Le vent entassé moka dans l’blizzard
Ebouriffer le réveil sonnant la fin de l’été
Se pose et se souffle comme un zéphyr
D’une larme lampée égouttant le hasard
Un croissant de lune feuilleté dans la nasse
A l’heure solaire comme une Clepsydre
Aux pliures des mains d’une rue de papier
A l’ombre chinoise des éloges d’une scène
Volantes feuilles de libellules polychromes
Recyclant l’humus du terreaux de Juliette
Mangeuse de frites
Et la plume posée sur le vélin d’automne
L’encre résignée s’égouttant d’un atome
Et lire l’avenir dans le marc d’un café
D’une saison de cuir rouge au café de flore…
A effeuiller des marguerites
Ebouriffé au réveil trébuchant en fin d’été
Se pose et se souffle comme un paravent
A l’heure solaire comme une Clepsydre
Aux pliures des mains d’un trait de papier
A effeuiller des marguerites
Flore
Started by bohemia, Aug 22 2006 10:55 AM
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