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#337682 Pour Victor Du Coseille

Posted by Victor-du-Coseille on 01 August 2006 - 01:55 AM in Salon de publication principal

"alors l'absurde n'est qu'une question de gens qui s'ennuient ?"

prouve moi le crontraire, je n'adhère pas à ce que dit Camus.

"non sérieux ai-je parlé de flemmardise ?"

d'absurde, pareil.



#337635 Manie Erre Sans Manières

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 07:58 PM in Salon de publication principal

ché pas, j'ai l'impression de lire mes trucs d'il y a 1 ans et demie deux ans. ça passe plus, désolé. à croire que j'eu laissé des traces, même inconscientes. dommâge qu'elle ne fussent pas aussi mirobolantes. jmenploie à utiliser des temps qui me sont inconnu.
non, mais sincère, c'est lamentable. peace.



#337634 Septembre N'est Pas Loin

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 07:56 PM in Salon de publication principal

-effacé-



#337628 Pour Victor Du Coseille

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 07:52 PM in Salon de publication principal

la poésie, c'est comme de la merde

merci Eden . les autres se sont trompés de sujet .



#337626 Rose Médiévale

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 07:48 PM in Salon de publication principal

corbo



#337625 Septembre N'est Pas Loin

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 07:48 PM in Salon de publication principal

-effacé par moderateur



#337606 Pour Victor Du Coseille

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 06:21 PM in Salon de publication principal

pourquoi vous parlez de poésie? rien à voir avec ce qui est évoqué au dessus. certes, nous sommes sur un forum "poétique", mais...



#337595 Pour Victor Du Coseille

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 04:54 PM in Salon de publication principal

n'empêche que tu regardes



#337586 Boucher-charpentier-orthopediste

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 01:05 PM in Salon de publication principal

tu aides les hommes à marcher avec tes poèmes ? difficile non ? songe à savoir ce qui veulent te prendre ? ta lumière ? non, l'homme a besoin de tout le monde, tant la boulangère que la poétesse hystérique . personne ne compte plus que d'autres . Dosto vaut bien la prostituée de la gare.



#337583 Pour Victor Du Coseille

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 12:25 PM in Salon de publication principal

« une fois ne compte pas, une fois c’est jamais. Ne pouvoir vivre qu’une vie, c’est comme ne pas vivre du tout »

perso, je trouve ça assez débile. chacun vit sa vie comme il l'entend, mais vivre pour ne pas croire en elle, c'est vrai, quel intérêt? autant se donner la mort. tu as bien des amours, des passions, des envies? non? seulement celle d'écrire? écrire sans rien connaître de la vie ( comme nous l'avons fait pendant longtemps ), ne restant que dans l'abstraction technique des bouquins de concept, croyant que leur pouvoir dépasse la vie elle même, croyant pitoyablement que rien ne sert d'apprendre la vie dans la vie, puisque tout peut être appris dans les livres? non, jme suis trompé.

"Voilà, je voudrais vivre". Vas-y.

"Car je ne fais aucune différence de valeur entre la vie des personnes." Clair, chacun ses goûts, mais choisir l'absurde, tu m'excuses mais...

"Nous sommes victimes du temps." T'y vas pas un peu trop vite là. Sommes-nous victimes du temps? Jlé eut en sujet de disserte avant d'échouer déguelassement au bac. L'écriture, victime du temps? Se soustraire aux systèmes de pensées, à l'histoire, vivre l'éternel retour.

"C’est pourquoi l’écriture ne peut être qu’engagée, qu’elle est nécessairement ce qu’il y a de plus important, car c’est d’elle que vient l’humain, dans toute sa faiblesse et dans toute sa force, elle lui rend hommage, elle le décrit."

L'écriture, la vie.



#337581 Pour Victor Du Coseille

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 12:07 PM in Salon de publication principal

Vivre pour voyager. Voyager pour vivre. Dans l’ivresse d’une raison d’être. Car : Que la vie est las, sans problème, sans but, sans passion, sans désirs véritables. Désirer la fuite, quand bien d’autres la scrutent par orgueil. Le voyage n’était que le voyage, le désir n’était que voyage, tout n’était que pour le voyage. Ni de performance, ni de fierté ; que des choses, des moments des instants ; j’ai vécu une infinité de situations qui jusqu’alors m’étaient étrangères, rompu mon ascension vers la quotidianisation sociétale qui m’aurait probablement tué dans un proche futur. Je ne donne plus de prix à ces choses là. Aller de l’avant, bouger, travailler, faire des choses aussi différentes les unes des autres. Ne pas se morfondre dans la paresse du sans problèmes, car pour apprendre il faut qu’il y ait des raisons, et pour qu’il y ait des raisons, il faut qu’il y ait des problèmes, et les problèmes nous mènent face à des situations qui en tout temps bonifient l’âme des gens. Apprendre : une finalité, toute la quête d’une subjectivité pathétiquement normal. Se créer les problèmes pour ainsi les affronter, apprendre de tout, tout faire sur tout une vie. Devenir moine, faire la légion, être un temps patron de discothèque, vendre du shit, manger de la merde, voyager, bouger, faire, accepter qu’un pédé vous suce la bite du côté de la gare d’Hendaye, ou ne pas l’accepter et le regretter ensuite ; l’homme est fait pour vivre chaque jour quelque chose de nouveau. L’oisiveté est odieuse. Baudelaire, « au lecteur », de l’ennui et des spleens. Autant être tous les mensonges possibles, que de paraître la plus insignifiante vérité. Car l’homme n’est que mensonge, en constant devenir, il est un animal qui va avec pour horizon le champ du possible. Se créer par tous les moyens par toutes les matières. Son existence précède l’essence, que dieu existe ou qu’il n’existe pas. Il nous a déjà donné une image, pourquoi se serait-il fait chier à parfaire chacun de nous ? Réalisation, faire des enfants, du football, dormir dans les parcs de clodos, se laver les dents, ne pas se laver les dents, et refuser l’habitude qui prive chaque type de ce qu’il pourrait faire. Je suis né de ce voyage en purifiant cet esprit timoré, tombé dans le chaudron magique, immergé par la volonté de puissance. Et pour me créer de la meilleure des façons, je suis nécessairement contraint à étendre mon esprit, à l’ouvrir, à le confronter aux autres, à la vie, à l’apprendre. Il n’y a pas de meilleure façon, chacun kiffe sa façon, et grâces à vos façons, je me dessine de telle façon. Car c’est bel et bien dans la pluralité des pensées, des opinions, des imaginations, des caractères, des actions que l’on avance, créant à chaque évènement une éthique garantissant à tous le possible, et à sa libre action. La vie est tellement belle. C’est en écoutant et en aimant cette pluralité comportementale que l’on comprend le pourquoi du manque de liberté de certains points de vus vis à vis des choses et des évènements. C’est en confrontant le tout au tout que l’on découvre la seule vérité.

Rien à voir. Mais moi aussi, scrute, cherche. Dosto faisait dire à je ne sais plus lequel de ses personnages: pourquoi donner un sens à la vie quand bien même tu pourrais l'aimer sans y avoir trouver de sens ?

Aimons la vie avant de lui chercher des sens pour justifier le spleen existentiel qui ronge l'homme depuis longtemps. Si l'homme est las, c'est qu'il a choisit de l'être. Si l'homme parle d'absurde, c'est qu'il a choisit de le vivre. Rien n'est plus important que la vie, l'écriture n'en est qu'un compte rendu dérisoire en proie à la subjectivité et au mensonge de son sujet. Nous vivons l'absurde en négligeant notre totale liberté vis à vis du possible. Se retrouver à Malaga sans thune avec l'unique désir de rentrer chez soi, donne une raison de vivre. Non pas un sens, mais une raison de vivre au moment où tu te décides à partir. Ne se créant pas de problèmes, l'homme vit l'absurde. Retrouve toi seul dans le désert, et regarde si la vie est absurde. Y songeras-tu seulement une fois ? Ou feras-tu en sorte de t'en sortir indem ? L'absurde est, quand l'homme se fait chier, sans problème, quand l'homme, sans raison de vie apparente, n'a aucun but, ni aucun problème. Fixe un truc, va t'en, retrouve toi seul. Tu verras que l'absurde n'est qu'une question futile, déstinée aux seuls yeux de ceux qui n'envisagent les problèmes comme source d'initiations et de force.

Peace.


Réalisons nous d'abord, nous verrons ensuite. Ce n'est qu'une affaire de choix, l'un choisit l'absurde, la paresse, la flemmardise; l'autre la vie, l'action, son tout, le possible.



#337582 COMPLAINTE DU GRAND INQUISITEUR

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 12:03 PM in Salon de publication principal

chatelé les al station balnéaire



#337541 Ode à Gaston

Posted by Victor-du-Coseille on 31 July 2006 - 03:48 AM in Salon de publication principal

exhibitionnistes



#337499 A Toi L’ami

Posted by Victor-du-Coseille on 30 July 2006 - 02:42 PM in Salon de publication principal

L’impression de vivre enfin. J’ai 19 ans, j’aime déjà la vie. Je partirai je crois. J’irai. Et sous un temps de Paris, j’allumerai les scandales qui dans ma tête s’agitent et tournent. J’ai abandonné mes potes. Ouvertement abandonné. Croyant que nous étions chacun le fardeau des deux autres. Part de tristesse. Lâche que j’ai été, non pas que j’ai choisit la facilité plutôt que la fierté, mais j’ai préféré la solitude à l’amitié. Il est des fois où la conscience pleur. Il est des fois comme celle ci, si triste et les arbres deviennent gris, et la pluie coule ne sachant plus où partir. Je veux le lointain, seul. Me purifier l’âme de tout les péchés que j’ai commis. Qu’il est des fois où l’on se sent désolé. Je m’excuse auprès de tous et de tout de mon incommensurable traîtrise. Je suis de ceux qui n’arrive pas. De ceux dont les sentiments ne savent correctement s’exprimer. Et j’aime le monde, mes amis, mes frères, ma famille. Comment pourrais-je m’excuser ? Mes excuses vaudraient-elles la peine ? Suis-je la misère du matin, l’impureté de la nuit ?

Immense voyage. Immense. Il faisait bon.

Au sud. Pascal m’a donné goût de Dieu. J’ai aimé Alioucha.

Dédicace aux voyageurs que nous avons été. Madrid. Seul. Rien.



#337458 Septembre N'est Pas Loin

Posted by Victor-du-Coseille on 30 July 2006 - 04:07 AM in Salon de publication principal

de battre, peut-être ou peut-être pas.



#337457 Quand La Nuit Tombe

Posted by Victor-du-Coseille on 30 July 2006 - 04:06 AM in Salon de publication principal

chiasse



#337456 Il A De L'allure

Posted by Victor-du-Coseille on 30 July 2006 - 03:56 AM in Salon de publication principal

non, désolé.



#293526 Dans L'etroit Passage De Nos Vanités...oh Oouiiii !...

Posted by Victor-du-Coseille on 29 January 2006 - 06:42 PM in Salon de publication principal

Non. à l'image du monde seront ces années.



#293523 In Bed...

Posted by Victor-du-Coseille on 29 January 2006 - 06:41 PM in Salon de publication principal

Et moi [...] effacé par moderateur



#293521 La Poésie: Hymne à La Joie

Posted by Victor-du-Coseille on 29 January 2006 - 06:39 PM in Salon de publication principal

Je sais, merci.



#293519 In Bed...

Posted by Victor-du-Coseille on 29 January 2006 - 06:38 PM in Salon de publication principal

Oui je crois. Nous sommes débiles, laisse tomber.



#293516 Dans L'etroit Passage De Nos Vanités...oh Oouiiii !...

Posted by Victor-du-Coseille on 29 January 2006 - 06:37 PM in Salon de publication principal

Il ne reste rien aux autres. Les autres sont morts. Seuls les vaniteux sont éternels.



#293515 La Poésie: Hymne à La Joie

Posted by Victor-du-Coseille on 29 January 2006 - 06:36 PM in Salon de publication principal

Et alors, strofka est une pute qui écrit comme une chienne.



#293513 effacé par l'auteur

Posted by Victor-du-Coseille on 29 January 2006 - 06:35 PM in Salon de publication principal

oui guillaume.



#293506 La Poésie: Hymne à La Joie

Posted by Victor-du-Coseille on 29 January 2006 - 06:26 PM in Salon de publication principal

bozar ché pas koi est un cannard qui fait ron ron comme le cochon