23 replies to this topic

[Nobody's perfect]

J'ai pensé que
si c'est
Nous pourrions...
Et ainsi
Mais pourquoi nous...
Je ne sais pas.
Si l'ombre et le reste
Si tu et moi...
Parés de
Ah. il est parfois dur de
Quand le gris te
Et elle t'aspire pour te
Rendre les larmes dans un cri...
j'ai vu des gens et des gens et des gens mais
Je marchais lentement derrière lui
fatigue, j'étais...
Comme elle en lui comme lui en elle...
Nos corps mêlés, comme androgynes
J'expulsais le temps comme
Tu le sais, le temps m'est plus que compté
l'instant
incessant
pressant...
Faire abstraction du vide que l'on surplombe, chute..
suspendre
le temps
...
Ouf!
Je respire et nous aussi...
jusque au contact
fatal
pourquoi c'est trop dur
Reste en moi
pk j'arrive pas

pk je pleus
Mais moi je sais
Explosion analytique...
Il m'a dit
La couleur de tes cheveux...
sourire, toujours, sourire, toujours, pour être immortels...
L'arbre me manque
Retrouvons-le
Sous la tonnelle à l'abri il me sèche...
......
tes yeux me sourient et j'apprends à contempler

non sans bien ...
Je n'entends plus septembre
Je n'attends plus le temps...
Ne rien savoir en fait dans la fuite
Ne rien prévoir pour que s'offre l'innantendu.
Une ville que je connaissais mal
J'avais dû marcher longtemps
Elle m'égarait du coin de l'oeil.
En déportant ses charmes, coquine à son insu
Il y avait un joueur de saxo
Sous le halo d'un réverbère
Et de la place pour s'asseoir
Sur le trottoir
à l'ombre des couleurs
Il fallut courir sous un porche
Sa robe était déjà trempée
elle collectionnait
les mots
gros, comme des planètes telluriques
Et les jeunes félins
Lentement en ombres claires
chut... un souffle..
C'était bien cette fenêtre
Au sixième étage
Sans ascenseur
Et puis l'orage est venu,
Et le reste aussi...
les framboises étaient amères

et elle en vol plané
Une vie toute en bonheur,
Un bocal au fond de verre
où nous, insectes, nous cognons...
Et puis la pluie
Et puis plus rien
Du moins je crois
Ou je ne m'en souviens pluie...
J'ai dormi deux décennies sans toi
Deux décennies et deux mois
L'été n'avait dure que deux mois
Comme l'éternité
Quand elle est douce...
Mais l'hiver arriva dès septembre
D'un coup l'arbre se dénuda
Honte à lui, le dénudé
Octobre arriva d'un léger bruissement,
l'air se teinta été indien...
Je le suivais, haletant...
pourquoi suis-je ici, le fil m'a laissé à la rue !
Cette défaillance
Et puis plus rien
J'etais seul et pas trop mal accompagne®...
Cette sphère opaque...
les courbes déployées
Continuant sa chevauchée
l'automne se noyait de couleurs...
Je n'avais pas voulu qu'elle veuille...
J'ai attendu derrière la porte
J'entendais du bruit pourtant
Mais je crois que c'était mon imagination
Encore qui me jouait son tour...
Je suis redescendue par l'escalier
Très lentement
Mais non
Je n'ai pas entendu la porte s'ouvrir
Quand je me suis adossé
Il tombait des cordes
J'ai senti la porte
Se dérober
j'ai failli tomber mais me retenant au montant..
le couloir semblait sombre,
doucement j'ai pivote..
et avec, l'idée des semelles...
Un jeune couple voulait sortir
Dedans la nuit
Je m'excusai
Le train avait du retard
Il avait tant neigé dans la nuit
J'attendrai parce que je l'aime
Aussi bête que cela s'écrit
La rue pourtant
était déserte
La fin d'une chaîne, a comme un goût d'oiseau
La fin du jour n'a pas qu'un goût d'orage
Ah cette immobilité qui se noie..
Je ne voulais pas qu'il bouge
Ce n'était plus un être
Je ne voulais pas qu'il respire
Je ne voulais pas qu'il meure
Je voulais toujours plus comme d'habitude
L’enfer c'est les autres
sauf ...
Ma fille qui écrit son premier mot
et
... un petit garçon qui devait épeler ses mots samedi soir
comme d'un oubli
c'était triste
et remarquable
Un regret que je remis a la bouche
On sait jamais...
Il est déjà l'automne
Le temps n'est plus mon allié
et la vie s'est enfuie en hiver
(c'est en hiver seulement...)
Il neige en septembre
Hier pourtant
L'été encore
vers un mois d'août inachevé
qui attend son nouveau cru..
Comme un dédain de nuages
Je hais ces ombres sur ton visage
Elles me rappellent et m'ennuient
Me ramènent vers d'autres nuits...
...un certain soir d'été
c'était en août je crois (j'ai su j'ai oublié)
sous un porche passage de la Vicomté
je t'ai tenue tu m'as embrassé...
Je ne sais plus
Mais j'avais si mal ce soir là
Que la nuit devint bélière
Et je cognai mon rude petit crâne
Contre tous les trains de passage
Dans le brouhaha j'ai reconnu ta tendresse
Cachée dans un de tes gestes...
Je n'étais plus que violence
Le quai si paisible
La pendule truquée
Il manquait un bouton à ma manche

Tu n’étais plus là
Non
Je repensai à Raskolnikov
Comme j'aime mes yeux qui s'ouvrent
sur la baie qui s'étend à perte de moi
ton ombre s'éclipsant..
Tu vivais près de la cathédrale
Une vieille petite maison
Au 17 de la rue des...
J’avais noté l’adresse
Sur un bout de papier
Une tonne de bouts de papier
A mettre à la poubelle…
Je n'ai eu qu'à pousser la porte
Il y avait cette photo sur le lit
Une bouteille d'un vin jaune
Et tes vêtements à terre
Un autre groupe venait par là
La rue pourtant était déserte
Qu’y avait-il derrière cette porte ?
Un salon Anglais, une giga teuf ?
et la nuit m'a jeté dans un coin
Il n'y avait rien d'autre
Les verres dans l'évier
Des gouttes poisseuses sur la table
Le vin avait chahuté vos lèvres
Ce vin racontait tout
Comme une folle vieille femme
Dans ces villages agricoles.
Il éclatait en rire...
J'ai replié les vêtements
Essuyé la table
Lavé les verres
Et bu le reste du vin
A même la bouteille
A même le sol
Sous l'ombre du meuble en formica blanc
Devant cette photo des vacances...
Des larmes blanches
Un désespoir blanc
J'ai fracassé la bouteille
Les tessons étaient blancs
et le jour qui fracasse comme avant le déluge
déverse et l'emporta seule...
Le soir s'épanche d'indifférence
Il n'est plus d'heure
Sinon un petit vent me chahutait
Sinon un enfant peut être au loin jouait
Sinon je ne sais plus...
pour combien de temps encore serais-je dérivable?
Il suffisait d'allumer la petite lampe
De choisir un long tesson
Et de fermer la fenêtre
Pour ne plus croire au bruit des pas
"Bonjour, cher 011010100010100110101001011001"
"Je ne comprend pas.
Pourtant, hier encore, j'étais un coeur et une âme"

"Tais toi, 011010100010100110101001011001."
Adieu.

Tout ce que l'on mérite.
ah dis à eux...

et t'où ce qui ce.. mais ris pas....

ah m'aime les mots..

allo?
Mon portable était muet
Depuis lundi
Non c'était mardi
Ou n'importe quel jour
C'était avant en tout cas
à l'huile
C'était une aquarelle
Délicieusement désuète
Tu ne la quittais pas des yeux
J'étais là
Devant une oeuvre monstrueuse
Mais puissante et troublante
la vie est belle
je fais qu'imaginer pourtant
m'en fous,
la vie est belle.
le simple fait de respirer casse toute idée de suicide.
les fous rires avec mon frère, aussi.
La vie est autre
Parfois
Pas trop souvent
je suis,
et quoi d'autre?
Bon, et cette explosion alors, qu’en était-il ?
Alors l’âme ce serait éprouver le monde à l’envers ?
J'avance vers Ailleurs
Mais mon âme ne suit pas
Ainsi je serai seule
A deux pas des cinémas
Dans cet endroit que l'on nomme
C.....................
Et après ce bref repos
Me réveillant de leur rire magistral
Et grinçant
Pablo et Mozart viendront me chercher
Il y aura là aussi un cinéma
Avec un très grand écran
Et là, revoyant nos vies
On aura un peu honte d'avoir été aussi mesquin
....
Un peu lasse
D'un si long voyage
Je te laisserai me défaire
De mes bagages superflus

J'ai oser vivre
Pardon je ne recommencerais plus...
Je suis née près d'un arbre
Planté dans une cour pavée
Du dix-huitième siècle
Il n'a plus jamais refleuri
Et à nouveau pourtant
Et malgré-moi
Avec moins de bagages
Avec moins de fleurs
Il va falloir tout revivre
Ils me l'ont dit
C'est ainsi que parlait Zarathushtra
Ce siècle le plus beau
Nous le connûmes des lèvres
Nous le vîmes a terre et a sang
Ce sang qui fait les hommes...
pressés des temps des arcs
Si tu ne sais pas quoi faire de ta tête, met moi tes cheveux dans les yeux.
Ce sera alors un temps
où la réalité deviendra preception,
où la réalité deviendra abstraite.
Car
j'aurai mangé le concret
...

C'est amusant de n'exister que par bouchées.
Le monde est obèse.
ce monde est un mac do stellaire
L'erreur est humaine et le monde est horreur.
c'est a nous de vivre,
à nous de détruire,
a nous de manger,
manger pour vomir.
Je me baignais de lumière sous ce néon
Pour me rappeler un soleil
Qui m'avait souvent ouvert ces bras
Des étés durant...
Les nuits si courtes de juin
Ne me laissent pas le temps
De pénétrer tes rêves
Je ne peux plus qu'attendre
Septembre
Les raisins la pourriture
Des premières feuilles
Laissons place au bonheur malheureux
J'écrirais ma vie a tout rompre
A en perdre la voix...
des cliques et des coches
tout au fond des poches...
Et du silence
A n'en plus entendre nos voix...
et puis j'y glisse ma main,
et là dans cette petite poche ci
légers cliquetis d'une douce mélodie
sous cette petite porte cochère,
ah comme il m'est chaud ton sourire..
si j'étais autre
je serais juste un sourire de deux instants.
J'hurle ma haine au sommet des montagnes
Pour que mon ennemi ne sache a quel point
Je l'ai tué mille fois et qu'il vive...
du sang
encore sur
du sang
cicatrice
sussure
du sang
pas sûr
de verser
sans lendemain
le sang
sèche dur
versé
stoppé
son verset
vers
supputons

el Sur!
Ce fut un été de sécheresse
Tel que
La montagne resta rouge
Sous la première neige
d'un sourire étiré entre deux instants
se dessine le pont des soupirs
sur les rives du canal
s'invitent les bancs
Les yeux nous manquent dans cette solitude,
le jugement aussi.
Il faisait presque nuit
Nous cherchions la gare
Pour nous enfuir
Nous n'avions pas 8 ans
Et déjà des mauvaises notes
Ta beauté n'avait d'égale
Et notre amour plus beau encore
Nous y baignèrent nos corps...
par instants, j'ai cru être fou
j'ai aimé
le croire
Par moments, j'ai cru entre nous
A une marée
Montante...
Il se passa toute une année
Où je devins provisoire
et puis et puis...
sous ce petit réverbère là
un chat interroge un petit garçon
il se tient sous le banc
à l'abri d'une ondée passagère...
Passagère
Comme passait l'air sous ta jupe...
viens mignonne
être le vent tiède
sur les têtes.
Et l'abri dont
Je rêve
Un soir de tempête...
Des bêtes
parfois simplement d’autres que nous
croisés sous les arbres qui dorment – seuls.
puis une tempête
renversa
aspira
laissant à nu
sans rien qui les habillent..
J'ai bu le sang
D'une orange tombée
A nos pieds
J'ai bu au pied
D'un sang
Tombé sous l'orange
J'ai cru amant
Le temps d'un baiser
Aux fruits défendus...
j'ai renversé mon vers
et laisse se répandre
les mot'ments magiques
Je rentrerai à pied
J'ai le temps
Personne ne m'attend
Pas même un chien
Elle m'avait retenu
D'un geste d'un parfum
Nouveau, inconnu...
je mangerais
tout tout tout
ce qu'il y a à manger
j'épargnerais pas tes lèvres
je te mangerais!
parce que tu sens la fraise!
s'étale en une flaque
où voilà que je me mire
et me verse cet autre vers
saveur d'or'ange
En relisant ta lettre
Un mot a retenu mon attention
Et m'a poursuivi tout cet après-midi
Il me disait entre les lignes...
petit poisson dans un bocal
long vent chaud sur les écailles
et
petit poisson dans une malle
long vent chaud sur les écailles
petit gardon est tombé vif
dans le champ chaud
petit gardon frétille tout chaud.
Et le merle qui ne disait rien
Comme moi il te fixait des yeux
Et puis tu es parti.
Il a repris sa chanson...
tes mains l'ont dit
mieux que mille mots,
les miennes aussi..
Une ombre m'avait parcouru,
Ton regard s'était absenté,
Et puis nous sommes montés dans la voiture
Pour partir voir tes parents...
On oublie toujours quelque chose quand on se sépare.
Tu as conservé mes "accords et désaccords";
Qu'en as-tu fait ?
Je n'ai su que garder ton briquet et sa flamme.
La ranimer ?
Repartir flambant neuf
Se répartir les miettes de moi
Flamboyant
Ai-je le droit d'y croire
(le droit d'y voir)
Le doigt d'ivoire...?
m'emporte
et me déporte
là où je ne suis pas
j'y reste pas..
je pars Balthazar
je vais
je suinte le sang de la terre
l'éther
des vins
Orange
Et vert
Un peu de bleu
Et d'envers
Une terre tourne
L'univers...
univers :

des ondes
grises comme des cortex
des amours
de soleil
de rivières de soleil
plus de couleurs
plus d'images
plus de folies
plus de compréhension
nous sommes
la chute des soirs
nous ne serons pas
vous seules savez flaques grises
les blés coupés
la poussière
les fins de jours.
nous ne serons plus
quand la lune mange les choses descendantes
les odeurs des têtes passées
les toits expirent
nous ne seront plus
dans un souffle
de cheminée.

pardonnez moi l'écriture automatique

mais bon.
La pluie et le beau temps
Comme avant
Les mêmes images dans nos miroirs
les mêmes brouillards de l'illusoire.
Combien de gouttes de pluie dans les nuages aux blancs purs
Qui défont les soleils collés sur les affiches de nos murs ?
juillet me ricanerait
août s'essoufflerait
septembre m'interrogera
puis l'été indien glissera
au seuil d'octobre
si la neige de décembre
imprime ses traces
Je suis l'aveugle dans le consentement
Sous les rafales des mots gluants
Collés à l'asphalte de ma peau
des rafales d'aveugles se collent consentant sur ma peau gluante
comme les mots sous l'asphalte.
La cime se terre dans les vents humides des chaleurs équatoriales...
hier était un jour pair
et pôle contre épaule
à deux mains j'emporte le jour qui pointe..
les jours pairs
je me perd
les jours impairs
je me perd en imper

l'impéra-tifs en bataille.
je ne voudrais pas faire d'impair
passe et manque
(tu m'as loupé
je t'ai manqué ?)
Tu sais la guerre
C'est si beau tous ces hommes qui tombent au ralenti
Non
Il faudra bien un jour
Que l'on efface
Toutes les traces
De nos amours
Achevés...
Pile,
Soit je fais pile,
En plein dans l’mile ;
Ou face,
Soit je fais face
Juste pile en face
De toi mais tranches !
oh, yeah.
ce rai au couchant joue à cache cache parmi les feuilles de l'arbre au coin de la rue
puis s'allonge à son repos,
demain brillera encore
...s'il le veut bien
le soleil chauffe encore
mais pour combien de temps
la nuit est courte
elle sera blanche
ton corps côte à côte avec le mien...
Brillera il me semble que ce futur réchauffe
Déjà!

[heloise]

Ben y en a plein à moi là dedans
Bonne idée que t'as eue my little virtual sister
Kisses

[Artemisia]

j'ai eu l'impression de voir un film en super accéléré....

Tu as mis tout le forum dans le désordre ?

Est-ce que si l'on bat un jeu de cartes pendant très longtemps, on peut finir par remettre les cartes dans l'ordre ?

Artemisia

[Nobody's perfect]

Ben y en a plein à moi là dedans
Bonne idée que t'as eue my little virtual sister
Kisses

Lorsque je vous ai lus, tous, j'ai eu l'envie de tout rassembler, que cela puisse former quelque-chose et sincérement, c'est beau, des phrases, des suites qui se mêlent si bien les unes les autres, bien sur, il y en a de toi, j'ai pris tout ceci dans le petit salon il me semble ou sur le forum de discussion, je ne sais plus,
Je t'embrasse ma douce Hélo.

j'ai eu l'impression de voir un film en super accéléré....

Tu as mis tout le forum dans le désordre ?

Est-ce que si l'on bat un jeu de cartes pendant très longtemps, on peut finir par remettre les cartes dans l'ordre ?

Artemisia

Presse avait commencé par : "J'ai pensé que", certains d'entre vous ont continué, seulement (vu que je suis un peu chiante pour lire", j'ai tout rassemblé ce qui donne ce fabuleux texte!! et voilà!

Bisous et bonne lecture!Presse et .. etc..

[gilonimo]

....
Non
....

c'est de moi ça.

je suis fier.

[belvis]

Super sympa d'avoir eu cette initiative.

en plus, cela donne un beau texte,
en toute amitié,
écrit avec les deux doigts de mille mains...

[Nobody's perfect]

Oui c'est ce qu'il y a de plus beau sur ce site, lorsque tous poètes sont capable d'écrire ce genre de choses et non se tuer à coup de mots débiles.

[Artemisia]

oh oui!
c'est superbe, ça donne un texte d'amitié...
Artemisia

[INFONTE]

Oh, yeah !
Je crois que pour moi c'était Papedouh ouah yeah !
Tant qu'à me citer, citez moi exactement, je vous en prie ...
Bref pour les droits d'auteur, je crois que nous pouvons ... nous brosser.
Dire que j'ai aimé ... oui, je suis un narcissique :
J'étais la touffe de cheveux en haut à droite de la photo.
Souriez !
Amitiés.

[le hamster]

J'aime bien nous relire. Je trouve que c'est un poème (très surréaliste) mais très abouti. L'inspiration naît de l'écrit des autres, et relance dans une éternelle dynamique l'écriture.

Félice avait déjà tout recollé à un moment donné et l'avait envoyé en MP à ses auteurs multiples. Mais il méritait bien d'être remis en entier sur le Forum (merci Elysa).

Il mériterait une lecture publique (mais on peut toujours rêver )
Une raison d'exister pour TLP...?

[Nobody's perfect]

Sourire,......... ha oui, il y a juste une chose que je n'ai pas retranscrite, c'était une sorte de "lalalalalalalalalalallalalallalalalalalllalllalalalallalalalalalallalalalla
lala
lalalalalalalalallalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalal
alalalalalalalalalalalalalaalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalala
lalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalala
alalalaalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalala
lalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalaalalalalalalalalalalalalalal
alalalalalalalalala

ceci est une musique" Cloud...


Je ne savais pas que notre Félice avait tout recollé, navrée une lecture publique, à plusieurs voix alors, les vôtres, certainement, oui, ce serait bien, mais est-ce faisable? si chaque personne qui l'a écrit s'enregistrait, why not...
Bises à toi Christophe

Kiss encore Artémisia

Infonte, ben t'es où????

[gilonimo]

Sorry, en fait j'avais écris ça :

..... la
....

j'espère que celui à qui je me suis attribué son
""...non...""
me pardonnera.

[Gaston Kwizera]

...
Non
...

[le hamster]

Bandes de rapaces... c'est à Héloïse ce non !!!

(Je sais, parce que je suis, moi... )

[Protoss]

Un peu court mais touchant

Protoss

[le hamster]

on pourrait en faire encore et encore des petits élans de vie comme ça en mélangeant les mots des poètes et l'été serait gai..

...mieux qu'à regarder le foot à la télé en vidant des bières

[balila]

Une très belle idée, Elysa !

Comme l'exprime Christophe, un texe surréaliste ! Que j'ai pris grand plaisir à lire. Il y a là des vers, des pensées, des images, remarquables.

Merci à toi pour ce joli travail.

balila

[Charlie]

Allez allez on se mélange!

Charlock

[lilyandra]

Je crains le pire !

[Nobody's perfect]

Je ne vais que me répéter, mais ce sont "eux" qui ont fait tout le boulot, moi, je n'ai que copié collé les textes, alors, les remerciements ne sont pas pour moi mais merci tout de même, puis, si il y en a qui veulent recommencer.... ben why not.... Kiss all

[lacape]

hello élysa !!
quel boulot !! chapeau !! bonne idée
bizz !! bonne journée !!

[Nobody's perfect]

hello élysa !!
quel boulot !! chapeau !! bonne idée
bizz !! bonne journée !!

Kiss aussi M'sieur Lacape!!!!!!

[labelledeschamps]

et alors là, je dis bravo ...
mais,
du déjà vu !
et oui, il y a quelques temps,
notre
ami
Gilonimo
avait sévi ;
comme les " grands esprits "
se rencontrent
attention aux bosses !

http://www.toutelapo...topic=15649&hl=

[Nobody's perfect]

La belle, vu que ce n'est pas le même texte, je suis soulagée, puis, juste une chose au passage, son truc date de 2004, je n'etais pas encore inscrite à cette époque, tu me vois désolée de n'avoir pas lu tous les textes de TLP.... thanks de ta visite....

Absolument.
Au début j'allais te dire : "ce "non" m'appartient".
Mais là nononon pas besoin. bravo pour cette humilité. De toutes façon, j'avais déposé aux droits d'auteur.

Bravo à toi Elysa d'avoir tout recopié, même avec les fautes....
Et de contribuer à notre gloire (je dis ça malgré ma modeste participation).
Un peu long à lire peut-être....

Bon enfin, A+

Oui, c'est long, mais bon... pour les fautes, j'en ai corrigé qqs unes, mais si tu veux t'amuser...

A+