Caresse légère
Dans la nuit tu éclaires
Un réel panel de rêve.
Lentement, un court instant
Telle une plume blanche
Arc-en-ciel en est le thème.
Folle danse de mes espérances
D’un vain touché indécent
Tu me laisses palpitante.
D’un parfum lancinant
De nos chères, tendres attentes
Ce matin le souffle du vent
Emmène sur l’océan
Le seul naufragé du temps
Qui contre toute attente
Reste en suspend…
Christiane's Content
There have been 16 items by Christiane (Search limited from 16-May 23)
#346489 Reste
Posted by
on 27 September 2006 - 09:39 PM
in
Salon de publication principal
#345672 Different
Posted by
on 23 September 2006 - 01:51 PM
in
Salon de publication principal
Notre regard te gène, Il t’évalue, te juge.
Dans le fauteuil
de ton handicap,
tu le sens comme
une présence constante.
Tu te trompes, c’est nous
pauvres normaux.
Qui face à ton courage,
ta fierté, ton image.
Tu nous réduis en cafard.
Esclave à plein temps,
De ton handicap.
Il est temps que tu saches.
Derrière ton regard
Le courage.
Si le mien est fuyant,
C’est par crainte, que tu lises.
Ma détresse.
Je n’aurai pas la force,
Ni ton courage, si j’étais
Dans ton cas.
Je serai inerte d’espérance,
Je ne pourrai pas faire face.
Dans le fauteuil
de ton handicap,
tu le sens comme
une présence constante.
Tu te trompes, c’est nous
pauvres normaux.
Qui face à ton courage,
ta fierté, ton image.
Tu nous réduis en cafard.
Esclave à plein temps,
De ton handicap.
Il est temps que tu saches.
Derrière ton regard
Le courage.
Si le mien est fuyant,
C’est par crainte, que tu lises.
Ma détresse.
Je n’aurai pas la force,
Ni ton courage, si j’étais
Dans ton cas.
Je serai inerte d’espérance,
Je ne pourrai pas faire face.
#344480 Le Prix Du Cri (petite Nouvelle)
Posted by
on 16 September 2006 - 02:49 PM
in
Salon de publication principal
Merci, pour ton message A MON ECOLE.
J'en ai profité pour te lire également
SUPER mais pour info, j'ai connu ce genre de choses, pas pour les mêmes motifs, mais j' en connaît les sentiments.
Bonne journée
J'en ai profité pour te lire également
SUPER mais pour info, j'ai connu ce genre de choses, pas pour les mêmes motifs, mais j' en connaît les sentiments.
Bonne journée
#344476 Mon Ecole
Posted by
on 16 September 2006 - 02:37 PM
in
Salon de publication principal
Gaston,
Je ne connais pas ton age, mais à 15 ans je peux te garantir que l'école je l'aurai brulé. Pas seulement pour l'aspect étude et devoir mais à l'époque elle se mêlait même de ta vie privé.
Et la mienne était folklore pour ne pas dire enfer.
Si l'école n'est plus adaptée à nos chères têtes blondes.
Aujourd'hui a 50 ans j'ai appris une chose, la vie est une éternelle école, rien que, pour ne pas mourir idiot.
la vie est un éternel apprentissage, alors j'aurai dû quand j'en avais l'opportunité apprendre et retenir l'enseignement qu'on avait tenté de me donné.
j'aurai gagné du temps.
A 37 ans j'y suis retournée à l'école sans aucune honte
Et aujourd'hui j'ai un travail qui me plait, au lieu de végéter.
Je ne me lamente pas sur mon sort, mais mes enfants malgré l'horreur des études eux aussi
Ont trouver leurs voies et leurs avenir est assurer.
Ca c'est une liberté, celle d'exister sans subir.
A REFLECHIR
Je ne connais pas ton age, mais à 15 ans je peux te garantir que l'école je l'aurai brulé. Pas seulement pour l'aspect étude et devoir mais à l'époque elle se mêlait même de ta vie privé.
Et la mienne était folklore pour ne pas dire enfer.
Si l'école n'est plus adaptée à nos chères têtes blondes.
Aujourd'hui a 50 ans j'ai appris une chose, la vie est une éternelle école, rien que, pour ne pas mourir idiot.
la vie est un éternel apprentissage, alors j'aurai dû quand j'en avais l'opportunité apprendre et retenir l'enseignement qu'on avait tenté de me donné.
j'aurai gagné du temps.
A 37 ans j'y suis retournée à l'école sans aucune honte
Et aujourd'hui j'ai un travail qui me plait, au lieu de végéter.
Je ne me lamente pas sur mon sort, mais mes enfants malgré l'horreur des études eux aussi
Ont trouver leurs voies et leurs avenir est assurer.
Ca c'est une liberté, celle d'exister sans subir.
A REFLECHIR
#344120 Histoire
Posted by
on 14 September 2006 - 07:50 PM
in
Salon de publication principal
A toi tout seul tu es un nom.
De ton grand âge, on veut refaire l’histoire.
Pour dénoncer, pour dire ;
Jamais, plus jamais !
Concentration, déportation.
A-t-on dit Yougoslavie ?
Mais, c’est des on dits… !
A la veille de l’an 2000,
Excusez-moi, je le redis
<<C’est l’histoire qui se répète>>
Mais comment se nomme t-il ?
On n’a pas compris ?
Au nom de la religion
Et de l’ethnique !
Tous les coups sont permis
Nul besoin de pardon
Pour nos ennemis
Ni responsable, ni coupable
Cela s’appelle l’histoire.
De ton grand âge, on veut refaire l’histoire.
Pour dénoncer, pour dire ;
Jamais, plus jamais !
Concentration, déportation.
A-t-on dit Yougoslavie ?
Mais, c’est des on dits… !
A la veille de l’an 2000,
Excusez-moi, je le redis
<<C’est l’histoire qui se répète>>
Mais comment se nomme t-il ?
On n’a pas compris ?
Au nom de la religion
Et de l’ethnique !
Tous les coups sont permis
Nul besoin de pardon
Pour nos ennemis
Ni responsable, ni coupable
Cela s’appelle l’histoire.
#344119 Mon Ecole
Posted by
on 14 September 2006 - 07:47 PM
in
Salon de publication principal
Belle école d’Apremont,
qui a vu défiler, tant de nom.
Belle école de campagne,
Nichée, près de l’église, à l’ombre.
Protégée par quelques monts
Pour ne pas dire montagne.
Tu as diffusé tant de savoir,
que son parfum s’en exalte.
Lorsque je pénètre dans ta classe,
Il remue au fond de moi,
Des images d’autrefois.
Et, sur le visage de tes enfants
on respire, le plaisir de ton existence.
Je voudrais tant qu’ils comprennent
ton importance.
qui a vu défiler, tant de nom.
Belle école de campagne,
Nichée, près de l’église, à l’ombre.
Protégée par quelques monts
Pour ne pas dire montagne.
Tu as diffusé tant de savoir,
que son parfum s’en exalte.
Lorsque je pénètre dans ta classe,
Il remue au fond de moi,
Des images d’autrefois.
Et, sur le visage de tes enfants
on respire, le plaisir de ton existence.
Je voudrais tant qu’ils comprennent
ton importance.
#337590 A Toi L’ami
Posted by
on 31 July 2006 - 03:10 PM
in
Salon de publication principal
Il faut commencer par se pardonner à soi même
tous nous croyons toujours bien faire dans nos faux pas
et seulement après vient la facilité de se faire pardonner des autres
l'amour est ainsi
bisous
tous nous croyons toujours bien faire dans nos faux pas
et seulement après vient la facilité de se faire pardonner des autres
l'amour est ainsi
bisous
#337498 A Toi L’ami
Posted by
on 30 July 2006 - 02:37 PM
in
Salon de publication principal
merci pour ton encouragement
Bisous
Bisous
#337491 A Toi L’ami
Posted by
on 30 July 2006 - 01:31 PM
in
Salon de publication principal
Du fond des âges, l’amour a tout âge.
A l’aube de l’an 2000, vit le sida.
Multiplié par 1000, il se propage.
L’amour te condamne.
Je ressens ton calvaire, de mon corps sain,
Je perçois ta souffrance, d’être malsain.
Ta vie dérive, pourquoi vivre pour rien ?
Fidèle ou libre, Plus rien n’est permis.
Pour vivre une maladie qui choisit ?
Pour toi, quel avenir ? Si ce n’est mourir.
Rien n’est jamais fini.
Se battre encore, avec quel effort ?
De vivre l’instant présent jusqu’à la mort.
Pour l’amour quelque qu’il soit.
Pourquoi toi ? Et pas moi ?
L’ami apprivoise ta peur, ta force.
L’amour qui t’entoure te garde sa foi.
Je pense à toi l’ami.
A l’aube de l’an 2000, vit le sida.
Multiplié par 1000, il se propage.
L’amour te condamne.
Je ressens ton calvaire, de mon corps sain,
Je perçois ta souffrance, d’être malsain.
Ta vie dérive, pourquoi vivre pour rien ?
Fidèle ou libre, Plus rien n’est permis.
Pour vivre une maladie qui choisit ?
Pour toi, quel avenir ? Si ce n’est mourir.
Rien n’est jamais fini.
Se battre encore, avec quel effort ?
De vivre l’instant présent jusqu’à la mort.
Pour l’amour quelque qu’il soit.
Pourquoi toi ? Et pas moi ?
L’ami apprivoise ta peur, ta force.
L’amour qui t’entoure te garde sa foi.
Je pense à toi l’ami.
#329535 Le Vautour Et L'enfant
Posted by
on 17 June 2006 - 01:41 PM
in
Salon de publication principal
ce poême nous ramène à la realité
dur dur mais vrai
A+
dur dur mais vrai
A+
#329531 En Compagnie De Jacques Prevel
Posted by
on 17 June 2006 - 01:25 PM
in
Salon de publication principal
Ce qu'il te reste c'est ta foi, ton poême est super
crois en toi uniquement et le brouillard s'envolera
la vie est un éternel recommencement
A+
crois en toi uniquement et le brouillard s'envolera
la vie est un éternel recommencement
A+
#329218 Amitié
Posted by
on 15 June 2006 - 09:06 PM
in
Salon de publication principal
Très joli, les mots sont très explicites
vive l'amitié
bisou
vive l'amitié
bisou
#327890 A Ma Mere
Posted by
on 08 June 2006 - 07:41 PM
in
Salon de publication principal
[font=Georgia]La fille que tu as eue,
Lors de tes amours perdus,
Gouffre de ton cœur sa venue.
Le visage de son père
Le reflet de ton échec.
Le sourire de sa vie
Le pire, est à venir.
Elle doit baisser les yeux
Te le rappeler tu ne veux,
Son sourire, est affreux.
Apprendre à pleurer, c’est mieux.
Ton avenir a passé
Ses années sont passées.
Ton cœur est reposé,
Il en est supposé.
Mais ta fille est restée
Son cœur culpabilisé.
Non désiré, mal aimée
Maman, c’est dans ton ventre
Où j’ai voulu me réchauffer,
Déjà, c’est là que ton enfant
Tu l’avais condamné.
Raccroché au passé
Ce jour tu m’as prouvé,
Sur toi ne peux compter.
Cinquante ans ont passés
Je peux pardonné
Pour apprécier d’exister
Lors de tes amours perdus,
Gouffre de ton cœur sa venue.
Le visage de son père
Le reflet de ton échec.
Le sourire de sa vie
Le pire, est à venir.
Elle doit baisser les yeux
Te le rappeler tu ne veux,
Son sourire, est affreux.
Apprendre à pleurer, c’est mieux.
Ton avenir a passé
Ses années sont passées.
Ton cœur est reposé,
Il en est supposé.
Mais ta fille est restée
Son cœur culpabilisé.
Non désiré, mal aimée
Maman, c’est dans ton ventre
Où j’ai voulu me réchauffer,
Déjà, c’est là que ton enfant
Tu l’avais condamné.
Raccroché au passé
Ce jour tu m’as prouvé,
Sur toi ne peux compter.
Cinquante ans ont passés
Je peux pardonné
Pour apprécier d’exister
#325371 Comment T'écrire De La Main Gauche
Posted by
on 27 May 2006 - 08:29 PM
in
Salon de publication principal
Bonjour,
Il est vrai qu'en l'an 2000 on aurai cru partir sur la lune, mais les guerres sont toujours là
les leçons du passé n'ont pas été retenus, et nous vivons encore les horreurs de la guerre
Ce n'est pas si loin de nous.
merci pour ton poême
Il est vrai qu'en l'an 2000 on aurai cru partir sur la lune, mais les guerres sont toujours là
les leçons du passé n'ont pas été retenus, et nous vivons encore les horreurs de la guerre
Ce n'est pas si loin de nous.
merci pour ton poême
#325369 Comment T'écrire De La Main Gauche
Posted by
on 27 May 2006 - 08:25 PM
in
Salon de publication principal
Citation (heloise @ May 25 2006, 07:13 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Il n’est pas tombé
Il s’est juste allongé pour dormir
Non j’ai menti
Il est tombé en hurlant comme un chien
Sa jambe son ventre quelque chose de rougeoyant
Brancardier ! Brancardier !
Moi je n’avais qu’une main arrachée
(Comment t’écrire de la main gauche)
J’ai ri tant j’étais heureux d’être vivant
Autour des morts d’autres morts
On nous avait dit tenir encore tenir
Mais tous ces bruits agglutinés à nos tempes
Des bruits de kermesse d’une sale kermesse
Même avec une seule main
Ramper ramper jusqu’aux chevaux éventrés
Leurs entrailles fument longtemps
Plus longtemps que celles des hommes
A vingt deux ans et deux mois
Elles fument à peine
Avec une seule main j’ai essayé
Presque deux longues heures je crois
Avec les deux mains peut-être
Il aurait tenu une heure de plus
Oui je mentirai de nouveau
Il n’est pas tombé
Il s’est juste allongé pour dormir
Un éclat d’obus
Un trou minuscule et presque pas de sang
C’était le dimanche 28 mai
Un printemps sans arbres sans insectes
Partout des tranchées
Des hommes Des chevaux Des tranchées
Des morts
Sept cent mille morts
Il s’est juste allongé pour dormir
Non j’ai menti
Il est tombé en hurlant comme un chien
Sa jambe son ventre quelque chose de rougeoyant
Brancardier ! Brancardier !
Moi je n’avais qu’une main arrachée
(Comment t’écrire de la main gauche)
J’ai ri tant j’étais heureux d’être vivant
Autour des morts d’autres morts
On nous avait dit tenir encore tenir
Mais tous ces bruits agglutinés à nos tempes
Des bruits de kermesse d’une sale kermesse
Même avec une seule main
Ramper ramper jusqu’aux chevaux éventrés
Leurs entrailles fument longtemps
Plus longtemps que celles des hommes
A vingt deux ans et deux mois
Elles fument à peine
Avec une seule main j’ai essayé
Presque deux longues heures je crois
Avec les deux mains peut-être
Il aurait tenu une heure de plus
Oui je mentirai de nouveau
Il n’est pas tombé
Il s’est juste allongé pour dormir
Un éclat d’obus
Un trou minuscule et presque pas de sang
C’était le dimanche 28 mai
Un printemps sans arbres sans insectes
Partout des tranchées
Des hommes Des chevaux Des tranchées
Des morts
Sept cent mille morts
#325325 Message
Posted by
on 27 May 2006 - 02:25 PM
in
Salon de publication principal
[i]Ne doutez pas de mon message
Prenez le temps de vous asseoir
Rien qu’en lisant cette page
Questions, doutes de votre âme
Font naufrage avec mes larmes.
J’ai combattu face à face
Les mêmes haines avec rage
J’ai vu tous les visages.
L’hypocrisie, celle infâme
Echanges si pleins d’amalgames
Incertitudes, infernales
Porte ouverte sur les tracas
Autant de complots qui se trament
Les idées noires qui se propagent
Les chagrins et les cœurs qui battent
Au rythme des années qui passent.
Se sentir nul part à sa place
De mon enfance à mon age
Toujours rechercher sa vraie place
Vous n’êtes point seul sur la vague
Laissez passer tous ces orages
Evitez les écueils du mal
Pour reprendre un nouveau départ
En cela la vie est miracle
Prenez le temps de vous asseoir
Rien qu’en lisant cette page
Questions, doutes de votre âme
Font naufrage avec mes larmes.
J’ai combattu face à face
Les mêmes haines avec rage
J’ai vu tous les visages.
L’hypocrisie, celle infâme
Echanges si pleins d’amalgames
Incertitudes, infernales
Porte ouverte sur les tracas
Autant de complots qui se trament
Les idées noires qui se propagent
Les chagrins et les cœurs qui battent
Au rythme des années qui passent.
Se sentir nul part à sa place
De mon enfance à mon age
Toujours rechercher sa vraie place
Vous n’êtes point seul sur la vague
Laissez passer tous ces orages
Evitez les écueils du mal
Pour reprendre un nouveau départ
En cela la vie est miracle
