Où les flammes brûlaient leur couleur
Vermeille pour réchauffer les frissons
Du déclin les enflammant d’un leurre.
Où les lueurs s’éteignaient timidement,
Où l’hâlée chamarrait sa pâle flamme,
Pour tisser un soyeux lœss au serment,
J'assoupirais, mes craintes et mon âme,
Pour en faire de ma mort un autre amour
Qui ressemblerait à sa vieillesse céleste,
Ou à sa renaissance sur les rives du jour.
Où l’éclat du lever renaissait flamboyant
Où les oiseaux chantaient leur délivrance
Matinale pour l’animer d’un air attrayant,
Où l’encense rassasiait la concupiscence,
Pour rehausser l’amour, la belle hâlée
M’attendant entre ses flammes ardentes,
Et ses couleurs qui rhabillaient son ignée
Flamme, je l'entourerais d’une main ardente.
Et pour en mourir d’amour, je suivrais le jour
A mon tour inlassablement, où les lestes
Etoiles, refaisaient somptueusement leurs coures.
dorothée cochard, farid khenat et non akli. désolé !
Enregistré le 19 Mai 2006 à 19:06
par 1807657
Oeuvre Originale
Auteur :
dorothée cochard et farid khenat
par moi farid khenat.
" nous les kabyles on ne peut pas humilier un kabyle même menteur et ils sont tous des menteurs mais ils ont bien l'âarouch à leurs côtés"
les corrections apportées à certains poèmes que j'ai posté ailleurs en les repostant ici sont les miennes. désolé ! ils n'ont jamais écrit un mot avec moi.
moi farid khenat.
Edited by vent, 13 December 2006 - 09:42 PM.