DIRECTIONS
Sois donc le bienvenu, grand voyageur nordique
J’ai su d’un seul regard, qui tu étais vraiment !
Est-ce là une offense, ou bien si dramatique ?
Ou est-ce un si grand drame, de lire au fond des gens ?
Prêcheur du grand froid, tu sèmes aux quatre vents
Les évangiles divins, qui illuminent ta foi.
Tu marches obstinément, récitant tes prières,
Prouvant ton dévouement, au dieu que tu vénères.
Et chaque jour un peu plus, un peu plus de fidèles
Qui puisent au fond de toi, la parole éternelle.
Tu m’as appris beaucoup ! bien plus que tu ne crois
Je repense souvent, aux explosions de joie
Le soir au coin du feu.
Tu me narrais naguère
Bien avant tes voyages, bien avant d’être sage
Fuyant moult batailles, et trop las de ces guerres,
Fuyant le sang versé, et ces affreux carnages !
À chacun son histoire, à chacun son combat,
Apportant ici-bas, réconfort et sagesse,
Tu as gagné ta place, aux côtés du Très-Haut.
Adieu, mon vieil ami, marche autant que tu peux,
Si quelqu’un, quelque part, attend et garde espoir,
Tu feras de ton mieux, fier serviteur de Dieu !
Charles Monzat
Sois donc le bienvenu, grand voyageur nordique
J’ai su d’un seul regard, qui tu étais vraiment !
Est-ce là une offense, ou bien si dramatique ?
Ou est-ce un si grand drame, de lire au fond des gens ?
Prêcheur du grand froid, tu sèmes aux quatre vents
Les évangiles divins, qui illuminent ta foi.
Tu marches obstinément, récitant tes prières,
Prouvant ton dévouement, au dieu que tu vénères.
Et chaque jour un peu plus, un peu plus de fidèles
Qui puisent au fond de toi, la parole éternelle.
Tu m’as appris beaucoup ! bien plus que tu ne crois
Je repense souvent, aux explosions de joie
Le soir au coin du feu.
Tu me narrais naguère
Bien avant tes voyages, bien avant d’être sage
Fuyant moult batailles, et trop las de ces guerres,
Fuyant le sang versé, et ces affreux carnages !
À chacun son histoire, à chacun son combat,
Apportant ici-bas, réconfort et sagesse,
Tu as gagné ta place, aux côtés du Très-Haut.
Adieu, mon vieil ami, marche autant que tu peux,
Si quelqu’un, quelque part, attend et garde espoir,
Tu feras de ton mieux, fier serviteur de Dieu !
Charles Monzat
