Au profond de mes paumes sensitives
Tu as gravé nos émois clandestins
Une porte était restée ouverte
J’ai frotté mes tempes
Et ils sont devenus souvenances
Un orage plus loin
Je m’abîmais sur les non-dits
Crénelés
De nos déviances
Le temps nous a manqué
Disais-tu
Et pourtant
Les décennies m’entraînent à vau-l’eau
Me vois-tu
Ecartelée par les chevaux
Des quatre âges de ma vie ?
Je me préfère
Somptueuse suicidée
Ruisselant ton sperme et mes fards
Tu ne me verras jamais vieille
Je resterai unique et gravée
Empreinte indélébile
De tes paumes sensitives
De longue mémoire
Started by heloise, Oct 12 2005 12:15 PM
6 replies to this topic
#1
Posted 12 October 2005 - 12:15 PM
#2
Posted 12 October 2005 - 01:04 PM
un texte beau par sa désespérance !
je t'embrasse 1 ière fois
je t'embrasse 1 ière fois
#3
Posted 12 October 2005 - 05:49 PM
Ton humeur sombre ne te quitte plus, Hélo. Mais que tes vers sont beaux.
Je t'embrasse
Laurence
Je t'embrasse
Laurence
#4
Posted 12 October 2005 - 07:21 PM
Un très beau poème.
Vraiment.
Vraiment.
#5
Posted 12 October 2005 - 08:04 PM
Merci Domi
Finalement la vie ne vaut rien
Je t'embrasse (1e fois)
Finalement la vie ne vaut rien
Je t'embrasse (1e fois)
#6
Posted 12 October 2005 - 09:09 PM
Merci Laurence
Les anti-dép ne peuvent plus rien pour moi
Je file un mauvais coton comme l'on disait à Roubaix !
Les anti-dép ne peuvent plus rien pour moi
Je file un mauvais coton comme l'on disait à Roubaix !
#7
Posted 13 October 2005 - 08:16 AM
Merci de ton passage Parisian
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