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[roseaupensant]

Entrez donc en grande ire ! Ebouriffez vous l'âme !
Ne peut que divertir, la jeune que je suis,
Qui se ferait plaisir à calmer dans le drame
Vos vieux nerfs mis à vif, votre coeur en sursis...


On parle à ce sujet de la petite mort,
Si c'est dans vos bras blanc, je veux subir ce sort,
Quant à ce pauvre coeur, vous ne sauriez mieux dire
Un jour je conterai ce qu'il a dû subir...

:-))

[Nady-Mary]

On parle à ce sujet de la petite mort,
Si c'est dans vos bras blanc, je veux subir ce sort,
Quant à ce pauvre coeur, vous ne sauriez mieux dire
Un jour je conterai ce qu'il a dû subir...

:-))

Si j'en crois à votre âge, il en faudrait des jours
Pour que vous me contiez votre passé si lourd :wink:
Mais je vous parlais là de détendre vos nerfs
Et que vous évitiez de vous rouler par terre.

Mais là mon bon ami, vous m'occupez l'esprit
Faites tourner le temps au risque que j'oublie
L'arrivée en la gare, à défaut je l'attends,
Ce train... et mon billet dérobé cependant...

)

Dîtes les tourtereaux ça devient énervant
votre chassé croisé énamouré brûlant !
faudrait pas oublier, le titre de ce fil
et ce soufflet ma foi, roseau je vous le file !

:wink: :wink:

[Nady-Mary]

Dîtes les tourtereaux ça devient énervant
votre chassé croisé énamouré brûlant !
faudrait pas oublier, le titre de ce fil
et ce soufflet ma foi, roseau je vous le file !

:wink: :wink:

Bah enfin vous voilà ! Venez à mon secours !
Vous avez votre place au banc des favorites,
Et je vois que "l'Ancien" radotera toujours,
Pour ma part, vous savez, je ne suis qu'en transit... :wink:

[roseaupensant]

" Dîtes les tourtereaux ça devient énervant
votre chassé croisé énamouré brûlant !
faudrait pas oublier, le titre de ce fil
et ce soufflet ma foi, roseau je vous le file !"

-Elles se croisent dans l'heure et se toisent pour moi !
Ah! que j'en suis heureux, ici je suis le roi,
Violaine à bout, enfin, me le donne ce soufflet,
Aux pommes, pas sur la pomme..ça m'coup'rait le sifflet !

:-))

Bah enfin vous voilà ! Venez à mon secours !
Vous avez votre place au banc des favorites,
Et je vois que "l'Ancien" radotera toujours,
Pour ma part, vous savez, je ne suis qu'en transit...

-L'ancien sans majuscule parle à qui veut l'entendre
Il en sait des merveilles qui enchantent les filles
Tenez, à preuve ce fil qui ne cesse de se tendre
Grâce au doux souvenir d'un jour à la Bastille..

:-))

"Si j'en crois à votre âge, il en faudrait des jours
Pour que vous me contiez votre passé si lourd

-Nenni ce n'est pas ce que vous croyez ouïr !

Mais je vous parlais là de détendre vos nerfs
Et que vous évitiez de vous rouler par terre.

-Faisons du trempoline..voyez c'que je veux dire ?

"Mais là mon bon ami, vous m'occupez l'esprit
- Ce n'est qu'un premier pas, vous me faites rougir !

"Faites tourner le temps au risque que j'oublie "
Je vous assure que non ..guili,guili,guili..

"L'arrivée en la gare, à défaut je l'attends,
Ce train... et mon billet dérobé cependant... "

-Jamais je ne rendrai ce billet de première,
J'en ai payé le prix..c'est ma rente viagère !

:-))

[Nady-Mary]

Il est si délicat d'exceller en ce sport,
Il faut être une plume, en cela je le suis,
Mais pirourette en avant à vous briser le corps
Et vrille en arrière donneraient des soucis...

Oublions s'il vous plaît alors le trempoline,
En passant par la poutre ainsi que barres fixes,
Les anneaux, le cheval car tout cela me mine,
A croire que pour vous le muscle est idée fixe... :wink:

[roseaupensant]

"Il est si délicat d'exceller en ce sport,
Il faut être une plume, en cela je le suis,
Mais pirourette en avant à vous briser le corps
Et vrille en arrière donneraient des soucis...

Oublions s'il vous plaît alors le trempoline,
En passant par la poutre ainsi que barres fixes,
Les anneaux, le cheval car tout cela me mine,
A croire que pour vous le muscle est idée fixe.."


Vos arguments ma chère me rappellent une comptine :

" Mademoiselle voulez-vous danser ?
-Non Monsieur j'ai trop mal aux pieds,
-Mademoiselle nous irons doucement,
-Oui, Monsieur vous êtes si galant. "

Il est vrai que mon muscle, cardiaque, n'a pas de spleen.

Que proposez-vous donc pour être en harmonie
Avec vos envolées ? Dites Nady-Mary ?


:-))

[Nady-Mary]

Une valse à l'endroit... quelques pas à l'envers...
Vous devez être adroit, certes non en misère,
Pour me combler de joie en ma robe Princière,
Et vous dire l'émoi que je ne saurais taire...

:wink:

[roseaupensant]

" Une valse à l'endroit... quelques pas à l'envers...
Vous devez être adroit, certes non en misère,
Pour me combler de joie en ma robe Princière,
Et vous dire l'émoi que je ne saurais taire...


En vous prenant la taille j'irai au bout du bal
Là où ne vont que ceux qui frôlent les étoiles
Votre robe est légère, mousseline, musicale,
Deux ailes à mes tendons, je hisse la grand'voile.

Voulez-vous prendre barque pour aller à Cythère ?
Je vous offre la carte de Dame de Scudéry,
Quelle escale sera nôtre comme halte premiére ?
IL en est d'effrontées d'autres d'espiégleries..

:-))

[Erre]

Dîtes les tourtereaux ça devient énervant
votre chassé croisé énamouré brûlant !
faudrait pas oublier, le titre de ce fil
et ce soufflet ma foi, roseau je vous le file !

:wink: :wink:

Vas-y Violaine, décoche- lui un marron
Te laisse pas faire, c'était toi la première !
Montre-lui un peu à ce galant sans façon
Ce que vaut femme mûre, hissons haut la jarr'tière !

La Duchesse

[Hauteur]

Le roseau ne ploie plus, désetant nos étangs,
A vaincre sans péril il a périt d'ennui
Revenez vous frotter aux fers de l'ennemi
Je vous promet le sel des feux de vos vingt ans...

Amitié
Hauteur

[roseaupensant]

"Le roseau ne ploie plus, désertant nos étangs,
A vaincre sans péril il a périt d'ennui
Revenez vous frotter aux fers de l'ennemi
Je vous promet le sel des feux de vos vingt ans..."

******************************************

" Un jour sur un forum allait je ne sais où.."
Hauteur fier de ses vers tel Isidore Izou
S'en revenant de guerre aprés une longue absence,
S'en vint jeter défi à propos d'éloquence.

Roseau qui ne dormait que d'un oeil, entreprit
De dire au jouvenceau : " Qui te rend si hardi,
"Toi qu'on ne vit jamais les armes à la main ?"
Es-tu si las d'écrire pour forcer ton destin ?

Tu prétendrai ici, taquiner le Géronte ?
Oser brandir ta plume contre lui et sans honte ?
Ne sais-tu pas d'avance que ton combat est vain,
Que l'aieul a vaincu plus de mille écrivains ?

Si tu tiens à la vie retourne en ta demeure,
Et tiens toi coi l'ami . Toi qui te nommes Hauteur,
Pense à ta pauvre mère..et pense à son chagrin,
Si elle venait à perdre son tendre chérubin.


:-))


Flamberge au vent !

[Hauteur]

" Un jour sur un forum allait je ne sais où.."
Hauteur fier de ses vers tel Isidore Izou
S'en revenant de guerre aprés une longue absence,
S'en vint jeter défi à propos d'éloquence.

Roseau qui ne dormait que d'un oeil, entreprit
De dire au jouvenceau : " Qui te rend si hardi,
"Toi qu'on ne vit jamais les armes à la main ?"
Es-tu si las d'écrire pour forcer ton destin ?

Tu prétendrai ici, taquiner le Géronte ?
Oser brandir ta plume contre lui et sans honte ?
Ne sais-tu pas d'avance que ton combat est vain,
Que l'aieul a vaincu plus de mille écrivains ?

Si tu tiens à la vie retourne en ta demeure,
Et tiens toi coi l'ami .  Toi qui te nommes Hauteur,
Pense à ta pauvre mère..et pense à son chagrin,
Si elle venait à perdre son tendre chérubin.


:-))


Flamberge au vent !

Tiens voilà le roseau ! Enfin vous revenez !
Vous avez fière allure mais vous trompez sur moi.
Ne vous a t-on pas dit que pour certains combats
La valeur n’attend pas le nombre des années ?

Il était un moment que je n’avais jouté
Et pas un ennemi au gabarit seyant
Ne s’était présenté face à moi récemment.
Plus de mille écrivains, dites-vous avoir tué ?

Vous aurez avec moi plus de fil à retordre
Que tous les ventres mous qui ont croisé vos fers.
Et laissez donc en paix les pensées de ma mère
Qui m’a vu mettre tant de troupes en désordre…

Si vous croyez en Dieu, priez pour votre cœur.
Sellez la Rossinante et dérouillez l’épée,
N’oubliez pas l’écu qui peut vous prolonger,
Et venez me rejoindre, ami, au champ d’honneur.



Hauteur

[roseaupensant]

Jeune présomptueux tu oses m'affronter
Sur des terres arides, encore ensanglantées
De l'encre de poëteux qui riment à cloche-pied ?
Sont-ce là vantardises de jeune marseillais ?

Tartarin n'est pour moi que du menu fretin
Et je laisse à Olive le soin de te moucher
Es-tu si las de vivre ? Entends-tu le tocsin ?
Recules tant qu'il est temps, évites de trébucher.

Si par aveuglement tu ne voulais comprendre
Que tu dois faire l'aman pour fuir la déroute,
Alors prie pour ton âme et consulte Cassandre..
Et choisis, malheureux le sujet de la joute !


:-))

[Hauteur]

Jeune présomptueux tu oses m'affronter
Sur des terres arides, encore ensanglantées
De l'encre de poëteux qui riment à cloche-pied ?
Sont-ce là vantardises de jeune marseillais ?

Tartarin n'est pour moi que du menu fretin
Et je laisse à Olive le soin de te moucher
Es-tu si las de vivre ? Entends-tu le tocsin ?
Recules tant qu'il est temps, évites de trébucher.

Si par aveuglement tu ne voulais comprendre
Que tu dois faire l'aman pour fuir la déroute,
Alors prie pour ton âme et consulte Cassandre..
Et choisis, malheureux le sujet de la joute !


:-))

Roseau
Je ne dois à Marseille aucune vantardise.
Mais il me plait ici de vous jeter le gant,
Pas trop fort, je ne veux surtout pas votre sang,
Je retiendrai mes coups pour qu’ils ne vous défrisent.

Le sujet de la joute ? Aurais-je choix des armes ?
Alors parlez-nous donc de tous ces écrivains
Qui, osant vous défier, auraient tous pris un pain…
Ces légions dont vous fîtes tant couler les larmes ?

Il me tarde en effet de voir si ces manants
Avaient quelques valeurs, à périr sous vos coups…
Etre sûr que ces gens pliaient bien le genou
Et qu’ils leur restait bien, pour se battre, une dent !

Je serais bien surpris que vous vous soyez pris
Avec un ramassis de séniles soldats,
Qui n’auraient pas donné de gloire à vos combats
Vous qui vous avancez à me croire petit !

:wink:

Hauteur

[roseaupensant]

Le voilà bien ce fat, ce gamin, cet ignare
Qui mande au sieur Roseau de conter ses exploits!
Les forums d'Espagne, de France ou de Navarre,
S'ont-ils pour ses hauts faits à jamais restés cois ?

En dépît de sa gloire lui faudrai-il ici,
Venir énumérer les noms des pierres tombales,
Qui jonchent les forums à la recherche du Graal ?
N'a t-il point pour hérauts toutes les prophéties:

"Du fond de l'internet régnera à jamais,
Au pays des rimeurs le vaillant ferrailleur,
Celui qui d'un seul vers vous lie tous les fleurets
Expédiant aux enfers les Marquis-barbouilleurs. "

Vas, il est encore temps, réviser tes leçons,
Apprendre ce qui fait l'homme à l'inverse du gniard.

Sur les mille façons de l'art de bien mourir,
Tu n'en est mon enfant qu'à celles du bien faire rire !

:-))


Amitiés.

[LisAbelle]

Souffler n’est pas jouer Ô Dame Violaine…
Venez donc par ici voir ces deux phénomènes

En effet, depuis un certain temps j’observe le ballet
J’admire je l’avoue l’agilité de ces Braves à l’escrime
Tous deux manient aussi bien la plume que le fleuret.

Leurs joutes sont habiles les touches sont exquises
Le discours est brillant et le tournoi fort élégant.

Hardis et valeureux Messieurs que vous etes
Gardez vous toutefois d’en venir aux mains
Mon cœur je vous l’avoue en serait chagrin.

Notez Roseau entre parenthèses que d’un clic de souris
Je fais remonter ainsi « en hommage à l’Amie… »

Amitiés à vous deux, Hauteur & Roseau
Preux Chevaliers des temps modernes.

Lisa.

[roseaupensant]

Lisa vous êtes belle.. Lorsque vous écrivez,
Vous l'êtes plus encore car vous touchez les coeurs,
Vous parlez de plumes, de fleurets qui sont leurres,
Mais vos rimes ont l'esprit des quatrains enlevés.

Merci pour vos visites bien trop rares à mon goût
Merci pour l'ascenseur..un baiser sur la joue,
Violaine ? est affairée..mais elle n'est jamais loin
Hauteur ? fourbit ses vers, il en prend toujours soin.

Soyez la Milady ! nous seront mousquetaires,
Je serais Richelieu, le rôle est avéré,
Hauteur c'est d'Artagnan c'est un vrai caractère,
Violaine sera là, en quète de ses ferrets


Amitiés.

:-))

[roseaupensant]

:-))

[roseaupensant]

:-))

[Hauteur]

Le voilà bien ce fat, ce gamin, cet ignare
Qui mande au sieur Roseau de conter ses exploits!
Les forums d'Espagne, de France ou de Navarre,
S'ont-ils pour ses hauts faits à jamais restés cois ?

En dépît de sa gloire lui faudrai-il ici,
Venir énumérer les noms des pierres tombales,
Qui jonchent les forums à la recherche du Graal ?
N'a t-il point pour hérauts toutes les prophéties:

"Du fond de l'internet régnera à jamais,
Au pays des rimeurs le vaillant ferrailleur,
Celui qui d'un seul vers vous lie tous les fleurets
Expédiant aux enfers les Marquis-barbouilleurs. "

Vas, il est encore temps, réviser tes leçons,
Apprendre ce qui fait l'homme à l'inverse du gniard.

Sur les mille façons de l'art de bien mourir,
Tu n'en est mon enfant qu'à celles du bien faire rire !

:-))


Amitiés.

Vous commettez l’erreur que font quelques grands Maîtres
Qui perdent avant l’heure un statut de héros
En croisant, trop hâbleur, au risque du tombeau
Les armes d’un bretteur dont il se crût moins sot…

Je vous tiens en estime et vous ais dis pourtant
Qu’à ce combat ultime où vous ont mis vos pas
Vous seriez la victime à vous frotter à moi.
Pour éviter ce crime, hissez le drapeau blanc !

Malgré tout mon respect, je vous dis présomptueux.
Je vous en fait procès devant tous les Anciens,
Couper votre sifflet, vos pairs en sont témoins,
N’aura pas eu d’effet, sur vous, trop orgueilleux.

Vous voulez en découdre ??

Ecrivons un sonnet ! (Les règles respectées !)
En voici le sujet : « Une Ode à Violaine ».
Elle fera benêt, sans y mettre de haine,
Celui de nos livrets qui l’aura moins charmée.

Je vous laisse deux jours, il vous faudra bien ça.
Postons notre discours mardi soir ici même……..

:wink:

Amitié
Hauteur

[Hauteur]

Souffler n’est pas jouer Ô Dame Violaine…
Venez donc par ici voir ces deux phénomènes

En effet, depuis un certain temps j’observe le ballet
J’admire je l’avoue l’agilité de ces Braves à l’escrime
Tous deux manient aussi bien la plume que le fleuret.

Leurs joutes sont habiles les touches sont exquises
Le discours est brillant et le tournoi fort élégant.

Hardis et valeureux Messieurs que vous etes
Gardez vous toutefois d’en venir aux mains
Mon cœur je vous l’avoue en serait chagrin.

Notez Roseau entre parenthèses que d’un clic de souris
Je fais remonter ainsi « en hommage à l’Amie… »

Amitiés à vous deux, Hauteur & Roseau
Preux Chevaliers des temps modernes.

Lisa.

LisAbelle, Roseau a raison de vous dire
Combien il est sucré de lire vos avis.
Recevez mes hommages, et si j'osais aussi,
Je me joins au compère à vous voir revenir...

Amitié
Hauteur

[roseaupensant]

"Vous commettez l’erreur que font quelques grands Maîtres
Qui perdent avant l’heure un statut de héros
En croisant, trop hâbleur, au risque du tombeau
Les armes d’un bretteur dont il se crût moins sot…

Je vous tiens en estime et vous ais dis pourtant
Qu’à ce combat ultime où vous ont mis vos pas
Vous seriez la victime à vous frotter à moi.
Pour éviter ce crime, hissez le drapeau blanc !

Malgré tout mon respect, je vous dis présomptueux.
Je vous en fait procès devant tous les Anciens,
Couper votre sifflet, vos pairs en sont témoins,
N’aura pas eu d’effet, sur vous, trop orgueilleux.

Vous voulez en découdre ??

Ecrivons un sonnet ! (Les règles respectées !)
En voici le sujet : « Une Ode à Violaine ».
Elle fera benêt, sans y mettre de haine,
Celui de nos livrets qui l’aura moins charmée.

Je vous laisse deux jours, il vous faudra bien ça.
Postons notre discours mardi soir ici même……..

:wink:

Amitié
Hauteur[/quote]"

*************************************************

Le Sieur Auteur de peu, vient me lancer défi,
En ce jour, deux octobre de l'an deux mille cinq,
Il se donne deux lunes, le temps qu'il se requinque,
Pour ourlet un sonnet et m'en voir déconfit !

Quand je pense à Violaine les vers se présentent,
Sans qu'il soit, pour moi besoin de tant de temps.
Elle inspire, elle guide le trop vieux débutant,
Elle est depuis toujours, la Muse qui m'enchante.

Lui faire en l'occurence tout autre compliment,
Serait lui faire offense à moins d'être dément.

Lorsqu'on est gentilhomme on ne saurait Monsieur,
Mettre dans l'embarras, en sommant une Dame
De choisir un charmeur qui déclare sa flamme.
Les aveux d'un charron ne sont point pour ses yeux !


amitiés,
serviteur !

:-))

Je ne suis jamais loin, ma chère Lisabelle
Du haut de mon donjon, je vois dans le lointain
Nos deux preux chevaliers, qui brettent de plus belle
Se lançant des sonnets dès le petit matin.

Voilà l’arme choisie pour lancer la querelle
Et tenter de ravir le cœur un peu mutin
D’une muse amusée, revenue jouvencelle
Qui voue à ce combat un intérêt certain.

Moi qui rêvait jadis d’un galant acrobate
Qui de ses mots rimés jonglerait sur mon coeur
Voilà que vient ce jour, le destin est moqueur

Alors que sur mes joues la trace indélicate
Des années a marqué des sillons trop profonds,
Un clin d’œil à la vie, que tous deux ils me font.

[roseaupensant]

Il suffit de deux vers pour dire en un distique
Que les verts de Violaine sont toujours magnifiques.


:-))

Il suffit de deux vers pour dire en un distique
Que les verts de Violaine sont toujours magnifiques.


:-))

vers ouverts ou vair ou ver vert, ou verre
je ne vous trouve pas assez sévère !

[roseaupensant]

Pourquoi être sévère quand rien de ne le mérite ?
Je laisse à d'autres le soin de se croire émérites.

:-))

[LisAbelle]

Roseau,
Que croyez vous par votre plume vous aussi vous me touchez
J’ai ressenti votre post comme si de vous j’avais reçu un bouquet.

Je vous remercie pour le titre dont vous m’honorez
Sachez tout de même que les intrigues et les vengeances
Ni de mon caractère ni de ma vie celles ci ne font partie
Mais qu’a cela ne tienne de vous j’accepte le titre de Milady.

---------------------

Hauteur, vous etes donc ce légendaire et illustre Gascon ?
D’après ce que j’ai lu de vous, vous feriez donc partie
De la fine fleur de l’armée apprécié par le tout … Paris ?
« La joute » me tente je m’emploie dès a présent et affûte mes fers de lance.

----------------------------

Chère Violaine pendant que ces Messieurs s’affairent à vos ferrets
Venez donc par ici et laissez moi vous confier que j’ai lu et
Que j’ai bien aimé votre poésie : lorsque l’enfant paraît.

Recevez, un peu de mon Amité.

Lisa.

[roseaupensant]

"Je vous remercie pour le titre dont vous m’honorez
Sachez tout de même que les intrigues et les vengeances
Ni de mon caractère ni de ma vie celles ci ne font partie
Mais qu’a cela ne tienne de vous j’accepte le titre de Milady."

---------------------


Milady ne saurait vous imposer son jeu,
Dumas prenait licence avec l'Histoire de France,
Rien ne vous interdit, d'ailleurs quelle importance
De modifier le rôle selon vos plus doux voeux?

Soyez telle qu'en vous-même vous corserez l'histoire,
Il nous faudra pour suivre pour chanter votre gloire.


Amitiés.

:-))

Chère Violaine pendant que ces Messieurs s’affairent à vos ferrets
Venez donc par ici et laissez moi vous confier que j’ai lu et
Que j’ai bien aimé votre  poésie : lorsque l’enfant paraît.  

Recevez, un peu de mon Amité.

Lisa.

Chère Lisa je suis confuse de tant de sympathie, juste un peu d'amitié est comme un remède universel qui soigne tous les maux, alors simplement merci.
Recevez mon amitié de même, car même si ce mot se partage quand il est offert il est toujours entier.

Violaine