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[Erre]

Mein fahrender Ritter ohne Furcht und Tadel
Ich bin verliebt in dich, bin allein ohne dich
Ô ! Angeritten komm ! Ô ! Gelaufen komm schnell !
Mit der Zeit pflückt man Rosen; ich warte auf dich...

Deine Dame

[Hauteur]

De risques ne prenez à me venir trop vite
le temps s’est arrêté au bout de votre main,
quand de vos doigts si fins se coulait l’eau bénite
cadeau de nos adieux infiltrée en mon sein.

J’en ai laissé venir des mots à la dérive,
noyés au bénitier où ils se sont nourris
je les ai convertis en lettres qui se vivent
au souvenir de vous, vous qui m’avez souris.

Souvenez vous...

Et ce temps suspendu descendra sur le fil
au pas de l'Alezan qui déjà vous attend,
dans la campagne brune il trottera gaiement
sur le lit de nos heures où le couchant défile.

balila

Balila,

Il est dans le couchant des couleurs interdites
Que jamais une main ne pourra reproduire
Ni les vers d’un poète ne saura décrire
Tant les Dieux les protègent des feux de nos rites.

Vos yeux ont des couleurs plus belles qu’un couchant…

Parfois, un soir d’été, pénètre la caresse
D’un vent doux qui se glisse au pied d’un bastingage
Quand s’éloignant du port, oubliant nos rivages,
Nous échappons au temps qui parfois nous oppresse.

Votre peau est plus douce que ce soir d’été…

Qui n’a senti le goût que peut donner le miel
Ne sait tous les bienfaits que peut donner la vie
Ni ne s’imaginer ce qu’un sens nous dit
Quand du bout de son art on approche le ciel.

Je ne connais de miel qui vaille vos baisers…


Hauteur.

[balila]

Balila,

Il est dans le couchant des couleurs interdites
Que jamais une main ne pourra reproduire
Ni les vers d’un poète ne saura décrire
Tant les Dieux les protègent des feux de nos rites.

Vos yeux ont des couleurs plus belles qu’un couchant…

Parfois, un soir d’été, pénètre la caresse
D’un vent doux qui se glisse au pied d’un bastingage
Quand s’éloignant du port, oubliant nos rivages,
Nous échappons au temps qui parfois nous oppresse.

Votre peau est plus douce que ce soir d’été…

Qui n’a senti le goût que peut donner le miel  
Ne sait tous les bienfaits que peut donner la vie
Ni ne s’imaginer ce qu’un sens nous dit
Quand du bout de son art on approche le ciel.

Je ne connais de miel qui vaille vos baisers…


Hauteur.

Hauteur,

Il est dans le levant une lueur en fuite
que toujours un regard se pourra reproduire
quand les vers d’un poète savent si bien l’écrire
et qu’un Dieu le protège d’une eau douce bénite.

Ce levant a les beautés de votre regard...

Parfois, un soir d’hiver, s’attisent maintes flammes
d’un feu qui se répand aux vapeurs d’un foyer
quand s’éloignant de l’âtre en élevant nos âmes
nous échappons au temps, vivant d’éternité.

Votre peau est plus chaude que ces soirs d’hiver...

Qui a senti le miel, en a goûté le fruit,
saura tous les bienfaits de son divin nectar
et peut s’imaginer combien douceur est vie
quand du bout de la lèvre on approche son art.

Vos baisers se savourent bien plus que ce miel...

balila

[Hauteur]

Hauteur,

Il est dans le levant une lueur en fuite
que toujours un regard se pourra reproduire
quand les vers d’un poète savent si bien l’écrire
et qu’un Dieu le protège d’une eau douce bénite.

Ce levant a les beautés de votre regard...

Parfois, un soir d’hiver, s’attisent maintes flammes
d’un feu qui se répand aux vapeurs d’un foyer
quand s’éloignant de l’âtre en élevant nos âmes
nous échappons au temps, vivant d’éternité.

Votre peau est plus chaude que ces soirs d’hiver...

Qui a senti le miel, en a goûté le fruit,
saura tous les bienfaits de son divin nectar
et peut s’imaginer combien douceur est vie
quand du bout de la lèvre on approche son art.

Vos baisers se savourent bien plus que ce miel...

balila

Douce Balila,

Quand à l’envol des mots, vous donnez tout son sens,
C’est à viser les cieux qu’il devient destiné
Emporté par le vent, il pourra essaimer
Jusqu’aux lointains pays où le mène sa danse.

En ce prolongement mon texte trouve alors
Le souffle qu’il lui faut pour tenter le voyage,
Dépasser les montagnes, croiser les nuages,
Et délivrer sa paix à celle qu’il honore.


Hauteur.

[Hauteur]

Mein fahrender Ritter ohne Furcht und Tadel
Ich bin verliebt in dich, bin allein ohne dich
Ô ! Angeritten komm ! Ô ! Gelaufen komm schnell !
Mit der Zeit pflückt man Rosen; ich warte auf dich...

                                                 Deine Dame  

Dame Erre,

Aux gutturaux accents je n’entends pas grand chose
Mais je sais que, de vous, ce ne peut qu’être beau
Et ces alexandrins frissonnent sur ma peau
Comme peuvent le faire ceux qu’en Français j‘ose…


Hauteur.

[Erre]

Je disais donc :

Mon Chevalier errant, sans peur et sans reproche
Je suis amoureuse de toi, seule sans toi
Ô ! Viens à cheval ! Ô ! Viens en courant ! Approche !
Le temps m'apportera des roses...Je t'attends !

Ta Dame

[Nady-Mary]

Princesse Nady,

Caressé par vos yeux sous le soleil couchant
Vous me voyez ravi que la tiédeur du soir
En bougeant vos cheveux, me donne les espoirs
De toucher votre cœur à mes tendres accents.

Je sens, sur votre main, des frissons que le froid
N'est pourtant pas capable, ce soir, d'attiser.
Qu'ils viennent de nos cœurs saurait bien me charmer,
Tandis que vers vos sens iront tous mes émois.

En ce lieu si propice aux oublis romantiques
Je rêve d’un baiser déposé sur vos lèvres,
Fruits gonflés qui me hantent, et me donne la fièvre,
Quand loin de votre peau, votre absence me pique.

Nous avions sur cette île, vu un arbre à paons,
Tout surpris que la nuit, ces grands oiseaux si perchent
Mes souvenirs de vous, depuis que je vous cherche,
Sont perchés sur mon âme à me faire tourment...

Amitiés,
Hauteur

Mon coeur se souvient, cette nuit étoilée,
Sur notre île secrète, bercée de vos sourires,
Enlacés de regards, nous nous sommes enflammés,
Avouant vos penchants, avouer ou périr.

Vos doigts amusés d'une mèche de cheveux,
Par un ruban glissant sur mes épaules fines,
Montrait à votre main le chemin délicieux,
De mon tendre jardin, de ma plage câline.

Savourant l'instant, souffle coupé, coeur en feu,
Pour lire sur votre visage la joie de votre retour,
Dont votre sourire fut une réponse, un aveu,
Baignant alors mes yeux d’un océan d’amour.

Sans dire vous me rapprochiez de vous Monsieur,
Pour cueillir à mes lèvres le fruit en suspension,
De notre attente, offert dans un abandon glorieux,
Puisque nous nous aimons au-delà de la passion.

Revenez vite, je vous attends...

La Princesse Petite Chose

[Erre]

Vous me manquez, Chevalier
Sous la pluie fine grisant le jour d'aujourd'hui
De ses fleurets, caressant ma mélancolie
Vous me manquez !

Vous me manquez
Dans ce nuage ébouriffé, étrange, épais
Fermant le ciel de mes rêves...Ô ! A jamais
Vous me manquez !

Vous me manquez
Au grand miroir, me laissant la trace fugace
De nos espoirs, en un conte amoureux qui passe
Chevalier, vous me manquez !

Votre Dame éternelle

[Hauteur]

Je disais donc :

Mon Chevalier errant, sans peur et sans reproche
Je suis amoureuse de toi, seule sans toi
Ô ! Viens à cheval ! Ô ! Viens en courant ! Approche !
Le temps m'apportera des roses...Je t'attends !

Ta Dame

Dame Erre,

Les Chevaliers teutons, à vous lire, auront cru
Pour eux, tout ciselé, ces vers qui me sont dus.
Avant de défaillir en voyant mon écu
Ils auront pu goûter ce plaisir défendu.

Donner à ces sauvages votre poésie
Est tout à votre honneur et empli de bonté.
Les hordes qui s’avancent en nos lointains duchés
Périront plus savantes grâce à vous, ma Mie.


Hauteur.

[Hauteur]

Mon coeur se souvient, cette nuit étoilée,
Sur notre île secrète, bercée de vos sourires,
Enlacés de regards, nous nous sommes enflammés,
Avouant vos penchants, avouer ou périr.

Vos doigts amusés d'une mèche de cheveux,
Par un ruban glissant sur mes épaules fines,  
Montrait à votre main le chemin délicieux,
De mon tendre jardin, de ma plage câline.

Savourant l'instant, souffle coupé, coeur en feu,  
Pour lire sur votre visage la joie de votre retour,  
Dont votre sourire fut une réponse, un aveu,  
Baignant alors mes yeux d’un océan d’amour.  

Sans dire vous me rapprochiez de vous Monsieur,  
Pour cueillir à mes lèvres le fruit en suspension,  
De notre attente, offert dans un abandon glorieux,  
Puisque nous nous aimons au-delà de la passion.  

Revenez vite, je vous attends...

La Princesse Petite Chose

Princesse Nady,

Dans notre île secrète vos pas ont laissé
Les traces des caresses qu’y ont fait vos pieds.
Tout près du vieux ponton où notre barque luit
Un saule les abrite des gouttes de pluie.

Les rayons de la lune imitent des lampions
Dont les éclats blafards traversent les feuillages.
Mes yeux voient juste assez pour deviner vos plages
Et les douces courbures que vos cheveux font.

Mes doigts ont effleuré des boutons si sensibles…
Ceux qui parent les roses n’ont pas ces attraits
Ni les tendres effets que les vôtres ont fait
Quand de tous les frissons, mon âme fut la cible.

Quand je fis, à vos lèvres, sentir mes émois
Dans un baiser de feu que j’ai voulu brûlant,
J’ai vu que dans vos yeux s’allumaient les élans
Dont nos corps enlacés entonnèrent les lois…


Hauteur

[balila]

Douce Balila,

Quand à l’envol des mots, vous donnez tout son sens,
C’est à viser les cieux qu’il devient destiné
Emporté par le vent, il pourra essaimer
Jusqu’aux lointains pays où le mène sa danse.

En ce prolongement mon texte trouve alors
Le souffle qu’il lui faut pour tenter le voyage,
Dépasser les montagnes, croiser les nuages,
Et délivrer sa paix à celle qu’il honore.

Hauteur.

Hauteur,

La paix dans le grand vent s’est posée à mes pieds,
un soir de grand tourment, j’étais agenouillée,
les spasmes de mon coeur brisaient tous mes élans
je n’avais plus d’ardeur, que le goût du néant.

Alors que je luttais, cloitrée haut dans ma tour,
alors que je fuyais, toute vie alentour,
un rai de lumière me fit lever les yeux,
j’ai su à cet instant, y dévoiler les cieux.

Mon sourire a cueilli au souffle des nuages,
les mots de votre coeur, fleurissant au passage
les tours de mon château, les prés de mes côteaux,
et je m'en vais danser... dans les coquelicots.

balila

[Hauteur]

Vous me manquez, Chevalier
Sous la pluie fine grisant le jour d'aujourd'hui
De ses fleurets, caressant ma mélancolie
Vous me manquez !

Vous me manquez
Dans ce nuage ébouriffé, étrange, épais
Fermant le ciel de mes rêves...Ô ! A jamais
Vous me manquez !

Vous me manquez
Au grand miroir, me laissant la trace fugace
De nos espoirs, en un conte amoureux qui passe
Chevalier, vous me manquez !

Votre Dame éternelle

Dame Erre,

J’ai reçu tous vos cris au fond de ma retraite.
De ces chants lancinants qui m’entourent aujourd’hui
Le vôtre est parvenu à dépasser les bruits,
En brisant ma torpeur des sanglots que vous faites.

J’entends la mélopée qui me dit vos tourments.
Et combien mon absence a creusé les sillons
Qui sous vos yeux si beaux entraînent l’émotion
Que les larmes emportent au gré de tous les vents.

Je suis si loin de vous quand je voudrais vos bras,
Vous sentir près de moi quand votre cœur appelle,
Cueillir tous les baisers dont ces lieues si cruelles
Me privent de goûter quand vous n’êtes pas là.

J’aurai, à revenir, de mes lointains combats,
L’étrange sensation de sortir du trépas
Où sombre ma raison quand je suis loin de vous…



Hauteur

[Hauteur]

[Erre]

Attendre, attendre encor, quand j'ai tant attendu
Souffrir, souffrir encor, à épier ta venue
Voilà que tu reviens avec tes mots d'amour
Raviver ce destin de t'attendre toujours

Tu m'as laissée pourtant en peine, à l'abandon
Des nuits, des jours entiers dans l'antre des passions
Seule en proie aux désirs, aux langues du dragon
Qu'il me fallut maudire ou perdre la raison

Aurais-tu donc souffert tout autant que ta Dame
De l'absence et du manque ? A en croire ta flamme
Tu m'aimes, me chéris, mon Chevalier fidèle
Je n'appartiens qu'à toi, puisqu'ainsi tu m'appelles

Et comme tu le dis qu'un jour tu seras là
Peu m'importent les mois, splendide est ce temps là
Fait de rêves vers toi naissant dans la durée
Belle inachevée d'instants illuminés...


Ta Dame

[Hauteur]

Hauteur,

La paix dans le grand vent s’est posée à mes pieds,
un soir de grand tourment, j’étais agenouillée,
les spasmes de mon coeur brisaient tous mes élans
je n’avais plus d’ardeur, que le goût du néant.

Alors que je luttais, cloitrée haut dans ma tour,
alors que je fuyais, toute vie alentour,
un rai de lumière me fit lever les yeux,
j’ai su à cet instant, y dévoiler les cieux.

Mon sourire a cueilli au souffle des nuages,
les mots de votre coeur, fleurissant au passage
les tours de mon château, les prés de mes côteaux,
et je m'en vais danser... dans les coquelicots.

balila

Douce Balila,

Le Roy a ordonné, nous avons obéis.
Encore une campagne où deux cents Chevaliers
Sont partis loin des leurs afin de guerroyer.
Il me plaît à penser que vous dansez ici.

Là-bas n’est que misère, et laissons les charognes
Se repaître des morts que laissent les combats.
Ici meurt l’ennemi, mais aussi la Gascogne…

Et là, de vos sourires, j’emplis de soleil
Un jour qui serait noir sans votre souvenir
Et j’entends votre voix qui me tient en éveil.

Dansez, ma douce amie, aimez tous vos coteaux
Foulez la doulce France qui tant a donné
Du sang de Chevalier pour que tout soit si beau…

Que la paix du royaume acquise à fort loyer
Vous donne la fortune d’y passer vos jours
Sans que ne soient vos larmes jamais provoquées.

Vers vous vont mes pensées…


Hauteur

[balila]

Hauteur,

Adieu donc Chevalier et que Dieu vous protège
aux terres qui sont vôtres à servir le Roy
du péril, du trépas, de tous les sortilèges,
de ce sang trop versé qui me glace d’effroi.

Danser loin de la cour est mon prochain combat
sans l’aide du royaume parcourir les terres
voilà bien ma fierté portée à bous de bras
au chant du troubadour soulevant la poussière.

Et loin dans ma campagne je vous penserai
en songe reviendrai traverser les brouillards
des lunes de nos nuits un soleil perlerai
afin que sur mes jours perle votre regard.

balila

[.ds.]

Dîtes vous princesses ; le suis-je
Les portes de l'autre Monde ont
Eteind les moindres neiges et
Le miroir, vous savez ; celui que
J'aimais tant et l'éternel voile
Blanc sous la robe des ailes

Il n'y a de princesse
Voile au dessus des neiges...

[Hauteur]

Dîtes vous princesses ; le suis-je
Les portes de l'autre Monde ont
Eteind les moindres neiges et
Le miroir, vous savez ; celui que
J'aimais tant et l'éternel voile
Blanc sous la robe des ailes

Il n'y a de princesse
Voile au dessus des neiges...

Je n'ai rien compris à ton commentaire, aussi j'ai pensé que les mots s'étaient mélangés.

J'ai essayé de les remettre en ordre.

Le résultat est superbe.

Je ne comprend pas plus, mais ça doit rester du "Douce Sarah" quand même. Qu'en dites-vous, les amis ?

"Original" de Douce :

Dîtes vous princesses ; le suis-je
Les portes de l'autre Monde ont
Eteind les moindres neiges et
Le miroir, vous savez ; celui que
J'aimais tant et l'éternel voile
Blanc sous la robe des ailes


Mots remis dans l'ordre:

Dîtes vous neiges :
J'aimais tant de l'autre monde
Et l'éternel princesse ;
Le suis-je, et le miroir vous savez
Celui que voile blanc
Ont éteint les portes des ailes
Sous la robe les moindres.


Amitié
Hauteur

[.ds.]

Tu te trompes, Mes mots sont :

Dîtes-vous Princesses ; le suis-je
Les portes de l'autre Monde ont
Eteind les moindres neiges et
Le miroir, vous savez ; celui que
J'aimais tant et l'éternel voile
Blanc sous la robe des ailes




J'écris ainsi, et ta modification est non avenue...

J'ai ce miroir
Alors même gardé
Au-delà des neiges
Par le vampires des rêves

[Hauteur]

Tu te trompes, Mes mots sont :
Dîtes-vous Princesses ; le suis-je  
Les portes de l'autre Monde ont  
Eteind les moindres neiges et  
Le miroir, vous savez ; celui que  
J'aimais tant et l'éternel voile  
Blanc sous la robe des ailes  

J'écris ainsi, et ta modification est non avenue...
J'ai ce miroir
Alors même gardé
Au-delà des neiges
Par le vampires des rêves

Désolé Sarah

Mais regarde mieux, s'il te plait:

Dîtes vous neiges :
J'aimais tant de l'autre monde
Et l'éternel princesse ;
Le suis-je, et le miroir vous savez
Celui que voile blanc
Ont éteint les portes des ailes
Sous la robe les moindres.

C'est beaucoup plus compréhensible.

Personne comprend non plus, comme ton premier texte, mais ça fait mieux quand même.

Regarde bien et tu verras que ça n'est pas inintéressant.

Qu'en dis-tu ?

Hauteur

[.ds.]

ça va pas à cause de "éternel princesse"
"éternelle"

Personne n'éteint aucune robe le néant est un voile qu'illumine chaque jour l'éternel prince.. Si fût soit-il !

Bien amicalement...

[Hauteur]

ça va pas à cause de "éternel princesse"
"éternelle"

Personne n'éteint aucune robe le néant est un voile qu'illumine chaque jour l'éternel prince.. Si fût soit-il !

Bien amicalement...

Je sais, je n'ai pas osé toucher trop les mots, et "éternel" aurait du être féminin.

Personne robe chaque fût, Si soit-il ! qu'illumine l'éternel voile n'éteint le néant. Est un jour prince... aucune.

Tu es d'accord ?

Amitié

[.ds.]

Rire, bien sûr que OUI, si tu l'aimes ainsi ?

[Hauteur]

Rire, bien sûr que OUI, si tu l'aimes ainsi ?

J'adore !

Il y a aussi :

Personne n'illumine aucune voile. le néant est un robe qu'éteint chaque jour fût l'éternel prince.. Si soit-il !

Pas mal non plus... Hein ?


Amitié
Hauteur

[Hauteur]

pffffffff :wink: