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regard blanc

Member Since 25 Nov 2005
Offline Last Active Nov 24 2006 02:38 PM
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Topics I've Started

Rue Des 3 Ouragans

11 September 2006 - 11:01 PM

Il à provoqué 3 ouragans
Comme on dit oui au mal
Tout ce qu’il voulait
C’était ressentir à nouveau
Ce satinée effet
Qui vous Soutine le cerveau
Au top du monde, au top
Rien ne rime, mais tout deviens poésie
Aux yeux de l’effet drine
L’éffedryne comme substitut
A tout ce qu’il a connu

Il à foutu le feu a son cœur
Et haut et fort et a pleins poumons
Dans une rue d’âmes mortes
Il à crié
J’ai pas peur…emporte moi…emporte moi
J’ai pas peur.

Il s’est mis à chuchoter aux oreilles des fantômes
Des choses que l’on ne dit qu’a sa conscience
De toute façon, de toute façon
Si c’est pas aujourd’hui c’est plus tard
Et si je ne connais pas tout
Je ne connais pas tout
Je ne connais pas tout, ni par cœur car on veut toujours plus
Il y’a des mots qui traversent la rue
Et qui se font écraser par une pensée qui roulait trop vite
Et c’est comme ça, pas de quoi crier au Messie

Il à allumé trois bougies
Et puis rien
Y’avais de la lumière.

Je Demande Vôtre Aide

30 March 2006 - 08:55 PM

Je ne sais pas quels mots enlever.
Chaque mot me semble avoir sa place.
Mais je ne suis pas un cisailleur.
Je suis un ours au grosses pattes
Qui appuie des mots sur le papier
D’une main balourde.

Et y’a de l’idée, y’a de l’idée.

Mais de la à vous polir le travail.
Ben disons le en mot de gosse.
Ben chépas comment.
Jles aimes bien moi mes poèmes…même longs.
Et je ne vois pas comment faire autrement
Ai-je tort, Ai-je raison ?
Eclairez moi si vous voyez une porte
que vous pourriez m’aider à ouvrir.

Mes Mots Ne Sont Plus Ce Qu’ils étaient

30 March 2006 - 08:40 PM

Mes mots ne sont plus ce qu’ils étaient
Ils sont en constant mûrissement
Mes mots suivent un chemin
Destin
Dans les couloirs de mon cerveau.

Les sens
Capteurs des messages
Que la vie en perpétuel changement
vous communique
Comme une pluie
Sur un champ de mots.

[font=Comic Sans Ms]
[font=Arial]

Ecole Et Rat

29 March 2006 - 06:32 PM

Le monde
N’a pas été fait
Pour moi.
Ni pour
Des gens
Comme
Moi.

Le monde
Serait un autre endroit
S’il avais été fait
Pour m’accompagner
Et m’éduquer.

Je suis un mal éduqué.
Je suis un rebelle
Riant
Devant des moulins a vents.
Je suis un idiot du village
Je suis un mal adapté.

L’école.
Le début de ma vie sociale.
Chemin qui s’allumera
Devant ma nudité de différence.
Il à dit et écris
Je suis né nu.

Camarades de rire
Qui sont donc ces esprits comiques
Qui emplissent les tableaux de mots explicatifs
Les espaces sonores de vérités autoritaires.
Camarade qui avec moi
Partage l’enfance et ses difficultés
Incompréhension de son manque de conscience
Que ces adultes à conseils semblent posséder.

Ils sont conscients de la réalité
Qui les entoures
Avec des chiffres
Des lettres
Des mots
Des images
Des sons
Ils vont nourrir nos consciences
De sciences partagées.

Moi
C’est
Mon meilleur ami qui m’a vôlé un bonbon
C’est ce groupe qui est en guerre contre l’autre
Ce sont les camps que j’ai du choisir
Ce sont les maladroites cruautés de l’insouciance
Que vous envoient d’autre enfant
-je viens d’arriver, je ne connais pas encore
Les coins du monde dont sont faits ces autruis

Moi c’est cette fille que les mots mon donné
A nommer, ma première petite amie
Et des tant de rires éparpillés entre nous
Que quelqu’un devra venir balayer derrière.

Moi à l’école
Qui n’était pas faite pour moi
Parce qu’infesté de clowns adultes
Qui veulent tricoter des sciences
Dans mon jeune cerveau.

Moi
C’est l’ignorance et l’imprévisible
De ceux qui vous entourent.
Amis, amis, l’école, ensemble, qu’est ce qu’on a rigolé
Les jours en fille indienne, des mystères qui se suivent.

Apprendre par cœur ?
Par cœur ? Ces chiffres, ces mots, ces images ?
Mais je ne suis pas d’accord avec vos explications.
Je les trouve laides vos interprétations des natures
de l’histoire, des structures, des axiomes, des éléments.
Par cœur alors qu’un inconnu formidable et immense
Est la couverture de mon destin.

Par cœur pour faire semblant qu’il y’a des certitudes
Des événements réellement déroulés dont il faut se souvenir
Et d’innombrables événements qui ne méritent que l’oubli.

Mais moi, je veux apprendre
A ne pas avoir peur
De ce déplacement de mon corps et âme
Dans cet élément si riche
qu’il est le mieux vécu en ignorance.

L’école.
Un local de classe
Un professeur qui tiens dans sa main
une craie.
Il trace sur un tableau vert
Les mots avec lesquels il se cache de son ignorance
Et nous invite à nous diriger
Classe d’élèves
Vers une conscience
A l’aide des luminosités adoucissantes
Que sont les informations irréfutables
Du programme scolaire.

On m’a acheté des livres d’école
Je cries ; Mais qui vous à dit que je voulais être le produit
Intellectuel d’une école.
Je veux voler la ou les majorités ont peur.
Je veux être le moule de moi
Self-made avec ma créativité.

Des livres d’écoles.
Adjectifs :
Ennuyeux. Répétitifs. Incomplets.
Mal rédigé. No suspense.
Je ne les veux pas vos livres.
Ils puent l’idée fade.
Presque pas une odeur.
Une intuition.
Bouquins scolaires
Requins pour plaire
Au mensonges fruits de nos peurs du vide.

Vous apprenez, vous apprenez.
Vous comprenez, vous ne comprenez pas.
Vous écoutez, vous n’écoutez pas.
Bon élève.
Moi je suis un cancre.
Qu’ils sont beaux les nuages.
Et pour rien au monde je vous échangerai
Mes livres, ceux tombés sous ma main
Par les fruits du hasards et du choix
Parmi tant et tant de livres.


Livre scolaires
Rédigés par des anonymes
Dont les noms sont inscrits sur la couverture.
Et vous voulez que j’apprenne par cœur
Ce texte qui me fait pleurer tant il est dénué
De tout ces charmes dont usent les grands auteurs.
Il y’a de grands auteurs a tout sujet.

Et puis l’intérrogation.
Questions sans goût
Que je ne me pose pas.

Les noms de guerriers ?
Les noms de dirigeants ?
La formule de Pi ?
La parabole du renard ?
Le processus de photosynthèse ?
Des questions à vous boucher les couloirs des croyances.
Des avertissements de dangers,
Des monstres à vous faire passer l’envie d’explorer au travers
vos trompe-l’œil de réalité.
Fermement ancrés dans le sol du savoir commun.

Des gardiens qui souvent se moquent des idées nouvelles
Que fait grandir nôtre ignorance.

Mon ami, pourquoi est tu parti avec celle que j’aimais ?
Pourquoi est ce que Bertrand m’a fait ce compliment ?
Qui est donc cette fille que j’ai croisée dans le couloir ?

L’école.
Petit con bourreur de crâneries
Toutes ces informations qui sont
Inévitablement d’une façon ou d’une autre contredit.

ECOOOOOOOLE
Apprends moi l’ignorance.
La légèreté effrayante
De ces surprenants événements.
Le vertige de mes impuissances.
L’envol de joie de mes influences
Sois à côté de moi
Les lèvres patientes
Lorsque je développerai mes outils.
Ma façon de comprendre. Ma façon de faire.
Ma façon d’apprendre.

Professeurs
Taisez vous plus souvent.

L’enfant crois
Qu’il est venu pour vous apporter des trésors.
Qu’il as une intuition pour les savoirs.
Des sens pour les apprentissages.
Et dans son cerveau, encore en état de rêve
Encore inaccessible
La science infuse
Des outils à l’image de ses capacités.

L’école,
Mon meilleur ami qui me regarde pleurer
Le père que j’ai perdu
Une tape sur l’épaule
Il me dit que je suis courageux.

Tous Ego, Tout Egal

18 March 2006 - 12:08 PM

Il arrive qu’on se regarde dans l’âme
Miroir
Au Paradis
Je suis au Paradis
Et je vais mon chemin
Quelque chose arrive
Un échange de phrases
Un regard
Et le Paradis est assailli de questions
Comme des fléchettes
Je suis en Enfer
Quelle vie
Tant de choses qui me manquent
Tant de choses que je désire
Tant de blessures attachées à mon cœur
Le temps qui m’entoure passe
Goutte par goutte
Et la vie se fait trop longue
Pourtant
Il y a de cela
Et en Enfer cela vous semble une éternité

L’enfer et le paradis
Jouent avec les horloges du temps
Comme deux enfants
Qui se chamaillent

Le Paradis
Et le temps qui fille
Ce sont si peu de choses dans la mémoire
Cela semble s’être passé si vite
Ce temps ou vos perceptions rayonnent de soleil
Le temps s’illumine
Vôtre vie semble claire et limpide
Oui, bien sur, j’ai du passer par tel et tel chemin
Regarde moi, oooohoooo tout en haut de la montagne
Au dessus des nuages
Amoureux, amoureux, fou d’amour
Le paradis n’est pas un endroit
Il est ce qui dépend de l’autre
Des autres

Parfois un mot
Qui touche une blessure
Et le cœur
Vous glissez dans un toboggan sans fin
Il pleut, le monde est une longue pluie grise

Ce ne sont pas toujours quels mots.
C’est qui les dit.
Les chansons
Les paroles entraînantes
Des chansons avec lesquelles.
Vous pouvez dire
Ce que vous ne pouvez pas dans la vie
Vous libérez les mots
Dans la musique
Car les mots ne sont que musique
Les mots sont les marches de l’échelle
Vers la musique, vers la libération du mot.

Oh ces mots qui semblent disparaître
Dans la musique
Et au fond du cœur
Pour guérir un peu
Les plaies

Ces mélodies que l’on peut chanter
La vie à des mélodies
Et heureusement
Même l’enfer crée des mélodies
Des mots, des musiques
Et ces souffrances
Ce chemin de croix que nombreux artistes
Semblent subir
Pour que coule d’eux
Ce jus dont est fait la vie.

Entre le Paradis
Et l’enfer
Il y’a la terre.
Ce mélange inégal des deux.
Et l’ironie de son temps malléable.

J’ai très mal
Car le chemin vers l’enfer
Tout comme celui vers le Paradis
Sont difficile à suivre
Pavés de difficultés
Pavés d’incertitudes
Vous croyez qu’au Paradis les questions
Sont plus simples ?
Vous croyez que les Paradis des autres
Est plus simple que le vôtre
Parce qu’il en as les apparences ?
Le monde est totalement inégal
Il habite dans certaines personnes
Des déséquilibres vertigineux
Des inégalités de dons et de manques
Chez chacun, comme le monde
D’injustice basée sur vôtre illusoire logique
Vôtre voisin qui à sa Ferrari sa belle femme et sa villa
Vous croyez qu’en même temps il est dans des
Merdes pas possibles
Que celui qui suit la religion
Ne se trouve pas face à des dilemmes intérieurs
Irrésolubles

Oh oui, bien sur
Il y’as des vies qui semblent faire plus de musique
Mais il est aussi difficile pour cette vie la
De faire de la musique
Qu’il l’est pour une autre vie.

Avoir raison
C’est creuser un tunnel vers un point
Elément de cette surface infinie des possibles.
Nous n’aurons jamais que quelque pars raison
Et encore quelque pars
Cela indique un point géographique
Comme si la surface était un territoire

Voyez vous
Tout ne peut pas se dire
Dans le langage que vous êtes aller chercher
A un point d’origine
Choisi entre une multitude d’autres.

Oui nous sommes Pauvres.
Oui nous sommes Riches.


Oui je vois et je suis lucide.
Oh que je suis aveugle et ignorant.

N’oubliez jamais !
Vous êtes ignorant.
Vous ne serez les gardiens
Que d’une facette des réalités
Et la mémoire ne peut retenir longtemps
Les événements dénués de mots