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Voilà, Enfin. Partie 4.


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2 replies to this topic

#1 Averroès

Averroès

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  • TLPsien
  • 61 posts
  • Parcours poétique:j'ai tout fait, j'ai tout lu, chuis le meilleur

Posted 10 October 2006 - 08:27 PM

Le bûcheron tend sa hache, il ne peut faire encore, tout au plus une turbine pointée sur son occipital; il coupe sans relâche un morceaux de bois. C’est affligeant, aucune rectitude sur son visage, tout rondouillard, les traits enfantins. La courte envolée d’un Sisyphe éternel, figé, un bout de bois figé, pas plus qu’un chant de sécheresse, d’absurde sur absurde, irrémédiablement morne. De ces photographies tout en émane, en d’autres termes, de simples vies soudaines irrémédiablement mornes. Je le vois hélas, avec sa chemise à carreaux bleus, et ce petit air de merde, tellement explicite et sans mystère. Putain, il a la connerie de rire des fleurs, non, pas les fleurs. Personne ne salit dieu. Tout au plus ses suceuses. Rien à foutre, après tout je ne suis pas fils de l’exil, ni l’image de la misère. Que dire? Aucunes étincelles sous mon silence de merde, je suis l’intéressant d’une vie radotée. Mon père ne m’a jamais violé, ma mère ne s’est jamais autorisé à manger son père, je n’ai pas plus écouté de la musique pop que le premier couillon à l’horizon venu, bref, je n’ai jamais compris le capitalisme, ses médias, ses sardines moches. Et pourtant, rien à foutre, car j’en ai rien à foutre. Lequel de ces bouffons à préféré l’égalité? Et l’autre qui s’y met en parlant d’esprit à la française… Mais merde bordel ! Possibilité, et oui. Encore. Et si hier il ne s’était rien passé?

Alors là, je fume mon blaze, tu vois, là, tranquille, placide, je n’ai pas de tilleul, seulement du dylan. L’automne me déteste. Mais j’emmerde l’automne. Tu veux des phrases de cinq lignes, faire comme si la littérature se réduisait à la performance, au happening merdique de ces artistes fouteurs de gueule? Mon dieu que je les kiffe ces cons. Ils les ont baisé, plutôt bien baisé. Arte Povera mon cul. Je m’arrêterai ici. Ceci dit en passant, je n’ai pas passé plus de 5 heures à écrire ce que j’ai écris, et pourrais éventuellement, si j‘en avais le courage, composer des phrases sur des pages entières. Vois le maître, le type qui peut tout écrire. J’avais été jusqu’à lire herbert. Mais j’étais jeune. Harry Potter reste malgré tout un passage de ma vie. Un passage que j’estime et qui en dépit de tout ce qu’on a osé dire, m’a tout aussi transformé que les métamorphoses d’Ovide que je n’ai toujours pas lu. Il était au programme de Terminale L, c’est pour cela que je m’en réfère. Sur lui même, sur son corps et son esprit, l’individu est souverain. Quel rapport? Non, mon joint se consume. Est-ce donc bien vrai? J’ai vu pire, en particulier mes psy, jeunes, et cela: qu’est ce que quelqu’un ferait si il disait cela? Après tout, non? Austin. Mini Mini. Dire et faire. Compliqué. Capitalisme déterminant. Mais l’homme? Merde. Une anguille. Oui.

Sans jamais être brillant, je parviens néanmoins à tirer ces horribles cordes suspendus, vers le sol où j’aime poser mes pieds. Que tire t-elles? Sûrement le monde qui j’entend bien est ma représentation et de pauvres opinions sur celui ci, différentes. De nouvelles façons, j‘aborde tout, de façon multiple. Le sexe de mon ancienne copine peut-être examiner par tous les points de vue, esthétiques, moraux, sociologiques, scientifiques, etc... Oui, c’est un certain temps qui me faut pour tenter de les saisir et de me les approprier. Ses idées. Malheureusement, je ne suis jamais seul. Non, il me faut aller voir, écouter ces quelques risibles personnages parler à télévision. Psychologues. Non sérieux, un des seuls type que je trouve doué de pertinence est ce brave Zemmour. Ce type est magique. Cool, il expose ses propos sans grande cruauté, bien que son constat, souvent consternant, approche quasi parfois la vérité, sa perfection, il est un type du type intellectuel pur. Quasi philosophe, stéréotype parfait du contre stéréotype écervelés, un type qui touche à tout, et pullulent de brillances sociologiques. Non, chapeau, il est l’un des rares que j’estime profondément. Marrant. Bref, pas 10 balles pour une pipe. Veuillez bien vous assurez que j’ironise à chaque mot placé. Car je ne sais plus. Non, plus rien. C’est presque devenu triste.

Un passé communiste. Moi, comme pseudo bourgeois issu de la classe moyenne, si cet adjectif peut encore avoir un sens, loin de la lutte des classes, responsabilisé par d’ignobles ignares sur la relation que mes ancêtres « les » blancs eurent avec les esclaves noirs; sous prétexte que j’ai choisit la liberté? Débiles connards. L’islam, son pouvoir, contre la liberté. Tant que je ne nuie pas à autrui, quel mal fais-je? Un patron peut-il nuire? Pas tant qu’il n’impose pas aux hommes de travailler. C’est clair, concis, pas plus compliqué que ça. Ck’i y’a de bien avec cette voie la, qui est celle de la liberté, ou caricaturale ment de la droite, c’est qu’elle offre à la l’homme la possibilité, de faire ou de ne pas faire, de vivre ou de ne pas vivre etc… Rien pour la paresse, ou si, seulement l’écriture. Intégration? Rien du tout, ils n’ont pas su saisir la portée de cette possibilité. Et leur putain de constat à ses suceuses de chiffres s’avère bien trop fataliste pour accroché la moindre bribe de vérité. J’ai pas vu les statistiques, mais les hommes dehors, des cités aux trottoirs. Des deux cents jets de zetla topés dans les trucs les plus insalubres de France. Des clodos ou putes perdus du côté de la zone industrielle de malaga, laissé sur le pavé. Je ne sais pas de quoi je parle, mais je dis ce que je sais. T’es perdu? Normal, effet de style. Au mieux. Brindilles vertes, au pire, Ché Guevarra.

Je porte un tee-shirt à son effigie sous titré Révolution en jaune. Non, je n’en ai toujours pas honte, après tout, ce n’est qu’un tee-shirt comme un autre. Ils n’avaient qu’à pas créer les salopes, puis c’est vrai, une fille qui aime la baise n’est pas plus coupable que celui qui l’insulte. Ils ont zappé Platon, ché pas moi ! Ils se sont crée par la fausse télévision et leurs parents à moitié abrutis. Et ces enculés passent toutes leurs merdes sur le compte de leurs HLM pourris. Faut arrêter sérieux, je ne savais que psychologiquement le domicile influait sur les pulsions auto-destructrices de l’homme, mais y’a de quoi se poser des questions. Ils se sont pourris d’eux même. Avions nous le devoir de les aider? Non, et nous l’avons fait, et nous le faisons encore. La liberté n’a plus de devoir. Sinon celui de s’arrêter là où commence la celle des autres. Point. Fraternité. Nique sa mère, à part les politiques, de surfaces, je vois pas. D’ailleurs je vois rien. Pourquoi nous reprochent t-ils de vivre en paix? Se réclamer haut et fier de son inculture, quelle connerie ! Heureusement la rumeur, la théorie du tonton. Et tant que tu ne respecteras pas la salope que ta bêtise et ton coran trucide et sur laquelle toi et ton père se branle, je t’assassinerai de toute mon écriture. Hypocrite couille molle.

Si je ne parle pas de la bible c’est qu’elle n’a plus d’intérêt vivant, du moins, elle n’a plus le pouvoir d’affirmer sa voie comme c’était le cas auparavant. Nous sommes devenus forts, ininstrumentalisables (de droit, loi de séparation etc…) et je n’extrapolerai pas sur l’Afrique, car je parle bel et bien de ce que je crois connaître. Car Sodome est une connerie sur la tête de votre dieu. Acte lamentable. Vive le sida. Désolé pédés. Il faut bien que la mort arrive. Pédés? Car seuls eux peuvent répondre. Oui, les africains ne font qu’en mourir. Convivialité, tolérance; quand les mots remplacent mes actes et que l’on me condamne de mort sous prétexte d’avoir lâché quelques mots. Je vois Soral en particulier. Oui, y’a un problème. De la Fatwa au coup de pute sioniste, tout est con. Faisons la guerre, oui, mais celle des mots, celle des idées. Y’a moins d’enjeux. Clair. Mais plus de tranquillité. L’irrespect n’est que violence, physique j’entends, et mieux vaut être trop honnête pour être poli que trop poli pour être honnête. Ça, jlé piqué à Sponville.

Alors tu retiens bien. Tant que je ne fais pas de mal au gens, physiquement, car seul le mal physique est véritable, tu fermes ta gueule, toi n’importe qui, philosophe blanc, lascar juif, théologien musulman, campagnard de Jonzac, et même toi la loi. Si j’me drogue, tu me laisses, Artaud t’a déjà écrit une belle lettre y’a plus de 60 ans. Ce que je pense, tu laisses aussi, d’autant plus et c’est tout à mon honneur, que j’essaye, à coup de grandes aventures, de préserver au mieux cette indépendance vis à vis de ces conventions instrumentalisées par des médias toujours plus putes et puissants, via le capitalisme et ses obligations. Le pire, c’est que j’men fous. J’veux juste être kiltran même en chiant sur les juifs. De toute façon, ils peuvent faire de même, ça serait vraiment cool. Voilà la liberté. Liberté d’être con à temps partiel, méchant, irrespectueux, bien que la notion de respect n’a plus grand sens en littérature. Depuis pas mal de temps déjà. Quand on a lu Dostoïevski, on a tout lu, 2500 ans de conneries, on peut tout faire. J’ai besoin d’une femme de quoi combler ce manque d’affection sans écriture, drogues ou autres thérapies.

Mes projets suscitent le bonheur auquel mon corps se voue jour après jour car je vois tout dans le futur, car j’ai saisi que je pouvais tout faire. Quelle pute que cette Angot ringarde. Ma vie, ma vie. Ma vie. Rien compris bordel ! Absolument rien saisi ! Regarde ces deux tours. Brûlées. Ces deux avions. Regarde les et contemple béatement ton inutilité. Depuis quand les images sont-elles tabou? Ah la provocation ! qui anime tout écrivain. Les femmes ne savent pas ce que c’est, elles connaissent tout au plus la connerie, encore que sur l’humour elles n’ont jamais su se rendre visibles, à quelques exceptions prêt. Demeurant néanmoins essentielles à l’écriture, de l’écrivain, les femmes, les femmes. J’exclu là, j’en ai déjà parlé, les lesbiennes forgerons comme Florence Forestie ou l’autre naze de Muriel Robin (parce que bien loin des kifs de ma génération). La notion de respect a t-elle encore un sens, en littérature? J’me vois très vite dans les Nabe ou les Houellebecq, en meilleur bien sûr, puis je n’ai pas lu Nabe. Disons que je ne m’assujetti pas à subir la trame, l’intrigue, la censure. Tu parleras de Daniel ou de Bruno en négligeant les 90% de ses rendez vous passés seul avec lui seul, le faisant aller de droite à gauche, à poil, ou le faisant manger un kébab sans tomates, tandis que je ne parlerai que des trucs, c’est vaste des trucs, avec moi et moi seul pour moyen. Moi libre. Une question me vient alors à l’esprit. Quelle est la valeur littéraire de ce génocide juif? Sa liberté. Admirez moi, je suis libre, et nique la pierre de Spinoza. Si je pense ceci… non, j’avoue, irréfutable.

Un genre de journal qui se propose d’amener le lecteur aux interrogations futiles de la vie par le biais de quelques paroles pertinentes. J’ai bien dit quelques, je dis trop quelques, d’ailleurs même le pertinent est con. Et j’pourrais écrire vos trucs, jle sent, mais je n’en ai pas envie parce que je trouve ça moche. J’encule toute la famille de Jonathan Little merde. Sans oublier son livre de baltringue. Cette thèse qui affirme que l’écrivain, rien à voir avec son livre ou avec ce type là, je change complètement de registre, c’est sec, direct, regarde, il t’est impossible de me suivre, oui, donc, cette thèse qui affirme que l’homme est écrivain car il est avant tout déséquilibré est une thèse de merde, appréciée malgré tout par les femmes. Non, je n’ai pas eu la chance de faire la guerre en Irak, alors voir en moi l’écrivain, steuplait quoi ! L’antithèse de toute cette merde est je suis le meilleur des prosateurs de ce début XXIème. Ça se sent, putain c’est certain. Je propose conscience, non pas la vie de Paul ou de l’évangile selon saint Mathieu, mais ce que je suis. Le possible. Anticipation de moi même. Tuant également le subi de la vie, le contraint, limité. Je sodomise une puce. Ma conscience est. Tain, chuis pas même méchant quoi ! Chelou.

Je baise. Oui, je baise l’islam, rien à voir avec les cons de la « nouvelle vague », je baise son pouvoir, rien que son pouvoir. Une foi pure et extérieure aux salauds, à l’unique livre. De toute façon, faut pas se prendre la tête, tant qu’y a du respect en règle général, le paradis est à trois quart acquis. Il est offert pleinement lorsque l’homme respecte l’homme dés sa première année adulte. Les enfants en sortent. À croire que j’irai sûr. C’est l’essentiel. Penser à soi par l’intermédiaire de tous, puis penser à tous par l’intermédiaire de soi. Clair chuis humaniste, mais on me fera pas avaler le féminisme sadique. La parité d’accord, mais pas à n’importe quel prix, surtout pas au prix de l’incompétence, surtout pas au prix du « nous sommes civilisés et modernes ». Quelle fantasmagorie, tu aimes mon phrasé, que de choisir les premiers noirs venus de la rue qui longe les locaux, sous prétexte que dans l’entreprise y’a 10 blancs pour 2 noirs. J’ai faillit dit l’inverse, quel lapsus ça aurait été ! Faut se suicider maintenant. Faire des études, blancs, noirs ou sulfate de cuir métro-sexuel, on ne prend que les meilleurs, et le reste, c’est pour faire beau. J’m’autocritique stu veux, jpeux te parler de ma bite pendant des heures. J’entrevois plus ou moins ma misère, une chance que de parler d’elle. Ma bite est belle, et longue, et bien grosse. J’ai eu 15 ans, la règle et tout ces genres de trucs. J’en ai seulement honte quand elle est au repos, elle est terrifiante, bien que dans le miroir, j’ai eu aussi 17 ans, elle paraît très viril. Ça, c’était pour Soral. Psychanalyste refoulé. Soyons cool, whaou, et foufou. Et cesse de chialer, tu souilles mes clarks.

Type pathétiquement normal, j’n’ écris ni pour la reconnaissance ni pour la notoriété, mais bel et bien pour tout buter. Vraiment tout niquer. Sauf les politiques, qui à eux seuls, mériteraient une infinités de bouquins de merde. Responsable de rien, je ne suis ni les blancs, ni la France. Tes attaques sont en sel. Et Napoléon, et Napoléon? Mais cesse mec, c’est con, t’es con. C’est toi qui t’es vendu bouffon, si toutefois tu te considérerais stupidement être tes ancêtres. Tout explique l’histoire, elle n’est pas sans raison, bien que des raisons peuvent être parfois absurdes. Et même absurdes, elles restent des raisons. On quitte en deux deux le manichéisme et associe le tout au tout. Le blanc est le noir quand il n’y a pas de lumière. J’ai toujours été dans l’ombre. L’écologie d’accord, mais quand elle condamne des peuples à la famine, stop. On ne tue pas des bébés phoques pour rien, surtout lorsqu’on est pauvre. Alors vive les bébés phoques en sang quand il s’agit de faire vivre une famille entière. Tu n’aimes pas le côté rustique de la chasse? Ils n’ont pas encore d’abattoir comme chez nous, non, ils laissent leurs proies en liberté. Désolé Brigitte. Empêcher l’homme de se détruire? Alors empêchons l’homme de faire des hommes. Tout trouve son vaccin, la science ou le néant. Confiance, j’ai lu de la science-fiction. La science, ou la seule chose. À quand le prochain Nobel Français? Donnez nous une chance d’exister sous vos télé-réalités nuisibles. Politique ou médias, je comprend que la France s’enlise et stagne. Le subversif est mort, car inconnu ou interdit d’antenne. Ou tout simplement avili par la confédération des faux frères ecclésiastiques, musulmans de tournevis. Entre autre. Un exemple parmi tant.

#2 jkounine

jkounine

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  • TLPsien
  • 292 posts

Posted 10 October 2006 - 08:33 PM

Ton truc c branche et bon pour france inter;
Tinkiet je pompe pas

#3 Averroès

Averroès

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  • TLPsien
  • 61 posts
  • Parcours poétique:j'ai tout fait, j'ai tout lu, chuis le meilleur

Posted 10 October 2006 - 08:36 PM

lol. non, ça c'était marrant. sérieux.




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