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[Jacek]

Et je reviens sur Terre et le grand désespoir
Alors courbe les ligne' et les rayons perdus
Qui s'égrenent et jubilent aux rêves attendus
D'une comète bleu errant dans ma memoire...

Et le gout du nectar jouissait de ses lèvres,
Et du fond de sa bouche pour adoucir les maûx.
"souvenir eternel, fais l'univers plus beau!"
Mais plus triste est encor' la saveur de ma fièvre...

La maladie broi les entrailles de mon ventre
Nouées par son absence aux douleurs étrangères,
Et le grand désespoir, et je reviens sur Terre,

Alors courbe les lignes tandis que moi je rentre.
Le temps s'écoule encor', le cailloux de ma vie
remontera (je rêve) pour toucher l'infini.

Johann.M




L'ancienne Amaryllis s'est metamorphosée... vous la connaissiez peut-être...

[Carla.]

Une petite préférence pour la première strophe, mais le tout est très agréable à lire. Bon retour parmi nous.

[Jacek]

merci.
j'ai bien conscience que le tou reste hermetik au regard étrangé... et compren alor que le 1er katrin semble le mieu reussi. Pour faire comprendre l'importance de tou les vers de ce sonnet il fodré k'il se transforme en roman versifié... ou peut etre que le lecteur analys (san garanti de reussite) chak mot. le problem é ke rien ne di ce k'é cette "maladi"... elle é la tristesse d'un coeur tranché en deux

je sui tou de même heureux de lire votre comentair... merci