Pour savoir t'aimer, je chercherais encore
Dans le vécu quotidien, un éllébore
Pour donner de la raison à ma passion.
Quand l'obsession sera ma seule option,
J'oserais t'attendre en faisant le guet
Derrière l'ombre froide de tes intérêts.
J'aurais le temps pour résoudre l'équation
De l'épreuve de tes doutes polissons;
Même si tant d'inconnues notoires
Laisseraient présager un lent déboire,
Je ne ferais pas de chasse aux sorcières
Pour apprivoiser tes pensées légères.
Battu des soleils rudes et des tristes vents,
Je t'aimerais jusque dans les contretemps.
Ainsi nous traverserons, las ou alertes,
Des étangs de sueur, pour les années vertes
Où s'estompe la hantise du lendemain.
Ensemble, même par les détours incertains
Des bohèmes de la vie, je porterais ta main
Comme la caresse d'une plume d'ange;
Pour écrire, quand nos destins se mélangent,
Nos lettres domptées, les lettres immortelles
De ton amour mon amour perpétuel;
Et les idées inspirées de nos grands desseins
Ne nous éloignerons pas du chemin
De nos buts si étranges mais si communs.
J'apprendrais à discipliner mes défauts
Quand la marque indélibile de mes fardeaux
Te fera falsifier tes serments.
Mais aurais-je assez de discernement
Pour rectifier l'accent de mes actes manqués.
Et quand nous auront tissés en fil d'arraignée
Nos nombreux nouveaux souvenirs agréables,
Nous deviendrons sous le même ciel,inséparables.
Sais-tu douce lionne que mon aube encore
Sommeille, malgré l'inconfort de mes efforts.
Mais c 'est bien demain quand le clairon sonne
Que je porterais les craintes qui m'enprisonnent
Vers la lumière infrangible
D'un bout du tunnel intangible.
Même s'il faut couler des larmes d'encre, de cire ou de feu,
Pour anticiper la fin de mon baptème de feu,
Et rêver à dormir debout en ce temps de carême,
Je t'apporterais la preuve de mon amour extrême.
Je ne comprend pas pourquoi mon pseudo s'est effacé ou n'apparaît pas à la suite de ce poème que je vien de publier. Je n'ai pas choisi d'être anonyme...
abel
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Pour Savoir T'aimer (extrait ...)
09 February 2006 - 03:15 PM
Jugement dernier
31 March 2005 - 03:15 PM
Je veux une suite à l'espoir,
Au creux du silence, sans déchoir,
Quand mes larmes t'interpellent en vain,
Quand ton indifférence est d'airain.
Je pourrais te conter ma mélancolie,
La folie de l'attente, le vif des envies,
La terre qui bouge, l'espoir qui s'éclipse,
Mon ciel qui s'entrouve, l'apocalypse.
Mes mots soudain, muets ou prolixes,
Graves bégaiements de mon coeur,
Manquent de rythme, sans ardeurs.
Je veux une suite à l'histoire;
Loin, après le néant, me prévaloir
De ta présence, conjurer l'inconfort,
Oser defier l'âpreté du sort.
Je pourrais te conter ma mélancolie,
Les nerfs de l'attente, joies non accomplies;
Mes mots clandestins, drôles ou passionnés,
Seuls rescapés de ton jugement dernier.
Au creux du silence, sans déchoir,
Quand mes larmes t'interpellent en vain,
Quand ton indifférence est d'airain.
Je pourrais te conter ma mélancolie,
La folie de l'attente, le vif des envies,
La terre qui bouge, l'espoir qui s'éclipse,
Mon ciel qui s'entrouve, l'apocalypse.
Mes mots soudain, muets ou prolixes,
Graves bégaiements de mon coeur,
Manquent de rythme, sans ardeurs.
Je veux une suite à l'histoire;
Loin, après le néant, me prévaloir
De ta présence, conjurer l'inconfort,
Oser defier l'âpreté du sort.
Je pourrais te conter ma mélancolie,
Les nerfs de l'attente, joies non accomplies;
Mes mots clandestins, drôles ou passionnés,
Seuls rescapés de ton jugement dernier.
Ne cherche plus
27 March 2005 - 01:53 PM
De l'autre côté de ton existence,
Loin, jusqu'au seuil de l'indifférence,
Conquis d'un dépit évanescent,
Contrit du silence, perdu dans le vent,
Converti à l'espoir, je cherche ta trace.
Sans disgrace, amant par contumace,
Sans privauté, sans contrevérité,
Epris de sincérité, je veux t'aimer.
Ne cherche plus, je t'apporterais
La fraîcheur du vin de nos palmeraies.
Loin, à la cime du courage,
J'essaierais d'apaiser tes orages,
Tes hivers froids et, loin des tropiques,
Je t'apporterais le soleil d'Afrique.
Loin, jusqu'au seuil de l'indifférence,
Conquis d'un dépit évanescent,
Contrit du silence, perdu dans le vent,
Converti à l'espoir, je cherche ta trace.
Sans disgrace, amant par contumace,
Sans privauté, sans contrevérité,
Epris de sincérité, je veux t'aimer.
Ne cherche plus, je t'apporterais
La fraîcheur du vin de nos palmeraies.
Loin, à la cime du courage,
J'essaierais d'apaiser tes orages,
Tes hivers froids et, loin des tropiques,
Je t'apporterais le soleil d'Afrique.
Je t'attendrais ( Republication )
17 March 2005 - 03:52 PM
Je veux avec toi partager mes espoirs,
Apaiser mes déboires,refaire l'histoire,
Les batailles perdues et les dévoirs
Les plus hardus,toutes les guerres noires
Où j'ai manqué de près la victoire.
Je veux vivre des heures à te conter
Mes idéaux dispendieux et osés,
Dérober au ciel la merveille
Qui maintiendra ton coeur à l'éveil.
Et au feu de ta présence attiser
Les derniers rêves non concretisés.
Je veux reécrire l'histoire,
Partager tes choix,et surtout pouvoir,
Avec héroïsme et fierté,
Au paroxysme de ma félicité,
Panser ton passé,anticiper.
Errant jusqu'à ta rive,j'attendrais
Ta beauté tardive,je t'aimerais.
A sonder les éventualités,
J'ai appris à me discipliner.
Et mes nuits sont blanches à compter les étoiles,
A modeliser ton visage sur mes toiles.
Ma promptitude à désirer te connaître
Se heurte à l'amplitude des kilomètres.
Mais tes mots, seuls échos de ton être,
Sont des baisers silencieux et doux.
A quand la grande émotion des rendez-vous?
Je t'attendrais,douce princesse,
Malgré nos silences d'allégresse.
J'oserais te montrer ma sincérité,
Mes chemins de croix,mes larmes oubliées
Et tous mes torrents de sueur cristallisés
Par la propension à toujours espérer.
J'ai brulé toute tension indue,
Toute hésitation décousue
Aux enfers de ton inconnu.
J'ai brisé les fers de ma stupeur
Pour être plus qu'un admirateur.
Avec héroïsme et fierté,
Avec l'hardiesse de ma liesse,
Au paroxysme de ma félicité,
Je t'attendrais,douce princesse!
Et quand viendra l'heure, sans cesse,
Je t'aimerais avec largesse.
Apaiser mes déboires,refaire l'histoire,
Les batailles perdues et les dévoirs
Les plus hardus,toutes les guerres noires
Où j'ai manqué de près la victoire.
Je veux vivre des heures à te conter
Mes idéaux dispendieux et osés,
Dérober au ciel la merveille
Qui maintiendra ton coeur à l'éveil.
Et au feu de ta présence attiser
Les derniers rêves non concretisés.
Je veux reécrire l'histoire,
Partager tes choix,et surtout pouvoir,
Avec héroïsme et fierté,
Au paroxysme de ma félicité,
Panser ton passé,anticiper.
Errant jusqu'à ta rive,j'attendrais
Ta beauté tardive,je t'aimerais.
A sonder les éventualités,
J'ai appris à me discipliner.
Et mes nuits sont blanches à compter les étoiles,
A modeliser ton visage sur mes toiles.
Ma promptitude à désirer te connaître
Se heurte à l'amplitude des kilomètres.
Mais tes mots, seuls échos de ton être,
Sont des baisers silencieux et doux.
A quand la grande émotion des rendez-vous?
Je t'attendrais,douce princesse,
Malgré nos silences d'allégresse.
J'oserais te montrer ma sincérité,
Mes chemins de croix,mes larmes oubliées
Et tous mes torrents de sueur cristallisés
Par la propension à toujours espérer.
J'ai brulé toute tension indue,
Toute hésitation décousue
Aux enfers de ton inconnu.
J'ai brisé les fers de ma stupeur
Pour être plus qu'un admirateur.
Avec héroïsme et fierté,
Avec l'hardiesse de ma liesse,
Au paroxysme de ma félicité,
Je t'attendrais,douce princesse!
Et quand viendra l'heure, sans cesse,
Je t'aimerais avec largesse.
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