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Dans le bleu de la mer
se laisser couler
retrouver au fond
l'origine

Le temps n'existe plus
finie la douleur
plus de solitude
l'immensité

Le chant magique
des grands cétacés
et la plénitude
des abysses inviolées

Etre de rien fait
vague dans la vague
flux et reflux
partir à jamais

[homere]

Le néant, le vide, ola la, tous ça m’amène à moi, à émois, et autres belles aventures, aussi passionnantes les unes que les autres. En tout cas bravo, et merci pour ces mots doux et bien tissés, pour être ainsi une toile, une belle toile.

[Protoss]

Belle nuances de bleus sur une crêtes de murmures
je vois enfin tes yeux dans la quête de l'azur ...

quelle monde n'a pas connu le souffle du neant ressentit l'emoi devant les puissances du dedans quelle ange n'est tombé devant l'obscurité du neant j'entend sa chute lente et douloureuse le vent vibre sous l'agitation de son être ses cris trensperce le mur silencieux ; il souffret peut être beaucoup mais pour retrouver un repos et une vie sans mal

J'aime cette idée qu'on peut aborder le néant au travers du réel des mots!
Joli programme en perspective, non?
Bravo, Su!

Merci à tous!

de rien à toute seule!

Bon, ok, c'est bateau mais ca m'a fait pensé au Grand Bleu .
Plus sérieusement, pas facile de définir ce qui est par essence indéfinissable. Aussi l'image est une excellente solution que le signifiant et le signifié puissent concorder. Je n'avais jamais pensé à cette abnégation de tout dans le moment de paix que peut-être le néant. Encore une fois, cette vision personnel pousse aux limites des contréés Suhaliennes. Decidément, on ne se lasse pas de tels voyages

Amitiés renouvellées

Phoenix, volant pour une fois comme passager

[INFONTE]

Etre de rien fait
Vague dans la vague
Flux et reflux
Partir à jamais.

Le ressac. Le chant de la mer et du paradis blanc.

Bravo.

Merci à vous!

Phoenix :
pour être allé dénicher ce texte, et l'avoir si généreusement commenté.
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A Infonte:

Pour avoir pensé, en le lisant, à un "Paradis blanc", poème que j'aime beaucoup, et au-quel mon texte ne peut guère être comparé.

maginifique...c'est le silence et l'immensité!

merci.

[missix]

le chant de la baleine
comment oublier ?
Petit bistro enfumé, dehors sans aucun bruit
bruine l'automne
Au fond un juke box
J'ai mal et lui retourne son sourire
une grimace
la baleine chante...
j'aime tant cette chanson
(ses yeux, comment ses yeux pourraient-ils mentir ?!??)
Il sourit : Ouais, elle est bien
...




les yeux, ça ment
les gestes, ça ment
les baisers, ça ment
Tout ment
tout
tout ment
tout mort
aux demain tout morts

(10.2000)