De tes deux mains, brandis ton coeur
Started by Clara, Sep 15 2004 02:18 AM
12 replies to this topic
#1
Posted 15 September 2004 - 02:18 AM
Comme un tornade hurlante dejoue,
Eloignes années et amours manqués.
Comme une prière à deux genoux,
Oublie le passé et ta vie fêlée,
Comme le fou face à la raison,
Ris, c'est tout, de toute ta démence.
Comme chamboulé par la passion,
Laisse libre cours à l'inconscience,
Comme un bateau quittant le port,
Fixe l'horizon, ultime abri.
Comme si, demain, tu étais mort,
Oublie l'espoir, vis d' aujourd'hui.
Comme l'aveugle face au cru soleil,
Craint la chaleur, pas la douleur.
Comme un enfant qui s'émerveille,
De tes deux mains, brandis ton coeur.
Corrige le 27 juillet
Eloignes années et amours manqués.
Comme une prière à deux genoux,
Oublie le passé et ta vie fêlée,
Comme le fou face à la raison,
Ris, c'est tout, de toute ta démence.
Comme chamboulé par la passion,
Laisse libre cours à l'inconscience,
Comme un bateau quittant le port,
Fixe l'horizon, ultime abri.
Comme si, demain, tu étais mort,
Oublie l'espoir, vis d' aujourd'hui.
Comme l'aveugle face au cru soleil,
Craint la chaleur, pas la douleur.
Comme un enfant qui s'émerveille,
De tes deux mains, brandis ton coeur.
Corrige le 27 juillet
#2
Posted 15 September 2004 - 02:33 AM
J'aime beaucoup le sens de ton poème, mais pourrais-tu m'expliquer les vers :
Comme l'aveugle face au cru soleil,
Craint la chaleur, pas la douleur,
Par avance, merci.
Comme l'aveugle face au cru soleil,
Craint la chaleur, pas la douleur,
Par avance, merci.
#3
Posted 15 September 2004 - 02:57 AM
Merci Tus dêtre passé par là,
Au passage, j'ai pas voulu m'immiscer dans ton mano à mano argumenté, mais je partage le fait que nous ayions des sensibilités et des façons de nous exprimer qui sont toutes différentes et respectables. (et j'ai souris en lisant ton poème qui m'a bien plu)
pour l'explication :j'voulais dire que l'aveugle rique pas de perdre la vue les yeux braqués vers le soleil, vu qu'il l'a plus, yop, alors il risque seulement ..la chaleur, pas trop de douleur.
Au fond c'était une façon de dire qu'on ne risque pas de se rendre aveugle une deuxième fois, qu'il ne faut pas renoncer de peur de revivre la douleur. Voilou
Stéphanie
Au passage, j'ai pas voulu m'immiscer dans ton mano à mano argumenté, mais je partage le fait que nous ayions des sensibilités et des façons de nous exprimer qui sont toutes différentes et respectables. (et j'ai souris en lisant ton poème qui m'a bien plu)
pour l'explication :j'voulais dire que l'aveugle rique pas de perdre la vue les yeux braqués vers le soleil, vu qu'il l'a plus, yop, alors il risque seulement ..la chaleur, pas trop de douleur.
Au fond c'était une façon de dire qu'on ne risque pas de se rendre aveugle une deuxième fois, qu'il ne faut pas renoncer de peur de revivre la douleur. Voilou
Stéphanie
#4
Posted 18 September 2004 - 11:54 PM
Merci pour l'explication. C'est malin, maintenant j'aime encore plus le sens.
A+
A+
#5
Posted 19 September 2004 - 02:41 AM
merci
:C"est gentil ....
:C"est gentil ....
#6
Posted 27 July 2005 - 01:00 AM
version corrigee.. desolee pour les accents... Y'en a pas ici
Amities,
Clara
Amities,
Clara
#7
Posted 27 July 2005 - 06:43 AM
Très beau Clara, aussi bien dans la forme que le thème. J'ai aimé te lire
#8
Posted 27 July 2005 - 07:45 AM
un nouveau départ
j'ai aimé
amitié
j'ai aimé
amitié
#9
Posted 27 July 2005 - 07:48 AM
Poème plein de vie et d'énergie ...
Amitiés,
Galy.
Amitiés,
Galy.
#10
Posted 27 July 2005 - 10:39 AM
Si je puis me permettre, et parce que j'aime beaucoup, version expurgée de ses fautes d'orthographe
Amicalement, Michel
Comme un tornade hurlante dejoue,
Eloigne années et amours manqués.
Comme une prière à deux genoux,
Oublie le passé et ta vie fêlée,
Comme le fou face à la raison,
Ris, c'est tout, de toute ta démence.
Comme chamboulé par la passion,
Laisse libre cours à l'inconscience,
Comme un bateau quittant le port,
Fixe l'horizon, ultime abri.
Comme si, demain, tu étais mort,
Oublie l'espoir, vis d' aujourd'hui.
Comme l'aveugle face au cru soleil,
Crains la chaleur, pas la douleur.
Comme un enfant qui s'émerveille,
De tes deux mains, brandis ton coeur.
Amicalement, Michel
Comme un tornade hurlante dejoue,
Eloigne années et amours manqués.
Comme une prière à deux genoux,
Oublie le passé et ta vie fêlée,
Comme le fou face à la raison,
Ris, c'est tout, de toute ta démence.
Comme chamboulé par la passion,
Laisse libre cours à l'inconscience,
Comme un bateau quittant le port,
Fixe l'horizon, ultime abri.
Comme si, demain, tu étais mort,
Oublie l'espoir, vis d' aujourd'hui.
Comme l'aveugle face au cru soleil,
Crains la chaleur, pas la douleur.
Comme un enfant qui s'émerveille,
De tes deux mains, brandis ton coeur.
#11
Posted 27 July 2005 - 10:52 AM
Lequel ? Celui que le "tu" a arraché, ou celui de ce "tu" ?
#12
Posted 27 October 2005 - 11:50 PM
>Celui de ce tu sans doute..
Merci à toi Michel
Merci à toi Michel
#13
Posted 28 October 2005 - 05:45 AM
Mots simples, mais joli poeme.
Une question peut être stupide, mais pourquoi prendre un pseudo si c'est pour signer de son prénom?
Une question peut être stupide, mais pourquoi prendre un pseudo si c'est pour signer de son prénom?
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