UN JOUR QUI PART
Lorsque mes yeux le soir, fouillent le crépuscule
Je me mets à rêver à un autre univers
Un fil imaginaire où je marche à l’envers
Faisant des petits pas comme un vieux somnambule.
Dans les mauves couleurs des ombres ridicules
Se disputent le feu de ce soleil d’enfer
En s’amusant du flou de tous ces jeux pervers
Qui flirtent quand la nuit revient en majuscule.
Fantôme du moment tu te moques du temps
Tu le mets aux rancards de tes anciens printemps
Tu clos le jour enfui, simplement tu l’effaces.
L’éternelle lenteur des heures qui s’en vont
Qui laisseront demain récupérer la place
Désertée par l’instant qui part sous l’horizon.
jc blondel
Un Jour Qui Part
Started by jc-blondel, Nov 22 2006 05:11 PM
4 replies to this topic
#1
Posted 22 November 2006 - 05:11 PM
#2
Posted 22 November 2006 - 09:30 PM
Bien le bonsoir Jean-Claude, encore un bien joli poème tout en couleur... A bientôt de te lire, amitiés, Anne
#3
Posted 22 November 2006 - 10:17 PM
merci anne
amities
jean claude
amities
jean claude
#4
Posted 23 November 2006 - 02:45 PM
enfui, i. et "le demain" brrrrrrrrrrr.
Je suggère
L’éternelle lenteur des heures qui s’en vont,
qui laisseront demain récupérer la place
Désertée par l’instant qui part sous l’horizon....
Bien le bonjour, j-c
Deirdre
Je suggère
L’éternelle lenteur des heures qui s’en vont,
qui laisseront demain récupérer la place
Désertée par l’instant qui part sous l’horizon....
Bien le bonjour, j-c
Deirdre
#5
Posted 23 November 2006 - 02:58 PM
merci deirdre
pour ce coup de main
je prends tes correctiona a mon comptes
amities
jean claude
pour ce coup de main
je prends tes correctiona a mon comptes
amities
jean claude
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