Le grand malheur
Les villes avalent ces corps
Ces corps sans yeux ni sans oreilles sans nez ni bouche
Ces corps que cœur
Le grand drame pleure encore
Et des hommes sont maudits par les seigneurs
Les hommes aux battements de cœur pur on toujours fait peur
Et ils ne peuvent que pleurer le malheur q’on leurs souffle
Et ils ne peuvent que pleurer leur incapacité devant la vie
Celle qu’on leurs impose
Non celle qu’on leurs déchire
Les seigneurs parlent en chiffre
Et ces déchirés parle en rêve…
La liberté ici
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