Le Même Clou Du Même Mur
Started by volpone, Mar 02 2006 01:14 PM
8 replies to this topic
#1
Posted 02 March 2006 - 01:14 PM
La délivrance
A l’éclat d’une brèche
Dans le mur trop cogné
Aux angles épuisés
La lumière effraie
de son propre espoir
fermer les yeux
comme une tentation
de verre brisé
ou fouler la terre
aller au vent
A l’éclat d’une brèche
Dans le mur trop cogné
Aux angles épuisés
La lumière effraie
de son propre espoir
fermer les yeux
comme une tentation
de verre brisé
ou fouler la terre
aller au vent
#2
Posted 03 March 2006 - 10:05 AM
juste une petite réserve sur le rythme
a.
a.
#3
Posted 03 March 2006 - 10:13 AM
c'est juste
sur la troisième strophe, je n'en ai pas eu conscience en postant ce texte
en même temps le verre brisé est un peu une rupture. mais c'est à reprendre
merci
sur la troisième strophe, je n'en ai pas eu conscience en postant ce texte
en même temps le verre brisé est un peu une rupture. mais c'est à reprendre
merci
#4
Posted 03 March 2006 - 11:25 AM
Balèze ! Puissamment triste... Bravo.
#5
Posted 03 March 2006 - 11:43 PM
bon c'est vrai pour la 3e strophe (le "de son propre espoir" accroche un peu)
mais pour le reste : chapeau
mais pour le reste : chapeau
#6
Posted 04 March 2006 - 07:52 AM
Citation (volpone @ Mar 2 2006, 01:14 PM) <{POST_SNAPBACK}>
La délivrance
A l’éclat d’une brèche
Dans le mur trop cogné
Aux angles épuisés
La lumière effraie
de son propre espoir
fermer les yeux
comme une tentation
de verre brisé
ou fouler la terre
aller au vent
A l’éclat d’une brèche
Dans le mur trop cogné
Aux angles épuisés
La lumière effraie
de son propre espoir
fermer les yeux
comme une tentation
de verre brisé
ou fouler la terre
aller au vent
superbe !
amitié
#7
Posted 04 March 2006 - 09:12 AM
Citation (volpone @ Mar 2 2006, 01:14 PM) <{POST_SNAPBACK}>
La délivrance
A l’éclat d’une brèche
Dans le mur trop cogné
Aux angles épuisés
La lumière effraie
de son propre espoir
fermer les yeux
comme une tentation
de verre brisé
ou fouler la terre
aller au vent
A l’éclat d’une brèche
Dans le mur trop cogné
Aux angles épuisés
La lumière effraie
de son propre espoir
fermer les yeux
comme une tentation
de verre brisé
ou fouler la terre
aller au vent
Moi j'aime beaucoup les deux derniers vers qui sont finalement un résumé poétique de toute existence !
#8
Posted 05 March 2006 - 08:32 AM
merci à vous quatre de faire vivre un peu ici ce texte
salutations givrées (car ce matin l'hiver revient)
salutations givrées (car ce matin l'hiver revient)
#9
Posted 05 March 2006 - 09:08 AM
Perso je ne vois pas un rythme tachycardique dans la 3e strophe
Je l'ai lue sans accrocher
La 2e strophe est ma préférée
Bien à toi
Je l'ai lue sans accrocher
La 2e strophe est ma préférée
Bien à toi
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