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[iahhel]

Ô Femmes

Ô Femme belle maîtresse,
je vous dédie ce pli d'amour !

Maître de mes mots je tresse
de ma plume tous les atours,
qui t'habillerons ma déesse
de ces paroles de velours.

Ô Femme divine maîtresse,
ébrasera tu l'épigramme ;

De l'axiome que je caresse
de l'apex de ma lame,
veniel et qui me blesse,
au plus profond de mon âme.

Ô Femmes toi ma maîtresse,
pour qui j'écris avec passion ;

Cette aphorisme qui si doux
est probe fruit d'une émotion,
de mon coeur qui est jaloux
que je t'offre ma dévotion.

Ô femme âme maîtresse,
toi qui récoltes la moisson ;

D'un épigraphe de tristesse
Retrenscrivant la fenaison,
des sentiments que je laisse
se répendrent sur ce brouillon.

Ô Femme cruelle maîtresse,
c'est l'heure de clore cette opuscule ;

Et par ces lignes belles chasseresses
qui touchent à leurs crépuscule,
je t'adresse toute ma tendresse
et m'épanche en préambule...


Iah-hel
le 28 fevrier 2005

[Zapiski id podpolia]

c la journee de la femme?


Cuila est mieux que lautre.