Piège de nuit
La nuit était si belle, je ne voulais la quitter
Et je ne voyait qu'elle, je m'y suis enfoncé
Je vis toute ses splendeurs comme autant d'artifices
Je vis toutes les étoiles y cherchait une piste
Je me suis inventé une vie trop altruiste
Ou j’ai perdu la raison et mon cœur d’artiste
Et je repoussait les limite de la nuit niant le jour
Je vis même la lune qui de brouillard m'a entouré
Voile de douceur entrave à ma liberté
Et puis vint l'aube, déchirant le noir de la nuit
Je ne sais qui a ouvert les rideaux de la vie
Il parait que des cœurs en ont tirés les plis
On dit qu’ils ne m’avait pas quitté, étaient là
Ils étaient rassemblés autour de moi
Ils ont pensé a moi si fort qu’ils se sont éclairés
Et puis je vis naître les couleurs de l'arc en ciel
Eclairant d'une autre lumière le chemin de la vie
Lui donnant plus de saveur et même un goût de miel
Et je quitte la nuit lui serais même a jamais infidèle
Et je finirais ma vie, entourée des rayons du soleil
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La nuit , notre nuit intérieure
18 December 2005 - 12:35 PM
Page de vie, peut être la vôtre
18 December 2005 - 12:32 PM
Les pages de la vie
Et si je tourne les pages de ma vie
Que vis je autour des bords des trous
Un peu d’amour pour quelques vies
La perte d’un amour peur d’aller au bout
Et si je relis les endroits de ma vie
Que n’ai-je d’endroit où fut l’heureux
Où quand le gris vient me réfugie
La terre est mon espace et je suis peureux
Et si je compte les amis de ma vie
Que n’ai-je perdus ceux-ci trop vite
Ou ne me suis-je protéger de suite
De leur livrer les failles qu’on n’oublie
Et si je m’écris mon reste de vie
Que les pages de mes journées
Où sens retrouvé de mes envies
Retire au fond du calice la lie
Et si je perd un jours la vie
Que je ne soit passé a côté
Où les trous sont plus petits
Dire que j’étais heureux à vos côtés
Et si je tourne les pages de ma vie
Que vis je autour des bords des trous
Un peu d’amour pour quelques vies
La perte d’un amour peur d’aller au bout
Et si je relis les endroits de ma vie
Que n’ai-je d’endroit où fut l’heureux
Où quand le gris vient me réfugie
La terre est mon espace et je suis peureux
Et si je compte les amis de ma vie
Que n’ai-je perdus ceux-ci trop vite
Ou ne me suis-je protéger de suite
De leur livrer les failles qu’on n’oublie
Et si je m’écris mon reste de vie
Que les pages de mes journées
Où sens retrouvé de mes envies
Retire au fond du calice la lie
Et si je perd un jours la vie
Que je ne soit passé a côté
Où les trous sont plus petits
Dire que j’étais heureux à vos côtés
Mes mots
17 December 2005 - 10:37 PM
Mes mots
Et naissent les mots
Et passent les heures
Q’importe les heures
Pourvu qu’il y ait le mot
Celui qui fait mouche
Celui cher a mon cœur
Celui qu’articule une bouche
Peut être apporte un bonheur
Et naissent les mots
Et passent les heures
Qu’importe le temps
Et s’ils sont si présents
Il n’y en a jamais trop
Même si je me lève tôt
Il faut écrire mes mots
Il faut canaliser le flot
Et naissent les mots
Et passent les heures
Qu’importe l’heure
Il n’est ni trop tard
Je ne sais s’il et trop tôt
Pourvu que j’aie les mots
Ceux qui disent vrais
Ceux que l’on veut beaux
Mes doigts qui s’agitent
Pour sur le papier les coucher
Il faut aller vite, vite
Plus tard les retoucher
Et naissent les mots
Et passent les heures
Pourvu qu’ils soient moi
Et naissent les mots
Et passent les heures
Q’importe les heures
Pourvu qu’il y ait le mot
Celui qui fait mouche
Celui cher a mon cœur
Celui qu’articule une bouche
Peut être apporte un bonheur
Et naissent les mots
Et passent les heures
Qu’importe le temps
Et s’ils sont si présents
Il n’y en a jamais trop
Même si je me lève tôt
Il faut écrire mes mots
Il faut canaliser le flot
Et naissent les mots
Et passent les heures
Qu’importe l’heure
Il n’est ni trop tard
Je ne sais s’il et trop tôt
Pourvu que j’aie les mots
Ceux qui disent vrais
Ceux que l’on veut beaux
Mes doigts qui s’agitent
Pour sur le papier les coucher
Il faut aller vite, vite
Plus tard les retoucher
Et naissent les mots
Et passent les heures
Pourvu qu’ils soient moi
Rose de nuit
17 December 2005 - 08:57 PM
Rose de nuit
J’avais connu en mes vertes années
Comme fleur qui ne serait jamais fanée
Et je l’ai cueillie, humée, caressée
Mais ne s’est guérie de ses racines coupées
Et je l’ai tuée de l’avoir trop aimé
J’ai trouvé en un jardin
Une rose qui fleurit le soir
Elle s’épanoui le soleil éteint
Il faut de la patience et de l’espoir
Et j’attends cette rose chaque soir
Et donne ma tendresse a boire
Et je regarde le bouton de victoire
Il me récompense par l’espoir d’un regard
C’est une rose de nuit
Qui prend sa force dans l’oubli
Et se fonde dans son puit
Et c’est sa blancheur qui irradie
Et chaque soir la regarde
Au pied de son éveil
Découvre des merveilles
Pas encore sur ses gardes
Puis je quitte la charmante
Et vais reposer mes yeux
Demain veillerais sur la plante
La protégerais des délictueux
J’avais connu en mes vertes années
Comme fleur qui ne serait jamais fanée
Et je l’ai cueillie, humée, caressée
Mais ne s’est guérie de ses racines coupées
Et je l’ai tuée de l’avoir trop aimé
J’ai trouvé en un jardin
Une rose qui fleurit le soir
Elle s’épanoui le soleil éteint
Il faut de la patience et de l’espoir
Et j’attends cette rose chaque soir
Et donne ma tendresse a boire
Et je regarde le bouton de victoire
Il me récompense par l’espoir d’un regard
C’est une rose de nuit
Qui prend sa force dans l’oubli
Et se fonde dans son puit
Et c’est sa blancheur qui irradie
Et chaque soir la regarde
Au pied de son éveil
Découvre des merveilles
Pas encore sur ses gardes
Puis je quitte la charmante
Et vais reposer mes yeux
Demain veillerais sur la plante
La protégerais des délictueux
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