Sous l'aimable et bienveillant patronage de Patrick Cintas et de la Revue d'art et de littérature, musique (RALM) :
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L'émotion me laisse sans voix.
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#357430 L'anthologie De La Série
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on 16 November 2006 - 07:07 AM
in
Analyse textuelle
#351147 Fragment (15)
Posted by
on 15 October 2006 - 07:35 AM
in
Analyse textuelle
Citation (homere @ Oct 14 2006, 07:29 PM) <{POST_SNAPBACK}>
votre analyse svp
Ah ! mon pauvre Homère... Si tu savais ce que ce forum est lent. Ici les gens prennent le temps de lire avant de dire quoi que ce soit du poème. Si le poème est flèche, le lecteur est tortue ! Voilà pourquoi Rimbaud a sûrement dit : "La poésie sera en avant !"
Enfin, il l'a écrit. Une analyse d'Homère ? Cela se mitonne... Le temps que tu enterres la hache de guerre avec Israël et que tu entres sur le terrain diplomatique, peut-être ?
#351146 Bug
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on 15 October 2006 - 07:26 AM
in
Analyse textuelle
Moi, j'écris "bogue".
#350556 Qui Veut Analyser?
Posted by
on 12 October 2006 - 04:07 PM
in
Analyse textuelle
SUJET SCINDE PAR SERIOLISATION
Merci de bien vouloir proposer des lectures du poème posté sur ce forum sans trop vous perdre en considérations historiques, philosophiques ou forumologiques.
Suite du topic
Merci de bien vouloir proposer des lectures du poème posté sur ce forum sans trop vous perdre en considérations historiques, philosophiques ou forumologiques.
Suite du topic
#350555 Rien
Posted by
on 12 October 2006 - 03:58 PM
in
de rien
Dupin j'ai peu lu et le peu que j'ai lu ne m'a guère convaincu mais tu as peut-être une clef ?
#345507 Le Huitième Cercle
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on 22 September 2006 - 03:52 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Théagène @ Sep 22 2006, 02:45 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Plaisir partagé! Merci.
Que lis-tu actuellement?
Que lis-tu actuellement?
Heu... le canard enchaîné !
#345506 Sonnet Du Canard Clandestin
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on 22 September 2006 - 03:47 PM
in
Salon de publication principal
Est-ce donc impossible, être un canard français ?
Quand on est comme moi sans ailes et sans pattes
J’ai vu Napoléon ! revenir des Carpates.
Avec un gros bouquin et un kilt écossais.
J’ai vu Charles de Gaulle boire au Quai d’Orsay
A l’époque bénie où je mangeais des blattes
Et Jacques Chirac fier de tout ce que tu rate,s
Toi le Français moyen quand je criais « okay ! »
Tout canard impérial que je sois, je dois dire
Que le cours de l’histoire m’a donné raison.
Je ne suis pas français ! Je serai un poisson !
Mais je perpétuerai la gloire de l’empire.
A manger des corneilles, on se mord l’estomac ;
Rêver l’empire chu n’agrandit pas le lac.
Quand on est comme moi sans ailes et sans pattes
J’ai vu Napoléon ! revenir des Carpates.
Avec un gros bouquin et un kilt écossais.
J’ai vu Charles de Gaulle boire au Quai d’Orsay
A l’époque bénie où je mangeais des blattes
Et Jacques Chirac fier de tout ce que tu rate,s
Toi le Français moyen quand je criais « okay ! »
Tout canard impérial que je sois, je dois dire
Que le cours de l’histoire m’a donné raison.
Je ne suis pas français ! Je serai un poisson !
Mais je perpétuerai la gloire de l’empire.
A manger des corneilles, on se mord l’estomac ;
Rêver l’empire chu n’agrandit pas le lac.
#345503 Ready-made, Ready-made Aidé - Structures Sérielles
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on 22 September 2006 - 03:36 PM
in
A corriger
Pour combiner style oral et tradition (à la Queneau, dans les Ziaux, une merveille de merveille de poésie), on pourrait essayer d'atroces diérèses :
"Rentre chez toa, 'spèce de sans papier"
à lire :
"Ren-tre chez to-a, 'spè- || -ce de sans-pa-pi-er"
Cela dit, du temps de Pasqua ça aurait fait tilt. Avec le petit branque qui veut semer la guerre civile pour devenir président, un autre style est à trouver.
"Les français savent que j'ai raison quand je dis que les juges ne font pas leur travail."
Ah ? Je ne suis pas français ? Ou bien je suis mauvais français, voire.
"Rentre chez toa, 'spèce de sans papier"
à lire :
"Ren-tre chez to-a, 'spè- || -ce de sans-pa-pi-er"
Cela dit, du temps de Pasqua ça aurait fait tilt. Avec le petit branque qui veut semer la guerre civile pour devenir président, un autre style est à trouver.
"Les français savent que j'ai raison quand je dis que les juges ne font pas leur travail."
Ah ? Je ne suis pas français ? Ou bien je suis mauvais français, voire.
#345499 Se Faire Cuire Deux Oeufs
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on 22 September 2006 - 03:25 PM
in
Salon de publication principal
Fume, ça vient de Papeete, ça déchire, ça te calmera un peu. Les pseudos, on s'en bat les ieuks mon gars : l'important c'est de savoir ce qui est dit, avec quelle cohérence. Peu importe que Remo soit Héloïse ou Gaston Kwizera Med37...
Heu. Pardon Gaston ? Tu veux un truc de Papeete ?
Heu. Pardon Gaston ? Tu veux un truc de Papeete ?
#345496 Trop
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on 22 September 2006 - 03:20 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Med37 @ Sep 20 2006, 06:57 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Je n'aurais pas la cruauté de te dire ce que je pense vraiment de tes "Oeuvres".... sinon retravailles, retravailles et change même de sujet, ceux que tu as choisis ci-dessus ne sont pas à ta dimension.
La mort je connais je suis orphelin depuis l'adolescence, mon Père est mort à Dachau en camp de concentration, pour fait de résistance à l'occupant nazi.
Moi j'ai été blessé grièvement : un mois de coma, plus tard deux crises cardiaques, sauvés de justesse, je disais qu'il y avait des sujets avec lesquels on ne plaisante pas.
La mort je connais je suis orphelin depuis l'adolescence, mon Père est mort à Dachau en camp de concentration, pour fait de résistance à l'occupant nazi.
Moi j'ai été blessé grièvement : un mois de coma, plus tard deux crises cardiaques, sauvés de justesse, je disais qu'il y avait des sujets avec lesquels on ne plaisante pas.
Les histoires personnelles n'ont pas leur place sur un forum de poésie. Ainsi d'ailleurs de vos relations avec M. De Caune. Est-ce que je m'enorgueillis d'avoir suivi le cours de Pierre Boulez au Collège dans les années 92-93 ? Est-ce que je me vante d'avoir serré la main d'Arlette Laguiller en 1988 ? Est-ce que je vous emmerde avec mes rencontres littéraires ?
Votre série de commentaires, monsieur, est comme dit un modo d'ici une [pollution] sur un texte qui ne méritait votre "lecture"' qu'à considérer, comme faisait Aragon, que la valeur d'un poème s'évalue au nombre d'âneries qu'il suscite.
Gaston, tu as visiblement écrit un chef-d'oeuvre.
#345226 Le Huitième Cercle
Posted by
on 21 September 2006 - 10:02 AM
in
Salon de publication principal
Non, non ! Sinon tu vas me raboter le vers qui précède ! Je viens de m'apercevoir que les deux premiers de la strophe font 12 syllabes et le 3e en fait 13 et demi. Plus sérieusement la progression rythmique me semble aller vers ce presque-parlé, ce rythme plus heurté.
Mais je peux essayer d'en faire un sonnet ?
Mais je peux essayer d'en faire un sonnet ?
#344505 Eve (au Milieu Du Chaos)
Posted by
on 16 September 2006 - 04:45 PM
in
Salon de publication principal
Je ne comprends pas ce qui est reproché au colibri ?
#344264 Implacables Séries
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on 15 September 2006 - 10:17 AM
in
Salon de publication principal
Je n'ai pas vu Dieu mais j'avais toute une batterie de vérités sur son compte. Nul ne m'a entendu, n'est-ce pas la preuve que je suis prophète ? Cinquième jour.
#344261 Les Canards Sur Le Lac
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on 15 September 2006 - 10:13 AM
in
Salon de publication principal
..ah ! ou la série [la semaine n'est-elle pas ce que Léopold de Saussure appelait une "série septénaire" ?]
#343367 En Cerclant L'abat-jour
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on 10 September 2006 - 08:28 AM
in
Salon de publication principal
Hé ! Tu remarqueras que je suis toujours prêt à te donner du travail !
#343357 Dis-nous Poete
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on 10 September 2006 - 07:56 AM
in
Salon de publication principal
Avec des responsabilités pareilles, on est bien obligé de réfléchir avant de se vouloir poète, je pense. Le style est un peu passé mais le souffle est juste, je trouve.
#343355 Vas-t'en
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on 10 September 2006 - 07:54 AM
in
Salon de publication principal
Bien tapé.
#343353 En Cerclant L'abat-jour
Posted by
on 10 September 2006 - 07:52 AM
in
Salon de publication principal
Tu as peut-être raison, je ne sais. C'est un peu une lettre aussi, et le flux linéaire de quelqu'un qui s'adresse à un absent.
En fait, je ne vois pas bien où je pourrais faire des coupures. Je te l'envoie ?
En fait, je ne vois pas bien où je pourrais faire des coupures. Je te l'envoie ?
#343227 Une Chose
Posted by
on 09 September 2006 - 10:27 AM
in
Salon de publication principal
Une ouverture exceptionnellement belle, Héloïse. Je suis toujours surpris par la multiplicité de tes voix, et leur maîtrise. Une césure intervient à partir de "Je pourrais charogner mon cœur et sa béance". Les néologismes en série et le passage au conditionnel me donnent l'impression d'un tout autre poème, d'une moindre force. Le vers final est aussi merveilleux que simple.
Mais ça, mon dieu, ça !
C'est d'une beauté sans pareil. A mon [hum, humble ?] avis.
Mais ça, mon dieu, ça !
Citation
Je sais une chose
Une fêlure
Une falaise comme une cathédrale mutilée
Tout est irréel et cette autre
Femme qui n’est plus moi
Je parle d’un corps en recomposition
Peau d’asphalte de mes bras en passerelle
De souples arceaux entre
Un tas de mots orduriers
Somptueuse pourriture
Et ne vois-tu pas de l’autre côté
Un jardin de fleurs malades mes souffrances
Minuscules que nul ne lit plus
Une fêlure
Une falaise comme une cathédrale mutilée
Tout est irréel et cette autre
Femme qui n’est plus moi
Je parle d’un corps en recomposition
Peau d’asphalte de mes bras en passerelle
De souples arceaux entre
Un tas de mots orduriers
Somptueuse pourriture
Et ne vois-tu pas de l’autre côté
Un jardin de fleurs malades mes souffrances
Minuscules que nul ne lit plus
C'est d'une beauté sans pareil. A mon [hum, humble ?] avis.
#343215 La Girafe à Deux Têtes
Posted by
on 09 September 2006 - 08:31 AM
in
Salon de publication principal
Soyons sérieux, sérieux, voyons
que je sois une girafe à deux têtes
que l'une parle de plus de voix que l'autre
que les têtes gonflent et dégonflent à mesure
des allées dépravées et des venues du diable
et de ses visiteurs qui n'en reviendront pas
tout cela, tout cela et même plus
ni ma furie ni ma curie et moins encore
les lubies et les fesses malades et enflées
du diable qui me fait parfaitement confiance
rien de tout, rien, de tout cela, rien
n'implique en aucun cas ni à mon cul
que je doive - ce n'est pas écrit - rien
n'est écrit - comme je l'écris je vous le dis
en vérité - je vous l'écris - rien ne m'oblige
à me tenir aux portes de l'enfer
je ne suis pas payé pour ça, voyez
juste pour être hideux, pourri et
de ma tête difforme je rattrape mon cou
si c'est un cou de fou je vous le dis
en vérité je vous l'écris - et rien
non, rien - rien ne m'obligerait
à cause des petits spectacles mesquins
dont je vous entretiens - entrez, entrez
quand le diable vous tient - et bien
la tête collée entre ses fesses qui sont
votre cabine d'intime projection privée
de lumière et de son et de respiration
pour votre nez ensanglanté et envieux
de mes têtes hideuses mais nasales
à me tenir dans ma folie curieuse
pour vous attirer aux portes de l'enfer
je me tiens au dehors - c'est ma folie
et ma curie - votre incurie et ma curée
je cuve d'avoir bu tout l'enfer, je dégivre
mais je me souviens de rien, pas vous
ni je me souviens de vous, ni vous
et ma parole est sans valeur, alors
il ne vous reste qu'à recommencer
la projection va bientôt s'enfoncer
et vous aussi : je me dore la pilule
au soleil, à la porte, jeté et viré
comme une girafe sans emploi
muette à cause de deux têtes
aujourd'hui est jour de fête.
que je sois une girafe à deux têtes
que l'une parle de plus de voix que l'autre
que les têtes gonflent et dégonflent à mesure
des allées dépravées et des venues du diable
et de ses visiteurs qui n'en reviendront pas
tout cela, tout cela et même plus
ni ma furie ni ma curie et moins encore
les lubies et les fesses malades et enflées
du diable qui me fait parfaitement confiance
rien de tout, rien, de tout cela, rien
n'implique en aucun cas ni à mon cul
que je doive - ce n'est pas écrit - rien
n'est écrit - comme je l'écris je vous le dis
en vérité - je vous l'écris - rien ne m'oblige
à me tenir aux portes de l'enfer
je ne suis pas payé pour ça, voyez
juste pour être hideux, pourri et
de ma tête difforme je rattrape mon cou
si c'est un cou de fou je vous le dis
en vérité je vous l'écris - et rien
non, rien - rien ne m'obligerait
à cause des petits spectacles mesquins
dont je vous entretiens - entrez, entrez
quand le diable vous tient - et bien
la tête collée entre ses fesses qui sont
votre cabine d'intime projection privée
de lumière et de son et de respiration
pour votre nez ensanglanté et envieux
de mes têtes hideuses mais nasales
à me tenir dans ma folie curieuse
pour vous attirer aux portes de l'enfer
je me tiens au dehors - c'est ma folie
et ma curie - votre incurie et ma curée
je cuve d'avoir bu tout l'enfer, je dégivre
mais je me souviens de rien, pas vous
ni je me souviens de vous, ni vous
et ma parole est sans valeur, alors
il ne vous reste qu'à recommencer
la projection va bientôt s'enfoncer
et vous aussi : je me dore la pilule
au soleil, à la porte, jeté et viré
comme une girafe sans emploi
muette à cause de deux têtes
aujourd'hui est jour de fête.
#343214 Enfer
Posted by
on 09 September 2006 - 07:47 AM
in
Chansonniers
Tranquillement tu t'installes
dans un fauteuil armé
et ta tête s'est armée
au sang - au sol
ta tête voit dessous le sol
le sol se répand sur tes mains
et tes mains s'entrouvrent
dehors - dehors
vois ton visage dispersé
et ce sont des nuages
et les nuages écoulent ton visage
ton visage - se fend - s'ouvre
maintenant - il reste
au fauteuil - au fauteuil
et tu dis : "C'est la faute de l'oeil."
La faute de l'oeil -- ou de ta main
ta main s'ouvre au sol
et ton oeil regarde
dessous le sol
et tu plonges
vers l'enfer
vers l'enfer vois le diable
Enfer
dans un fauteuil armé
et ta tête s'est armée
au sang - au sol
ta tête voit dessous le sol
le sol se répand sur tes mains
et tes mains s'entrouvrent
dehors - dehors
vois ton visage dispersé
et ce sont des nuages
et les nuages écoulent ton visage
ton visage - se fend - s'ouvre
maintenant - il reste
au fauteuil - au fauteuil
et tu dis : "C'est la faute de l'oeil."
La faute de l'oeil -- ou de ta main
ta main s'ouvre au sol
et ton oeil regarde
dessous le sol
et tu plonges
vers l'enfer
vers l'enfer vois le diable
Enfer
#343213 Le Temps Des Assassins
Posted by
on 09 September 2006 - 07:39 AM
in
Le petit salon...
Un excellent cru, Raz !
J'ai moi aussi connu des assassins verbaux : ce sont, souvent, des pervers narcissiques.me
J'ai encore connu des victimes de mots innocents : ils étaient suicidaires.
Mais si ceux qui tuent pour manger sont peu fréquentables, que dire de ceux qui mangent leur viande sans oser tuer eux-mêmes ? Autrement dit, des commanditaires. Nous sommes tous des assassins ? Sauf les végétariens ?
Je demande ça sans trop de mauvaise conscience. Je suis un tueur sériel, pour ma part. Car comme dit l'ami Joe Dalle,
Si tu me donnes tort
Je te donne la mort.
Car le tort tue, c'est bien connu !
J'ai moi aussi connu des assassins verbaux : ce sont, souvent, des pervers narcissiques.me
J'ai encore connu des victimes de mots innocents : ils étaient suicidaires.
Mais si ceux qui tuent pour manger sont peu fréquentables, que dire de ceux qui mangent leur viande sans oser tuer eux-mêmes ? Autrement dit, des commanditaires. Nous sommes tous des assassins ? Sauf les végétariens ?
Je demande ça sans trop de mauvaise conscience. Je suis un tueur sériel, pour ma part. Car comme dit l'ami Joe Dalle,
Si tu me donnes tort
Je te donne la mort.
Car le tort tue, c'est bien connu !
#343212 Toute La Poésie
Posted by
on 09 September 2006 - 07:35 AM
in
A corriger
#343211 De Rien
Posted by
on 09 September 2006 - 07:32 AM
in
de rien
Je vote pour. Mon dieu, encore un poète qui va passer pour prétentieux, méchant, etc.
Je crois que c'est dans Moulin premier aussi qu'il a cette phrase merveilleuse :
Je ne plaisante pas avec les porcs.
Ce qu'il a prouvé par la suite, d'ailleurs.
Eden, on peut le mettre en frontispice ? Je crois que la clef de ce forum est précisément là.
Je crois que c'est dans Moulin premier aussi qu'il a cette phrase merveilleuse :
Je ne plaisante pas avec les porcs.
Ce qu'il a prouvé par la suite, d'ailleurs.
Eden, on peut le mettre en frontispice ? Je crois que la clef de ce forum est précisément là.
#343208 Toc Toc
Posted by
on 09 September 2006 - 07:22 AM
in
Salon de publication principal
Pour la mienne, moins.
Nous inventons (ou réinventons, hum) la "critique de rien".
Nous inventons (ou réinventons, hum) la "critique de rien".
