Fête d’orages
Mon dieu, çà pète là haut,
Là haut, c’est la fête,
Un défilé de tonnerres,
Un bruit de tambours battants,
Un feu d’artifices sonores
Un grand boucan d’enfer
Aux légendaires effets spéciaux.
On joue aux boules et aux quilles,
Avant, on fait le ménage,
On balaye sous les portes.
Ici-bas, c’est la guerre,
Bruits de bombes et mitrailleuses,
Trombes d’eaux et jets de grêlons,
Une pluie d’obus sous vent d’orages,
Qui font fuir les oiseaux,
Et trembler les hommes,
Pour des dégâts immémorables
Dans la ligne de mire de l’horizon.
Etigre
Etienne Gressin
Août 2005
Auteur de Ma Plume Se Promène publié
Aux Editions Publibook (Avril 2005)
www.publibook.com
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In Topic: Fête d’orages
14 September 2005 - 02:47 PM
In Topic: Ambiance discothèque
14 September 2005 - 02:42 PM
Ambiance discothèque
Je sens encore ton parfum sur ma peau,
L’odeur des fragrances de la nuit,
Où tes yeux couleur opale me dévoilèrent.
Ambiance discothèque
Oh, oh, oh, mais à quand le slow,
Quand tu poseras tes yeux vagues
Sur mes deux grands spots éblouis
Ambiance discothèque
Nous nous amusions
Dans une course intime
A travers la foule en liesse
En quête du cœur à cœur
Ambiance discothèque
Fougueuse et tendre nuit,
Le slow rêvé ne viendra pas
Je ne l’ai point commandé
Est il d’ailleurs compris dans le forfait
Ambiance discothèque
Mon corps se déchaîne
Tes yeux se déhanchent,
Et me transpercent dans une
Ambiance discothèque
Mais il est déjà trop tard
Voilà les douze coups de minuit
Et je vais bientôt repartir
On me presse de demander un slow
Pour enfin accéder au sésame le plus précieux
Pouvoir frôler le corps de ma muse d’une nuit
Ne faire plus qu’un l’espace d’une danse
Lui dire en intime toutes ces beautés
Ambiance discothèque
Mais voilà les douze coups de minuit trépassé
Et je vais devoir bientôt repartir
De ce doux golf verdoyant.
Et le slow se déclanchera
Quand il faudra partir.
Ambiance discothèque
La page est tournée
Je n’ai pas plus à raconter
Mais si cela vous arrive
Pensez tranquillement mais sûrement
A passer à l’abordage.
Etigre
Etienne Gressin
Avril 2004
Auteur de Ma Plume Se Promène publié
Aux Editions Publibook (Avril 2005)
www.publibook.com
Je sens encore ton parfum sur ma peau,
L’odeur des fragrances de la nuit,
Où tes yeux couleur opale me dévoilèrent.
Ambiance discothèque
Oh, oh, oh, mais à quand le slow,
Quand tu poseras tes yeux vagues
Sur mes deux grands spots éblouis
Ambiance discothèque
Nous nous amusions
Dans une course intime
A travers la foule en liesse
En quête du cœur à cœur
Ambiance discothèque
Fougueuse et tendre nuit,
Le slow rêvé ne viendra pas
Je ne l’ai point commandé
Est il d’ailleurs compris dans le forfait
Ambiance discothèque
Mon corps se déchaîne
Tes yeux se déhanchent,
Et me transpercent dans une
Ambiance discothèque
Mais il est déjà trop tard
Voilà les douze coups de minuit
Et je vais bientôt repartir
On me presse de demander un slow
Pour enfin accéder au sésame le plus précieux
Pouvoir frôler le corps de ma muse d’une nuit
Ne faire plus qu’un l’espace d’une danse
Lui dire en intime toutes ces beautés
Ambiance discothèque
Mais voilà les douze coups de minuit trépassé
Et je vais devoir bientôt repartir
De ce doux golf verdoyant.
Et le slow se déclanchera
Quand il faudra partir.
Ambiance discothèque
La page est tournée
Je n’ai pas plus à raconter
Mais si cela vous arrive
Pensez tranquillement mais sûrement
A passer à l’abordage.
Etigre
Etienne Gressin
Avril 2004
Auteur de Ma Plume Se Promène publié
Aux Editions Publibook (Avril 2005)
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In Topic: Quand les fous résonnent
08 September 2005 - 09:32 AM
Quand les fous résonnent
Quand les fous résonnent,
C’est la base qui trinque.
Quand les grands le font,
Seul l’honneur est sauf.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autodétruisent
Mais ne comptent pas sur nous.
A la guerre, faites comme chez vous,
Plus on est de fous, plus l’on rit.
Les uns bombardent des civils,
Les autres torpillent des cargos.
Les uns massacrent des innocents,
Les autres les torturent.
Quand les fous résonnent,
Ils se partagent le Monde
Quand les grands le font,
Seul la loi s’impose.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autoréduisent
Mais ne comptent pas sur nous.
Petite guerre entre ennemis,
Même entre alliés
Règne la méfiance.
Les uns vous colonisent,
Les autres vous asservissent
Les uns s’opposent
Les autres s’imposent.
Quand les fous résonnent,
Ils contrôlent le Monde
Quand les grands le font,
Seul la patrie paye.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autocontrôlent
Mais ne comptent pas sur nous.
Grand profit pour grande victoire
L’argent est le nerf de la guerre
Et le moteur du Monde.
Les uns exploitent,
Les autres profitent
Les uns résistent
Les autres signent.
Quand les fous résonnent,
La base se révolte
Quand les grands le font,
Seul le régime change.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autocritiquent
Mais ne comptent pas sur nous.
Les régimes changent
Mais les hommes restent ;
Le monde change
Mais les fous demeurent.
Les uns déploient,
Les autres attaquent
Les uns critiquent
Les autres persistent.
Quand les fous résonnent,
C’est la loi du plus fort
Quand les grands le font,
Seul le silence est d’or.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autodéfendent
Mais ne comptent pas sur nous.
En politique, peu s’insurgent,
En pratique, au mur de la honte,
Le silence est de rigueur
Et l’ignorance est acquise
Les uns décident,
Les autres se taisent
Les uns agissent
Les autres se voilent.
Quand les fous résonnent,
Çà dure depuis des millénaires
Quand les grands le font,
C’est pas prêt de s’arrêter.
A bon entendeur, salut.
Etigre
Etienne Gressin
Août 2005
Auteur de Ma Plume Se Promène publié
Aux Editions Publibook (Avril 2005)
www.publibook.com
Quand les fous résonnent,
C’est la base qui trinque.
Quand les grands le font,
Seul l’honneur est sauf.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autodétruisent
Mais ne comptent pas sur nous.
A la guerre, faites comme chez vous,
Plus on est de fous, plus l’on rit.
Les uns bombardent des civils,
Les autres torpillent des cargos.
Les uns massacrent des innocents,
Les autres les torturent.
Quand les fous résonnent,
Ils se partagent le Monde
Quand les grands le font,
Seul la loi s’impose.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autoréduisent
Mais ne comptent pas sur nous.
Petite guerre entre ennemis,
Même entre alliés
Règne la méfiance.
Les uns vous colonisent,
Les autres vous asservissent
Les uns s’opposent
Les autres s’imposent.
Quand les fous résonnent,
Ils contrôlent le Monde
Quand les grands le font,
Seul la patrie paye.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autocontrôlent
Mais ne comptent pas sur nous.
Grand profit pour grande victoire
L’argent est le nerf de la guerre
Et le moteur du Monde.
Les uns exploitent,
Les autres profitent
Les uns résistent
Les autres signent.
Quand les fous résonnent,
La base se révolte
Quand les grands le font,
Seul le régime change.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autocritiquent
Mais ne comptent pas sur nous.
Les régimes changent
Mais les hommes restent ;
Le monde change
Mais les fous demeurent.
Les uns déploient,
Les autres attaquent
Les uns critiquent
Les autres persistent.
Quand les fous résonnent,
C’est la loi du plus fort
Quand les grands le font,
Seul le silence est d’or.
Ils sont peut-être fous
Mais même les fous résonnent,
Quant aux grands du Monde
Qu’ils s’autodéfendent
Mais ne comptent pas sur nous.
En politique, peu s’insurgent,
En pratique, au mur de la honte,
Le silence est de rigueur
Et l’ignorance est acquise
Les uns décident,
Les autres se taisent
Les uns agissent
Les autres se voilent.
Quand les fous résonnent,
Çà dure depuis des millénaires
Quand les grands le font,
C’est pas prêt de s’arrêter.
A bon entendeur, salut.
Etigre
Etienne Gressin
Août 2005
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