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vent

Member Since 21 Oct 2006
Offline Last Active Dec 20 2006 08:25 PM
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La Parole Est à Dorothée Cochard.

20 December 2006 - 08:24 PM

Ils ne voileront pas entre vos regards ces mots
Qui éliront Dorothée cochard tête de liste
Bien devant moi ( farid khenat ) son vrai acolyte
Qui vous laissera en sa compagnie jusqu’à nouvel ordre.
Merci. La parole est entre ses lèvres, la décision aussi,
Pour vous en dire que vous n’avez pas à trop parler
Pour ne rien dire.
J’en suis vraiment navré ! Je lui offre cette parole que vous n’avez pas.
Moi farid khenat.
À très bientôt.

Debout.

19 December 2006 - 07:58 PM

Fréquemment, entre mes doigts ma rémige pleure
L’iniquité amovible des sentences guerrières
Qui bivouaquaient sur ses lèvres minaudières.

Ses témoins restaient souvent dans leurs sueurs
Froides frémissants du crépuscule à l’aurore
Comme la frondaison qui voletait sans sort.

Solennellement, mes mots recourent l’imposteur
Vagabondant derrière les enfoncés sillons
Qui refermaient péniblement leurs longs layons.

Les rangs finissaient souvent dans leurs grandeurs
Randonneurs sous mes doigts qui exhument les mots
Que j’ai longtemps laissés inanimés avec mes maux.

L’écuyer pourchassait, jusqu’au point d’heur
Le pleutre qui voulait murer mon mirmillon
Pour y laisser vide le layon entre les sillons,

Et le temps qui en laissait ses témoins menteurs
Au bal des lumières finissait bien chaque soir
Embastillé entre les longes du destin peinard.


farid khenat et dorothée cochard et non abderahmane, mohamed, kader, et les menteurs du temps.

"juste quelques tercets pour en dire aux lâches que je tirerai fortement prochainement."
moi farid khenat.

" elle l'autre voleuse n'a rien avoir ici désolé !"

Mon Art.

18 December 2006 - 06:39 PM

J’ai longtemps attendu ta gésine sans perdre
La constance qui m’a laissé soutenir le désir
Talonnant mon vigoureux écuyer qui en détire
Son ton délicatement sur la courbe de tes tertres.

J’ai vidé derrière l’attente de mon âme intègre,
La vue qui pouvait soigneusement en décrire
Ma longue souffrance sans froisser mes délires
Qui me recréaient ton image comme un spectre.

L'espoir n’en avait ni couleur ni toit en ma vue
Que j’ai asséchée pour y laisser vides mes regards
Qui fuyaient la couleur noire de ma souffrance :

La profondeur de l’abîme a absorbé l’envie nue
Quand j’ai ouvert mes yeux pour revoir mon art
Et sous son toit, je l’ai bien vu mourir, son sens.

moi farid khenat et dorothée cochard.
" abderahmane, abdelkader, abdellah, kamel, mohamed, ali, ahmed, aziz, akli, slimane amine karim et compagnie n'ont rien avoir ici.

Je N'aime Pas L'ingratitude Et La Lâcheté.

14 December 2006 - 04:04 PM

Je n’offrirai pas un autre fil à ton licier
Qui voulait raccommoder l’ère oubliée.
Je n’offrirai pas l’aiguille qui se brise
Sur ta mise à l’autre main qui l’aiguise.

Evasive, sous les ailes du rêve fougueux
Tu as voleté les cieux des brumes assises
Dessus l’agilité des souffles printaniers.

Contemplateur, je suis resté au devant
Des mobilités qui valsaient sur le loess
Empenné de ma pensée scrutant le ton
De mon aède qui caressait l’allégresse.

O, aubade versatile ! L’évasion touriste
Sommeille de plus en plus entre tes airs
Et elle n’en tire de l’effort que sa triste
Fin comme un volatile survolant la mer.

O, envie perfide ! Sûrement, son voeu
Survolant l’ampleur du néant sans mise
Égarera au retour ses ailes et ses alliées,

Et loin des yeux qui fouinaient les lieux
Son âme égarée priera vaine ses aïeuls.


moi farid khenat en solitaire.
erreur ! ahmed, akli, houcine mohamed n'ont rien avoir ici. désolé ! je reste seul loin de la lâcheté
et l'ingratitude.
j'ai dit moi farid khenat seul

Tel L'éclat Du Jour.

12 December 2006 - 07:00 PM

Où l’éclat du jour finissait rougissant,
Où les flammes brûlaient leur couleur
Vermeille pour réchauffer les frissons
Du déclin les enflammant d’un leurre.

Où les lueurs s’éteignaient timidement,
Où l’hâlée chamarrait sa pâle flamme,
Pour tisser un soyeux lœss au serment,
J'assoupirais, mes craintes et mon âme,

Pour en faire de ma mort un autre amour
Qui ressemblerait à sa vieillesse céleste,
Ou à sa renaissance sur les rives du jour.

Où l’éclat du lever renaissait flamboyant
Où les oiseaux chantaient leur délivrance
Matinale pour l’animer d’un air attrayant,
Où l’encense rassasiait la concupiscence,

Pour rehausser l’amour, la belle hâlée
M’attendant entre ses flammes ardentes,
Et ses couleurs qui rhabillaient son ignée
Flamme, je l'entourerais d’une main ardente.

Et pour en mourir d’amour, je suivrais le jour
A mon tour inlassablement, où les lestes
Etoiles, refaisaient somptueusement leurs coures.


dorothée cochard, farid khenat et non akli. désolé !


Enregistré le 19 Mai 2006 à 19:06
par 1807657

Oeuvre Originale

Auteur :
dorothée cochard et farid khenat
par moi farid khenat.

" nous les kabyles on ne peut pas humilier un kabyle même menteur et ils sont tous des menteurs mais ils ont bien l'âarouch à leurs côtés"

les corrections apportées à certains poèmes que j'ai posté ailleurs en les repostant ici sont les miennes. désolé ! ils n'ont jamais écrit un mot avec moi.
moi farid khenat.