j'aurais davantage pensé
que selon tout ce que j'ai lu de vous
vous aurez réagi aux vers suivant :

Et méfie-toi aussi du sourire
Qui comme un oiseau qui passe
Reviendra couver un nid de larmes

néanmoins j'apprécie votre avis

Michel

c'est fait !

je vous crois matinale
donc pas trop nocturne
pour jouer à la marelle des mots

Michel

bon je vois que j'ai bien mal planché
pas grave
vous n'aimez pas non plus "aimer malgré tout"
plus poètique non ?

Amitiés
Michel

bon si vous repasser
le présent convient
mais ne brûler pas votre corsage
le fer parfois est chaud

impression que nous mobilisons le site
seul Raoul tient la distance


amitiés
Michel

si si je l'ai écouté en bloucle
j'ai compris qu'on vouvait
cliquer sur plein de morceaux
c'est bien dans le troisième mouvement du troisième
que vous vouliez me faire entendre votre voix
ensuite a suivi l'adagio du deuxième piano concerto
comme vous semblez faire du pîano
j'ai cru que vous en étiez l'interprète


attention mon MP est parait-il plein
je ne sais même pas y accéder
et moins encore le vider
cela s'est produit en 2004
depuis tout à changer
je ne prête plus attention au mp
mais je crois que l'on peut utiliser l'email
attention à l'épuisement

Amitiés

sans vous ?
je doute !
depuis que vous éveillez ce site

Amitiés
Michel

ben oui c'est voulu
pourquoi ?
d'abord pour intriguer
et cela semble marcher auprès des lecteurs
pour qui l'amour ne peut pas être décisionnel
il est normalement instinctif inexplicable irrationnel
ne dit-on pas "tomber amoureux"
sans savoir comment ni pourquoi

alors ?

mais une fois que l'on est pris au piège de l'amour
que faire ?
soit on se laisse balotter par les circonstances
soit on décide d'aimer quoiqu'il arrive
pas forcement dans une fidélité routinière
mais dans une constance d'aimer
et d'aller jusqu'au bout
"aimer malgré tout"
aurait pu aussi être le titre
par volonté implacable
sans jamais douter de l'amour
aimer sans appel
pas forcément d'une façon absolue
simplement d'une manière volontaire
sans jamais lacher prise
en surmontant les échecs
les déconvenues la souffrance
sans peur ni du chagrin ni des convenances


j'essaie de le dire poètiquement :

sur chacune de nos épaules
comme un oiseau migrateur
ce n'est pas le monde que nous portons
mais seulement le bleu du temps
qui est l'amour
par la nécessaire décision de l'admettre
tel qu'il nous est donné de le sentir
sur chacune de nos épaules
et même si on s'égare en chemin

voilà j'ai planché

Amitiés
Michel

j'écoute effectivement le final du troisième concerto de Rachmaninov
on approche de la fin

il n'y a pas de choeur ni de soprano
dans ce final
où est votre voix ?

ah oui ce sont vos doigts
et par eux votre âme

Please m'en dire plus sur cette radio blog club
un centre d'achat ?
un centre d'écoute personnalisé ?

tiens on passe à l'adagio du deuxième concerto
je reste en ligne
tout en retournant sur TLP
j'aurais en plus vos mots

Michel

si vous avez une voix de sirène
dois-je me faire attacher au mat du navire
comme Ulysse ?

amitiés
Michel

Michel,

Celle-là, n'est jamais douce.
Plutôt amère...
[/quote]

ce n'est qu'un peu d'humour
envers une faute d'orthographe
sans plus

Amitiés
Michel

cher Raoul

je sais que tu as un esprit espiègle et jongleur
qui égaie ce site

dois-je répondre ?

Je pense que ta requète est une envie
de me faire plancher pour rien
comme lors d'un examen
remarque pour l'examen
parfois on est reçu

ton ironie joyeuse montre que
tu comprends parfaitement ce poème

Amitiés
MIchel


c'est une proposition
très érotique
Caliel
le désir serait-il décisionnel
à ce point ?

amitiés
Michel

A propos

dans votre poème "berce"
vous avez ommis
de nous dire
à quelle oeuvre de Rachmaninov
ce poème est du
le second mouvement du deuxième concerto ?

Amitiés
Michel

Caliel

suite à votre message concernant "se justifier"

je voulais souligner un autre aspect du site
qui me frappe beaucoup

quand on essaie de faire des remarques dites "constructives"
le plus souvent elles portent sur la forme
une fausse rime, un rythme brisé, un mot mal approprié
une structure bancale des répétitions inutiles etc...
je constate que l'auteur le plus souvent se justifie sur le fond
alors que le fond n'est que très rarement remis en cause
ce qui est normal il appartient en propre à l'auteur
ce qui m'éloigne toujours de moindres polémiques
qui parfois empoissonnent le site
c'est tout
remarque sur la forme
et hop on justifie le fond
curieux non ?

Amitiés
Michel

le présent
ne nous dit pas toujours tout

Amitiés
Michel

j'ai bien aimé entre autres
les jeux de mots comme :

"C’est une demande
En alliage
Si l'envie d’étain
Sur l'aura de cuivre"

Amitiés
Michel

Merci Caliel
pour cette analyse peu commune
je n'ai pas souvenir d'en avoir vu
des comme celle-ci
mais bien des choses peuvent m'échapper
dans ce site
en outre il n'est pas fréquent d'avoir la curiosité
de fouiller la case recherche

beaucoup lisent les poèmes de la première page
ou les toutes premières
en particulier ceux des auteurs qui les commentent
politesse oblige c'est la moindre des choses

personnellement comme les autres
je fouille aussi les premières pages
c'est long de lire plus encore de commenter
aussi lorsque je tombe sur un poème réussi, émouvant,
original ou tout simplement délicieux

j'ai cette curiosité dans la rubrique recherche
d'aller lire d'autres poèmes du même auteur
quand je ne le connais pas encore

Ah oui, vous souhaitez avoir un éclaircissement
sur ces deux vers :

"Parce que l’amour n’a plus le temps
De se compter ni de se regarder"

comme vous l'avez souligné en gras
ces deux vers sont liés au départ dans la même strophe
à des vers qui les précèdent
à savoir en remontant vers le haut :

"Il est à l’amour profond"

"Car le temps de vivre"

"Que nul ne rie de cet amour"

tous entrecoupés d'images
que vous avez mises d'ailleurs en italiques

bon si on supprime les images
qui coupent ces vers on a le texte suivant :

Que nul ne rie de cet amour
Car le temps de vivre
est (sous-entendu dans le sens "appartient") à l’amour profond
"Parce que l’amour (sous-entendu profond vrai évitant la répétition) n’a plus le temps
De se compter ni de se regarder"
au passage attention "il est "revient sur "cet amour" plus haut

ce qui signifie que dans la vie
le temps de vivre est compté
et que la quète de l'amour véritable
le fameux "amour toujours"
si vous préférez
n'a guère de temps devant lui au regard
des autres amours éphémères
souvent inachevés manqués gaspillés perdus
même pas le temps de se compter parmi les autres
ni de se regarder allusion
à cette célèbre citation de Saint Exupéry
"aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre,
c'est regarder ensemble dans la même direction"
donc vraiment peu de temps dans notre temps à vivre

je crois qu'il y a un vers d'Aragon qui dit :
"Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard"
si on remplace "vivre" par "aimer"
vous avez là l'explication

bref dans une vie où l'on perd trop d'occasions
de réussir un amour le temps de trouver l'amour vrai
nous est toujours compté ce qui explique aussi
qu'on passe sa vie à chercher l'amour sans y parvenir le plus souvent
allons ne soyons pas trop pessimistes il existe dieu merci des exceptions

quand on utilise en poèsie un style serré
le plus raccourci possible à chaque vers
volontairement déroutant
coupé d'images où peut se perdre le lecteur
c'est uniquement pour l'amener
comme vous l'avez fait
à se poser des questions
et pour reprendre un terme à la mode
espérer livrer une "poèsie interactive"

Amitiés
Michel

oui
pendant un temps
il y avait une rubrique sonore
mais je crois qu'une cette initiative
consommait beaucoup de ressources en octets
le son étant plus gourmand que l'écrit
difficile à perpétuer
en cas de succès

Amitiés
Michel

je m'en doutais
cette rime
n'est en rien voulue
mais spontanée
ou inconsciente
c'est votre style
fluide comme dit héloise

Amitiés
Michel

je ne connaissais pas cet écrit de Barbara

merci d'avoir pris la peine de copier
en son entier

Amicalement
Michel

encore !

et pour combien de temps ?

ne soyez pas trop longue
à vivre votre vie poètique
sinon à votre retour
beaucoup de membres ne seront
hélas plus parmi nous

Amitiés
Michel

A mon humble avis

c'est beaucoup mieux
et même mélodieux

bravo

Amicalement
MIchel

"Apprenez M. et Mme les prétentieux que le lecteur n'a pas à se justifier ;
l'auteur certainement, le lecteur jamais."

Harry

je partage totalement ce principe de liberté d'expression

chaque lecteur est libre de lire et commenter à sa guise ce qu'il veut comme il veut sans contrainte et cette règle est celle de ce site depuis ses débuts
chaque lecteur est libre aussi d'encourager par un commentaire un nouvel arrivant, un débutant encore malhabile, un auteur délaissé ou de commenter un poème tombé dans les oubliettes ou passé rapidement à la trappe quand la mise en ligne des poèmes est prolifique et l'accumulation rapide et passe inaperçu, comme de relancer la lecture d'un poème qui le mérite.

ce n'est pas être prétentieux mais solidaire

quand à se justifier sachez que cela ne sert pas à grand chose !

amicalement
MIchel

quoi !
vous avez trouvé la mort deux ans après
cela explique votre absence sur le site d'août 2004 à août 2006

Michel

l'aube
ne meurt jamais
elle renaît

cela dit
autour d'un tel leitmotiv
tout peut se produire

si si !!

amicalement
Michel