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#362225 Mes Couilles

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 10:51 PM in Salon de publication principal

je le lis (je commence) et j'ai vu une expo sur lui.
donc il y a son influence.



#362168 Geisha

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 06:32 PM in Salon de publication principal

??



#362160 Geisha

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 06:15 PM in Salon de publication principal

je trouve ce sonnet d'un pompeux yodatesque...
voilà pour le menu.
mais le tableau est expressif et j'aime.



#362156 La Sauvegarde De La Langue Française

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 06:02 PM in Salon de publication principal

Citation (Pâturajantiantic @ Dec 8 2006, 01:41 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Bien écrit! Tu commences par Richelieu-De Gaulle et tu aboutis à Beckett-Ionesco. Mais c'est l'histoire de toute une langue que tu viens de raconter...


c'est un peu ça, bien qu'il me manque des données.
un coup de tête.



#362152 Geisha

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 05:48 PM in Salon de publication principal

le poème n'est pas bon, au contraire de la toile que j'apprécie.
@++



#362141 Mes Couilles

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 04:59 PM in Salon de publication principal

mais non y'a pas de mal à pas aimer, ou ne pas entrer dans le jeu du poème.
@++



#362098 La Sauvegarde De La Langue Française

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 01:31 PM in Salon de publication principal

La Sauvegarde de la Langue Française.

La langue française ne rendra pas les armes !
J’entends cette phrase résonner sur les cordes vibrantes de la guitare-pays.
Le français reste et restera la seule langue de la diplomatie et du raffinement politique.
Un salon sur un entrelacs d’ondes et de capitaux.
Quelques façons d’articuler le dernier entendement, celui-la sur la sauvegarde de la planète.
La planète chauffe !
La planète brûle !
Mouchez-vous.
La langue française garde l’éclat des matériaux alchimiques.
Or, or, or, gardez votre or et vos scandaisons.
Mais le pétrole ! Ha, le pétrole…
Yacks… Camions… Découpage.
Raccommodez-moi ce bouton, ce matin, ce bouton sur mon veston, ce veston, ce bouton, mon veston, mon matin.
CA n’existe plus !
Donc, les claquements et efforts de gosier.
Salives d’entendements, donc.
Donc.
Donkey-ball.
Envoie tout le courrier.
Ils n’ont plus de président…l’époque change, ils ont étouffé la révolution !
Sur un mur.
Comme les murs de notre petite enfance, lorsque nous voulions chasser les ombres sur les murs, et armés d’un ballon, nous dévisagions les murs.
Démonstration_ ceci
Cela. OK.
Circule plus vite que veines
Vraiment vite lumières
Qu’êtes
Semblances mirages illusions
Cela commence toujours
parlé
éructé
étalé
alarmé
avancé toujours
ho, de poésie, de d’
incroyables,,,. ?
Singeries perpend’--------------------------------------------------------------tramènes.
damien, le mngeur à la cruile d’métra la langue mouve déssoudet
crampo très bien les gos
But the fact IS globalization
Crois que mem l’étoile
Croi encor ?
Comment f
J’ only solut
se perd se per
sauv-t-ç
dessin homologue à NN NN NN
LLLLLLLL /
To sans symboles
Ha tkt ce soir
Ré le unique
Le ma musique vi1
Vien pa seul m’éde stp
Je t’en prie je sais
Ca y est
Débarrassé
C’est bon
C’est bon
C’est bon
Manifestement. Je parle.



#362085 Flouchard Et Pampeline

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 12:56 PM in Salon de publication principal

oui très sympa.



#362083 Mes Couilles

Posted by (cloud) on 08 December 2006 - 11:36 AM in Salon de publication principal

pourtant je ne parlais pas d'onanisme...
non, bien de mes seules couilles.

merci à vous,
(le qu' je le garde il accentue l'apaisement.)



#362017 Mes Couilles

Posted by (cloud) on 07 December 2006 - 11:33 PM in Salon de publication principal

mes couilles chaudes et
le mouvement de mes mains
sur mes couilles chaudes
protégé du reste
entre ces quatre murs
plus important
un attachement
une attente au milieu
du chaos spirituel
un calme
deux mains et mes couilles chaudes
c'est le mouvement la solitude
qu'enfin
enfin
apportent le redoux de ma conscience.



#361998 Persiennes

Posted by (cloud) on 07 December 2006 - 07:58 PM in Salon de publication principal

Citation (emeline @ Dec 7 2006, 01:49 AM) <{POST_SNAPBACK}>
C'est dur d'être avec toi, c'est dur quand tu sautes sautes.
comment peux tu donner autant d'amour


pour une fois j'aime. enfin, je suis emporté.



#361787 Projet Martien

Posted by (cloud) on 06 December 2006 - 07:44 PM in Salon de publication principal

enlève le 'haha..' stp, ca va pas avec le reste.
sinon ca déroule.
+



#361721 Faces De Rocs Et Geules De Glaise, Partie 2

Posted by (cloud) on 06 December 2006 - 01:05 PM in Nouvelles

Pour une fois, j’étais dans le rôle de l’homme qui discutait.
Je brassais l’air, je faisais de grands gestes.
Mon interlocuteur, quel était-il, je ne distinguais plus alors qu’un ESPACE de paroles. J’écris sans innocence ESPACE et non espace, car un halo d’attention palpable séparait nos corps de la rue et de ses cris sans fonds.
Même il me semblait que nos pas perdaient tout but ; sans destination autre que la suite d’une vague mouvance, diffuse, diffuse.
Le visage de celui qui écoute n’est plus le visage qui de celui qui regardait le ciel se déployer en sortant du restaurant, tout à l’heure. Ni d’aucun feu rouge. C’est un visage pétri dans une glaise identifiable, la preuve de la notion de création humaine. Ou l’homme défroqué. Etrange, donc, lorsque quelques paroles dénudent l’appareil des corps jetés ici bas. Faces de rocs et gueules de glaises. Dieu est mort, l’homme de seule substance ne l’est peut être pas, mais est-ce bien mieux ?
Comprenez, peut être suis-je malade, parce que trop proche du NU. Et j’écris Nu, etc. La maladie étant un signe de santé mentale lorsqu’elle est clairement diagnostiquée par son sujet, la réalité de mon atmosphère ne me dépasse certainement pas. Je suis convaincu que nous sommes des rocs émergeant à la surface des choses. Et quels rocs ! Je ne pourrai les cacher plus de quelques phrases directes… car je fige la substance de l’homme sur chaque visage d’écoute.

Une chose me fut acquise au croisement d’un carrefour : nous n’avons rien à cacher aux singes.



#361509 The Firm

Posted by (cloud) on 05 December 2006 - 12:30 PM in Le petit salon...

Bloomberg is currently the leading global provider of data, news and analytics, particularly Equity informations. For the position you applied, that is to say, the financial data intern position, I’m loocking for a good English-speaker student, with strong knowledges in finance. So, let’s talk about you now! Can you introduce yourself, please?



#361492 Cher Enfant

Posted by (cloud) on 05 December 2006 - 11:44 AM in de rien

Revoir un printemps.



#361491 île/ Ironie Suspecte/ Transparence

Posted by (cloud) on 05 December 2006 - 11:40 AM in de rien

ce sont trois textes différents en fait.
je voulais pas flooder le forum de nos chers eden et gaston.
donc ces poèmes sont séparés.
c'est vrai que ca prete à confusion.

merci pour ta lecture juliette, elle m'est bien utile. je vais revoir certaine chose.

(ps; je garde le 'finissant d'achever ma civilsation..)



#361476 Poésie Chapeau Melon

Posted by (cloud) on 05 December 2006 - 10:54 AM in de rien

L'Amérique



#361465 île/ Ironie Suspecte/ Transparence

Posted by (cloud) on 05 December 2006 - 10:27 AM in de rien

Un long et silencieux ciel clair
s’ouvre devant moi.

Nouvelles et anciennes tortues
en spirale sur le sable de mon archipel ;
comme un arrière-goût de palmes
mêlé entre mes dents au musc du soleil.

Et sur la peau des indigènes
je déchiffre tant de symboles ;

tant de miroirs tendus
finissant d’achever ma civilisation.


*****


A l’effigie du souffre
j’érige le parangon de mes paroles.

Un champs de carcasses pourries,
quelques vautours imbus d’orage
piaillant leurs borborygmes mortuaires
et une jeune fille pieds nus
foulant le dernier cercle des pierres.

- Au jardin de mes mots
souffle un vent de peste. -
Les fleurs déchues basculent
vers les portes de la ville agenouillée,
chiures et pistils dans le décombre des trottoirs.

Une rose sur tes genoux
est venue un temps témoigner
de toute l’absurdité de la chose.

Et j’ai broyé la scène
sous le coup de mon ironie suspecte.


*****


M’avez-vous vu marcher
dans ces champs sans couleurs ?
Saisir le bras d’une créature des brumes
et ne rien lâcher, hargneux, déterminé,
de toute ma transparence ?
Car je suis l’homme des pluies.
Car je suis l’homme pâle.
Je suis celui qui traverses vos campagnes,
vos averses et vos fumiers
sans l’ombre d’une résistance.

M’avez-vous vu ? Alors
détournez votre route et
détournez votre suite.
Car je suis l’homme dont la démarche
ne laisse aucune trace.



#361407 The Birds

Posted by (cloud) on 04 December 2006 - 11:15 PM in Salon de publication principal

...
























































































pan.



#361394 Trois Anges

Posted by (cloud) on 04 December 2006 - 08:58 PM in Salon de publication principal

y'a pas à dire, socque elle fait des merveilles ! wub.gif



#361365 Entropie

Posted by (cloud) on 04 December 2006 - 06:59 PM in Salon de publication principal

bon, je trouve celui là un peu trop 'cliché' mais cette strophe est vraiment bien balancée :

Ton absence est un blockhaus
Un manteau de soldat
Boueux et transpercé
De six balles de Winchester



#361362 Trois Anges

Posted by (cloud) on 04 December 2006 - 06:51 PM in Salon de publication principal

Citation (lio... @ Dec 4 2006, 06:42 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J'ai l'impression de ne lire que de l'énervement et de l'agressivité.


j'ny peux rien alors. je suis tout ce qu'il y a de plus calme.



#361358 Trois Anges

Posted by (cloud) on 04 December 2006 - 06:35 PM in Salon de publication principal

arrêtez de me reprocher d'être trop 'abrupt'.
ou alors allez aussi reprocher à chaque commentaire profondément gentil qu'il est trop gentil.

slt.



#361352 Sans Titre.

Posted by (cloud) on 04 December 2006 - 06:24 PM in Salon de publication principal

je n'avais pas senti les ô marquant trop le coup...
maintenant tu as peut être raison.

malheureusement mes poèmes contemplent la plupart du temps mon esprit.



#361350 Trois Anges

Posted by (cloud) on 04 December 2006 - 06:21 PM in Salon de publication principal

ne t'en fais pas brabantia. tu représentes typiquement le genre de personnes que je ne critiquerai jamais. celle qui n'accepte pas quand ce que l'auteur se représente du poème est denuée d'accolades fielleuses et perverses. je n'ai jamais considéré quelqu'un comme 'nul' en poésie. et par contre, je n'ai jamais non plus considéré quelqu'un comme 'nul' en critique.

ciao.