeurs
Les cicatrices restent, est-ce la notre coeur ?
Je traverse encore parfois les abîmes et
Le labyrinthe est un Océan parfois oublié

Il m'arrive souvent dans mes songes
Et ailleurs, de rêver que je prolonge
Des instants où je ne fais qu'habiter

[gardienlouve]

Le vécu ne peut être oublié...
Une part de chaque chose subsiste..
Continuer de marcher et rêver...
A chaque âme le temps existe..

Bien à toi,
Francis

[Michel]

La nuit dans la douleur perdure
Où balance entre mauve et noir
Ce coeur qui ne peut plus revoir
Le soleil haut dans sa parure

Amicalement
Michel

Que la chute impressionne au fond du gouffre noir,
Alors qu'à peine on se relève des douleurs;
Notre corps est meurtri, - brisé est notre coeur;
L'on se sent si ténu en bas de l'entonnoir !

Mais, colombe tombée, entonne ton espoir !
Tu l'as au fond de toi, caché; il est blessé
Lui aussi, mais présent et vivant, je le sais.
Fredonne ta chanson, colombe, dès ce soir...

[Lisange]

DouceSarah, tu possèdes le nom de la mer.
Du fond de cette abyme il y a la vie.
Et la vie engendre la vie.......
Ce n'est pas rien......partir de rien
Restez debout........persister!

Que de mystères dans l'abime dans les spectres...
Très profond tes poèmes quand on y réfléchit.

Amicalement

[.ds.]

*


Je reviens des profondeurs de l'abîme
J'ai donné mon âme au cadran de la mort
Au labyrinthe du temps qui n'a pour mémoire
Que le miroir des spectres sans visage


Je reviens de ce rien lorsque tout s'enfuit
J'ai rencontré les profondeurs de l'abîme
Sans visage j'ai donné mon âme aux spectres
Sur le miroir du labyrinthe du temps pour mort


Vous savez ce rien lorsque tout s'enfuit


*

Rien à faire pour en sortir
Déprime
Folie

Je ne sais
Je continue d'écrire

[.ds.]

J'avançais avec l'âne
Je me croyais au paradis

[gardienlouve]

Ecrire c'est déjà en sortir
Le temps agira, partir...
Garde en toi cette lueur
Elle chassera tes peurs...

[Hauteur]

Alors, de vos écrits, reverrons-nous la pluie ?

Parfois, encrée dans les profondeurs
Les cicatrices restent, est-ce la notre coeur ?
Je traverse encore parfois les abîmes et
Le labyrinthe est un Océan parfois oublié

Il m'arrive souvent dans mes songes
Et ailleurs, de rêver que je prolonge
Des instants où je ne fais qu'habiter

Vous allez quelques fois au fond de ces abîmes
Là où errent les âmes qui n’ont plus de nom
Où les vents sont cinglants, où les anges ne vont
Prenez-garde que là votre cœur ne s’arrime…

Pensez à la lumière, au plaisir d’être deux,
Pensez à cet accent que les rives du Sud
Accordent aux marins dont la vie est si rude
Et qui pourtant sourient devant un ciel si bleu…

Amitié et plaisir à vous lire.
Hauteur

un tout fait de petits riens
un fou fait le lien

myk, pour cet instant

[Hauteur]

[.ds.]

Je reviens de ce rien...

[Gaston Kwizera]

je ne sais que dire...
je ne connaissais pas ce texte

"j'ai donné mon âme au cadran de la mort"

ça me glace
mais quelle lecture !

merci DS,
Kwiz'

[bohemia]

j'aime beaucoup ce texte Nath. La remontée est souvent difficile, on se bat avant tout pour être soit même...

Je te souhaite de surmonter tes peurs, continue d'écrire...

Amitiés
Bohémia

[.ds.]

Ben, des vieux trucs kwis'.

Biz+

[.ds.]

j'aime beaucoup ce texte Nath. La remontée est souvent difficile, on se bat avant tout pour être soit même...

Je te souhaite de surmonter tes peurs, continue d'écrire...

Amitiés
Bohémia

J'ai certaines craintes, dont il s'avérerait que sois devin. Mais, passées outre, je reviens de ce rien. Lecture faite, il ne s'agit pas toujours de la vie de l'auteur ; chaque jour à sa peine... et aujourd'hui ?

Merci Bohémia, je continuerai d'écrire, comment faire autrement ?

Amicalement,
Nath

[Galy]

Je sais ce rien.

[.ds.]

Je sais que tu sais ma Galy ; ta discrétion me l'a dit.

Je t'embrasse vivement,

Nath

[Galy]

Mal au ventre, Nath. Trop.
Bon vent ma Douce ...
Ta Galy.

[.ds.]

J'ai très mal également,
Mais je me tais
à quoi bon ?

Je t'embrasse + mon Amie,
Nath

[.ds.]

Sur ces mots, je vous souhaite une agréable journée espérant que vous en profiterez au mieux.
Je suis fatiguée, eh oui, pauvre humain.

Je n'aime que moi ; et lorsque j'aime, je veux tellement que la personne m'aime que j'invente n'importe quoi pour la détruire.

C'est la dernière fois que vous me voyez sur ce site malhonnête !

Complaisez-vous dans la bienséance/malveillance où ce que vous voudrez !

Pourvu que vous en soyez rois !

Je ne suis reine que de mon Amour : grand il est...

Je ne dis plus, de peur de dire. Je suis ainsi.

[Carla.]

Tu roules vers le paradis. La route est accidentée, ailleurs non.

[.ds.]

Tu roules vers le paradis. La route est accidentée, ailleurs non.

En fait pourquoi partir et fuir ?
Et ben non.

Où est cet ailleurs non accidenté Carla ?
Il n'en reste pas moins que les chemins restent sinueux, quoiqu"il en soit, rien n'est facile !

[ava80]

*
Je reviens des profondeurs de l'abîme
J'ai donné mon âme au cadran de la mort
Au labyrinthe du temps qui n'a pour mémoire
Que le miroir des spectres sans visage
Je reviens de ce rien lorsque tout s'enfuit
J'ai rencontré les profondeurs de l'abîme
Sans visage j'ai donné mon âme aux spectres
Sur le miroir du labyrinthe du temps pour mort
Vous savez ce rien lorsque tout s'enfuit
*

"Vous savez ce rien lorsque tout s'enfuit"
ce vide immense d'une ame evanouie
qd la vie n'est plus qu'une interminable nuit
oh! que ....ouiiiiii!
je connais..

Mais je presiste et j'hurle"Rien ne nous rend si grands qu'une grande douleur"
alors Doucesarah ,persiste, reviens de ce rien..
car"c'est quand on a plus d'espoir,qu'il ne faut déseperer de rien"

reviens à nous..ercis nous de ton ame douce et sensible ,car on aime te lire

bien amicalement
Nada

[FrançoisVille]

Ténébreux poème à souffrance insondable... Fort et minant...
Où est la sortie ? Peut-être dans les rapports humains...