Perdu dans les brumes où parfois je divague
dans les méandres obscures où mon âme s'égare
quand glissant sur la lame à l'apex de la dague
raisonne ce murmure que transperce mon regard...
Dérive...
Started by iahhel, Oct 16 2006 01:22 PM
4 replies to this topic
#1
iahhel
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- TLPsien
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.............................
- Interests:Internet, l'ecriture, ma fille, ma femme, ma famille, enfin mes passions et le voyage comme seul prison...
- Publications:http://www.centmotsdire.com/versets/
Posted 16 October 2006 - 01:22 PM
#2
iahhel
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Posted 16 October 2006 - 02:02 PM
un reflet argenté l'ombre de nos envies.
Il parsème les dunes arides de solitude
de toute les pensées fanées d'incertitudes
et prolonge la lame qui me plonge dans l'oubli...
Il parsème les dunes arides de solitude
de toute les pensées fanées d'incertitudes
et prolonge la lame qui me plonge dans l'oubli...
#3
iahhel
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Posted 18 October 2006 - 02:40 PM
qui parfois laisse entrevoir l'espoir,
flétrissant les idées noires qui choient
d'une larme sur mes trop tard. Ce soir
vient d'éclore ma pensée, illusoire.....
flétrissant les idées noires qui choient
d'une larme sur mes trop tard. Ce soir
vient d'éclore ma pensée, illusoire.....
#4
iahhel
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Posted 19 October 2006 - 02:16 PM
lumineux, transcendant de son âtre
les couleurs de ces nuits d'albâtres;
et la vie jaillissante au coeur de ce désert
offrira mille sources en gloire a nos poussières
les couleurs de ces nuits d'albâtres;
et la vie jaillissante au coeur de ce désert
offrira mille sources en gloire a nos poussières
#5
iahhel
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Posted 22 October 2006 - 04:32 PM
Dérive ...
Perdu dans les brumes où parfois je divague,
dans les méandres obscures où mon âme s'égare,
quand glissant sur la lame à l'apex de la dague
raisonne ce murmure que transperce mon regard...
comme un bruit de tôles que l'on froisse ;
longue est la chute vers l'horizon qui s'enfuit,
un désert sous les pas où les grains se glacent;
oui, mais l'aube se découvre et sous l'oeil luit
un reflet argenté l'ombre de nos envies.
Il parsème les dunes arides de solitude,
de toute les pensées fanées d'incertitudes
et prolonge la lame qui me plonge dans l'oubli.
Et dans cet océan froid et nu
où les pas s'enfoncent dans la sable,
une petite chose, un impromptu,
comme un bout de terre arable
qui parfois laisse entrevoir l'espoir,
flétrissant les idées noires qui choient
d'une larme sur mes trop tard. Ce soir
vient d'éclore ma pensée, illusoire.....
puis demain l'aube s'habillera de moire
et sous la caresse des rais de son hôte matinal,
jouera de tous les reflets avec grâce et art
cette heure, celle-ci où l'astre danserait boréal
lumineux, transcendant de son âtre
les couleurs de ces nuits d'albâtres;
et la vie jaillissante au coeur de ce désert
offrira mille sources éclos de nos poussières
puis lorsque le souffle se posera
sur la flamme d'une bougie vacillante,
se cameront les souvenirs des voix,
dans de hautes herbes le long d'une pente.
Iah-hel / wldp
Perdu dans les brumes où parfois je divague,
dans les méandres obscures où mon âme s'égare,
quand glissant sur la lame à l'apex de la dague
raisonne ce murmure que transperce mon regard...
comme un bruit de tôles que l'on froisse ;
longue est la chute vers l'horizon qui s'enfuit,
un désert sous les pas où les grains se glacent;
oui, mais l'aube se découvre et sous l'oeil luit
un reflet argenté l'ombre de nos envies.
Il parsème les dunes arides de solitude,
de toute les pensées fanées d'incertitudes
et prolonge la lame qui me plonge dans l'oubli.
Et dans cet océan froid et nu
où les pas s'enfoncent dans la sable,
une petite chose, un impromptu,
comme un bout de terre arable
qui parfois laisse entrevoir l'espoir,
flétrissant les idées noires qui choient
d'une larme sur mes trop tard. Ce soir
vient d'éclore ma pensée, illusoire.....
puis demain l'aube s'habillera de moire
et sous la caresse des rais de son hôte matinal,
jouera de tous les reflets avec grâce et art
cette heure, celle-ci où l'astre danserait boréal
lumineux, transcendant de son âtre
les couleurs de ces nuits d'albâtres;
et la vie jaillissante au coeur de ce désert
offrira mille sources éclos de nos poussières
puis lorsque le souffle se posera
sur la flamme d'une bougie vacillante,
se cameront les souvenirs des voix,
dans de hautes herbes le long d'une pente.
Iah-hel / wldp
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