J'ai reçu votre soupir par un papillon.
Figurez-vous, ma belle, qu'il a suffit
Qu'il batte des ailes pour libérer la passion
Que contenait votre souffle de vie.
Jamais je n'eu ressenti pareil tumulte !
Votre soupir était un vent de jouvence,
Un vent qui taillait l'autel de votre culte
Dans la roche de la puissance.
Angélique Muse, Divine Fée,
L'univers siège dans vos tendres mots
- Planètes folles ! - qui se sont entrechoquées
Donnant naissance à un monde nouveau.
Ainsi vous demeurez un trait de lumière,
Percutant l'ombre qui vous adore
Maîtresse de ces légers éphémères
Qui me porte votre souffle d'or...
Edited by Icefull, 27 July 2006 - 07:20 PM.