#1
Posted 04 March 2005 - 07:25 PM
Une table dans la pénombre. Une lueur,
Si petite et si maccabre, illumine un recoin
A jamais damné de mon âme.
Un recoin maudit des heures;
Un lieu étange, où je m'asseyais
Il y a si longtemps pleurant nu,
Désespérant la misère que tant d'hommes subissent.
Une porte de fer reliait cet chambre au couloir,
Couloir de torture où les crochets de martyres
Sévissaient tranquillement,
A l'abri de tout regards.
Les hommes étaient des barbares, les hommes,
Les hommes...
J'arrache la crasse que l'on extirpe sans cesse.
Plaçanu
#2
Posted 04 March 2005 - 07:32 PM
#3
Posted 04 March 2005 - 07:33 PM
A pleurer des larmes de sang
Compassion à sentir mourir
Son âme au dedans
Un texte à relire.
Merci.
#4
Posted 04 March 2005 - 07:36 PM
Ta façon est si différente, et pourtant tu touches en moi qqchose de lointain
Merci
JLV
#5
Posted 02 April 2005 - 04:26 PM
Poème* remonté par Armoni
* poème verrouillé suite à l'exclusion d'Epictète de TLP
#6
Posted 02 April 2005 - 05:21 PM
Oppressant aussi
#7
Posted 02 April 2005 - 06:56 PM
Aucune, de toute façon n'est acceptable.
Qu'en est-il de celle qu'on s'inflige parfois soi-même...
#8
Posted 04 April 2005 - 07:37 PM
Un ego surpuissant.
#9
Posted 04 April 2005 - 09:53 PM
#10
Posted 04 April 2005 - 09:54 PM
#11
Posted 04 April 2005 - 10:26 PM
l'esprit tourne en rond
je suis dans ma cage
je ne tourne pas rond
aliénation
#12
Posted 04 April 2005 - 10:28 PM
pas ou n'est plus en cage.
#13
Posted 04 April 2005 - 10:35 PM
#14
Posted 04 April 2005 - 10:39 PM
ton égo sera une fois de plus flatté ;-)
sincérement j'aime beaucoup.
#15
Posted 04 April 2005 - 10:40 PM
"Il y a quelquechose de pourri en ce royaume..."
on ne va quand même pas censurer Shakespeare ?
#16
Posted 04 April 2005 - 10:44 PM
#17
Posted 05 April 2005 - 07:03 AM
Benjamin Menasce.
Mieux vaut avoir raison seul que tort avec le Monde.
#18
Posted 05 April 2005 - 07:59 AM
ça, oui
c'est - je crois - au dessus du lot
#19
Posted 05 April 2005 - 04:56 PM
#20
Posted 05 April 2005 - 06:56 PM
#21
Posted 05 April 2005 - 07:27 PM
#22
Posted 05 April 2005 - 10:44 PM
sans t'offenser, je connais des meilleurs que toi, tu crois qu'ils se trompent??
je suis incontestablement pas convaincu
voire déçu
à la limite
par ton manque incontestable de lucidité
disons que
incontestablement
tu ne t'amélioreras pas plus
si tu te crois parfait
et c'est dommage
il y avait un embryon
c'était peut-être déjà un cadavre
mais bon
à force d'avoir peur de contester ce qui est contestable
on s'enfonce
rire
(tu devrais quand même lire des textes d'autres gens, quand tu en trouveras de meilleurs que toi, tu seras étonné)
#23
Posted 13 April 2005 - 03:49 PM
#24
Posted 13 April 2005 - 04:01 PM
#25
Posted 13 April 2005 - 04:15 PM
#26
Posted 17 April 2005 - 01:50 PM
#27
Posted 20 April 2005 - 07:52 PM
Vous ne lisez pas vite
Dites moi
Roi
Qui?
Moi?
La loutre
Le porc épique
Qui su dans la roche
De granit
Dynamite
Bloque la moindre réflexion de ma pensée noyée dans les remouds fulminants d'un ruisseau tumultueux
Je fais du Proust.
Non?
De toute façon je n'ai jamais lu Proust.
Et mon poème
Précedent
Automatique
Lyrique
Non?
Réflexion d'un concombre
Et les trombones
Se cachent derrière les ombres
Blondes et rondes
Un peu comme nos mondes
Cachés de poètes. Nuit étoilée.
Chaise de vagabond
C'est du bondage, du fist-fucking
Et c'est le spleen
Du freestyling
Quoi le rap?
Et shéryo putain
Anfalsh
Navea nique
Les projets que la
Societé prône en permanence
Putain c'est la france
Pays d'errance de pauvres gars
Comme moi
Enflure, je perdure
Précurseur d'une littérature compulsive
Qui?
Moi?
Peut-être bien
Allé bine
Racle toi la gorge
Ce sont des gros lards
Recouvre les d'un milliard de molards
Et Mano Solo alors?
Merveille. Prodigieux. La poèsie serait-elle contrainte
De s'adapter avec la musique?
Puis nique...
#28
Posted 25 April 2005 - 02:54 PM
Fer
J'impose un impôt sur le revenu
De la revue maldroite
A peine de droite
D'eau de chaux dans sa poche de gauche
Une pioche pulvérise un cerceuil
Un receuil, cerf volant des damnés
Sur les montagnes de humilité
Quoi la modestie?
Non, dans la cuvette
Automatique car les autos m'attaquent
Car je sors deux bine du pack
Un pactole, un pacte, fock le protocole
Quand le pro t'encule
Quand je me cale sous la toile
Des ragouts laissés en pâtures
Aux blondes d'Aquitaine
Aux blondes de Bordeaux
Aux ondes radeaux multicolores
Et non pas vert pour le bleu
De mes vers, fini mon vert
De terre dans les yeux
De l'automatisme puissant
L'ultrapuissance fock le libéralisme
Et qu'en est-il du poète?
Le poète prêche dans le comunisme.
PEACE.
Sheryo... Merci vers 13 et 14.
#29
Posted 25 April 2005 - 02:55 PM
Où l'amertume prédomine
Je me sens las en moisissure
Broutant l'herbe de la grande Chine
Je suis perdu à corps, malheur
Je pèche le vice du poète tacheté
De couleurs parallèles des cieux blessés
Je lèche mes pieds repensant à l'horreur
Je domine encore, bleu sur la cuvette
Solopette beige, noire et orange brune
Je suis tout vieux, malade, taciturne
Ma rancoeur se faiblit, meurtrit par l'arbalète
La rythmique est réelle et
Belle, bien qu'elle soit qu'anarchiste
La marque de mon loup est
Une main froide, frêle et grise
Un poème de force entraînant
Une puissance trimée dans la roche
Rampant, malheureux poème de poche
Je te crache eu blanc,
Et je te dévoile toi et ta grande barque
Avec tout le monde, en file indienne
On fait la queue sous les grands arcs
On quitte ensemble le béton pour les plaines.
#30
Posted 25 April 2005 - 03:15 PM
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