Balbutiement
Des effluves suaves m’étourdissent et m’enlacent
M’incendient d’une lave rougeoyante mais hélas
Je ne traverse qu’un rêve, une valse une ivresse
Dans la nuit je me lève, je déambule et me blesse
Les cris nocturnes ambiants, et toujours plus oppressants
Se conjuguent à l’enivrant groove quasiment obsédant
D’une musique vaudou, symbole de sacrifices
Où le hurlement des loups se mêle aux immondices
Je balbutie je dérive, une expérimentation
Quelque peu maladive, pareil à une ablation
Le sentiment jamais mort du révolutionnaire
Si souvent en désaccord avec l’ordre millénaire
Mais qu’y a t’il ? elle est là ! Je l’aime toujours ma douce
On s’est enfuit ici-bas, nos déraisons éclaboussent
Parfois l’impossible lien, cet incroyable élastique
Qui relie à chaque bout deux cœurs fragiles et uniques
Balbutiement
Started by DJ-b., Nov 23 2005 09:11 PM
7 replies to this topic
#1
Posted 23 November 2005 - 09:11 PM
#2
Posted 23 November 2005 - 10:01 PM
j'ai aimé l'ensemble, mais la dernière strophe est sublime !
amitié a+++++++++++++++++++++++++++
amitié a+++++++++++++++++++++++++++
#3
Posted 23 November 2005 - 11:01 PM
Je comprends Jojo ...
Avec mon amitié
et une bise à ta Doudou,
Galy.
Avec mon amitié
et une bise à ta Doudou,
Galy.
#4
Posted 11 December 2005 - 11:13 PM
y a de l'idee, quelques jolies trouvailles,
meme si rythme coupe, facilites de rime (?), un peu trop bazar.
et si tu etais trop indulgent avec toi-meme?
Serge
meme si rythme coupe, facilites de rime (?), un peu trop bazar.
et si tu etais trop indulgent avec toi-meme?
Serge
#5
Posted 11 December 2005 - 11:16 PM
-
( sans indulgence )
c'est plus que de l'indulgence là.
-
( sans indulgence )
c'est plus que de l'indulgence là.
-
#6
Posted 12 December 2005 - 08:14 PM
Une détresse, une hallucination, un songe ? Je me suis laissée emporter dans l'étrange...Très belle écriture !
Amitiés
Erre
Amitiés
Erre
#7
Posted 12 December 2005 - 11:41 PM
Citation (strofka @ Dec 11 2005, 11:16 PM) <{POST_SNAPBACK}>
-
( sans indulgence )
c'est plus que de l'indulgence là.
-
( sans indulgence )
c'est plus que de l'indulgence là.
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Merci strof
de ton com
alors tu veux me faire bosser
tu veux être sans indulgence avec moi
tu veux le top du top le sublime le détail
je vais commencer à chipoter avec
l'auteur (là je lui fait de la pub) d'un
recueil de poésie "le rameau d'offertoire"
paru aux éditions l'harmattan
#8
Posted 05 January 2006 - 08:19 AM
Citation (bonhomme @ Nov 23 2005, 09:11 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Balbutiement
Des effluves suaves m’étourdissent et m’enlacent
M’incendient d’une lave rougeoyante mais hélas
Je ne traverse qu’un rêve, une valse une ivresse
Dans la nuit je me lève, je déambule et me blesse
Les cris nocturnes ambiants, et toujours plus oppressants
Se conjuguent à l’enivrant groove quasiment obsédant
D’une musique vaudou, symbole de sacrifices
Où le hurlement des loups se mêle aux immondices
Je balbutie je dérive, une expérimentation
Quelque peu maladive, pareil à une ablation
Le sentiment jamais mort du révolutionnaire
Si souvent en désaccord avec l’ordre millénaire
Mais qu’y a t’il ? elle est là ! Je l’aime toujours ma douce
On s’est enfuit ici-bas, nos déraisons éclaboussent
Parfois l’impossible lien, cet incroyable élastique
Qui relie à chaque bout deux cœurs fragiles et uniques
Des effluves suaves m’étourdissent et m’enlacent
M’incendient d’une lave rougeoyante mais hélas
Je ne traverse qu’un rêve, une valse une ivresse
Dans la nuit je me lève, je déambule et me blesse
Les cris nocturnes ambiants, et toujours plus oppressants
Se conjuguent à l’enivrant groove quasiment obsédant
D’une musique vaudou, symbole de sacrifices
Où le hurlement des loups se mêle aux immondices
Je balbutie je dérive, une expérimentation
Quelque peu maladive, pareil à une ablation
Le sentiment jamais mort du révolutionnaire
Si souvent en désaccord avec l’ordre millénaire
Mais qu’y a t’il ? elle est là ! Je l’aime toujours ma douce
On s’est enfuit ici-bas, nos déraisons éclaboussent
Parfois l’impossible lien, cet incroyable élastique
Qui relie à chaque bout deux cœurs fragiles et uniques
poème qui sent le fabriqué, l'emphase des faux sentiments
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