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[Presse]

La corde du pendu frôle l’infini.
Dans un étirement effiloché
Elle descend vers la rivière.

L’entortillement du mort accroche la branche noire.

Le monde tourne autour de la divinité.

L’image.

Nous tournons autour du poil,
C’est le temps, la manipulation.

L’écoulement érige la forteresse de papier.

Le nouveau-né étouffe sous notre poids,
Il est pendu sous le pourpre de nos croyances.

Vivons les arbres noirs, nourrissons les au couteau.

J’entre dans ta boite.

[lacape]

hello presse !
des passages excellents !
bonne journée !

[Pascale]

Salut Presse !
Toujours aussi gai toi !
Mais oui des passages très beaux à mon oreille, comme les 3 premiers vers...
Pascale

[heloise]

Ah ben non Presse !
C'est la Saint-Valentin aujourd'hui
Même moi, la poétesse tragique, j'ai essayé de publier gentiment érotique aujourd'hui
Mais mon texte a été déplacé dans le salon sans modération
Ceci-dit, ton texte me plaît
Bises pour toi

[socque]

Je trouve ce poème un peu décousu... mais j'aime beaucoup
"Nous tournons autour du poil,
C’est le temps, la manipulation."
"pendu sous le pourpre de nos croyances"
"Vivons les arbres noirs"

[Presse]

Salut lacape! Oui ce texte est assez inégal.... Merci de ton passage.

Amitiés

Pascale, oui toujours des textes heureux

Amitiés

Héloïse, ton pauvre texte a été déplacé, j'irais le lire...Bon allez pour la St Valentin je vais remonter un de mes textes tout doux

Bises

Socque oui celui ci est très découpé j'ai essayé de donner une impressoin de saccade, un peu comme des flashs...

Amitiés à la critique qui était un peu fatiguée aujourdhui

[Salam]

La corde ne rompt du début à la fin
Y'a qu'à s'y accrocher
Suivre sa courbe
J'ai aimé l'idée et les images pour la restituer.