Jump to content


thalla

Member Since 02 Nov 2006
Offline Last Active Dec 22 2006 06:38 PM
-----

Topics I've Started

Au Seuil Des Rêves.

21 December 2006 - 11:33 PM

Au seuil des rêves!

Au seuil des rêves qui enlacent les aurores nouvelles
A l'orée d'une histoire d'amour qui prend consistance
Mes espérances de lendemains heureux se dessinent
Sur les cimes des utopies qui rêvent de réalité.


Au seuil d'une interférence des destins qui se découvrent
Au début d'une complice confluence des espoirs
Mon coeur suspend ses soupirs aux ailes des nuages
Afin de transporter mes songes aux sources de l'amour.

A l'entame d'un voyage dans la magie des plaisirs
A l'aube d'un jour qui brille des feux de l'amour
Mon âme aspire au bonheur de la fin des exils
Mon coeur respire les effluves de la rose apportées par la brise.

Au commencement d'une chanson dédiée à l'amour
A la naissance d'une passion qui assaille les coeurs
Mes rêves tressaillent et vibrent au rythme des aurores
Mes nuits songent aux voluptueuses jouissances des sens.

A l'exorde des serments échangés par les amants
A l'amorce d'un poème d'amour qui s'insinue dans les coeurs
Mes aurores se teintent de la couleur des espoirs
De lendemains vécus en compagnie de l'être cher

Je Suis Le Silence, Je Suis Les Silences!

09 December 2006 - 12:52 PM

Le silence des certitudes fondamentales qui rassérène la respiration du monde et sculpte la sagesse dans le cœur des femmes et des hommes qui écoutent et entendent l’appel des origines.

Le silence des demi-jours où le temps se fige et hésite avant de se laisser envahir par les flots d’un soleil dont les rayons allument le cœur des passions prometteuses des intenses jouissances qui encourage l’éloquence des sens.

Le silence vagabond des chemins de traverse complice des langues désentravées dont la richesse et la sincérité  narguent l’indigence langagière des sentiers battus fréquentés par les insipides convenances.

Le silence enraciné au plus profond des mémoires pétrifiées qui cristallisent les moments de souffrances muettes dont seul les regards embués forent et traversent la paroi des compatissantes indifférences.

Le silence des corps alourdis et meurtris par le blessures inguérissables de la vie dont les contre sens affaiblissent les âmes qui ne savent plus lutter contre la déshérence des mots muets.

Le silence de la rivière dont l’onde souple et lisse caresse des ses méandres assagis les espaces apaisés des cœurs et des âmes qui cherchent le sens des songes et des utopies.

Le silence des sources, origines des ruisseaux dont les murmures drainent et bercent les espoirs des voyageurs, fascinés par les horizons qui figent le terme de leur périple aux confins des passions amoureuses,  

Le silence obscur des profondeurs de la terre qui garde jalousement les mystères de la vie que les printemps, pleins de folie, font germer et fleurir pour perpétuer l’hymne de la continuité.

Le silence des heures croulant sous le poids de l’ennui dont l’épaisseur  oppresse et stérilise les pans entiers de solitude résignée qui se vide de la prolixité des bruits et des envies d’exister.

Le silence affectueux des champs de plaisir dont chaque parcelle frissonne sous les caresses de la muette et sensuelle brise qui invente des mots pour exprimer et enjoliver les serments échangés tendrement par les amants.

Le silence des nuages qui glissent dans un ciel indifférent à leur périple incertain au dessus des fragments éparpillés d’existences noyés dans la vastitude écumeuse des horizons, prometteuse d’espoirs et de renouveau.

Le silence des exils intérieurs dont les affres rongent sans relâche les rêves de lumière des âmes ayant perdu leurs espérances et laissent d’enfuir entre les doigts de la solitude, les espoirs de retour.

Le silence des instants immobiles dont l’inertie dévore les envies de partir et accentue les refus d’évasion de ces cœurs que plus rien ne semble décider à enjamber les horizons.

Le silence des heures zénithales vrillées par la morsure cruelle des flots de chaleur incendiaire que le soleil déverse sur les êtres et les choses, ivres de torpeurs dont la mutité aggrave les brûlures.


Le silence des nuits trop sages qui ne savent plus sculpter l’image du désir dans la consistance des heures qui vacillent.
Le silence heureux des corps repus de plaisir après les turbulences de désirs maints fois assouvis dans le  secret des nuits traversées par les vents violents des passions et des jouissances des sens.

Le silence fervent des femmes et des hommes en prière dont le cœur et l’âme scrutent la vastitude de la création pour arrimer leurs espoirs d’exaucement au soleil de la foi.

Le silence des automnes qui écaillent la verdure de la nature qui enfouie ses rêves de floraison au cœur de la terre en attendant l’arrivée des printemps vainqueurs des hivers frissonnants.

Le silence triste et désespéré des grandes douleurs dont la mutité étreint les heures des moments qui encombrent la trame des regards embués qui aspirent à oublier les blessures de la vie.
Le silence infini dont la viduité rêve de chemins abandonnés conduisant à des ruines dont le regard du cœur est déserté par les bruits de la vie.
Le silence des armes faisant suite au vacarme des aboiements terrifiants du déluge de feu métallique qui éteint la voix de la vie et le souffle les rêves d’amour.

Je Suis L'espoir

07 December 2006 - 08:11 PM

Je suis l’espoir.

Je suis l’espoir né dans le mystère des cœurs, j’illumine les aubes qui annoncent l’apaisement des impatiences.

Je suis l’espoir, tranche de rêve, qui scrute les lointaines contrées inatteignables dont les confins rayonnants invitent à l’optimisme.

Je suis l’espoir qui aime les retours des alliances et qui consolident les jonctions entre les augures et les légitimes désirs de bonheur.

Je suis l’espoir, message indicible, né dans le cœur des ferventes suppliques formulées nuitamment par les orants solitaires.

Je suis l’espoir qui fait redresser la tête aux fatalités assaillant la volonté des hommes qui saisissent à bras le corps leur destin pour en modeler les contours.

Je suis l’espoir, couleur de l’amour, qui célèbre religieusement les envoûtements des cœurs battant à l’unisson.

Je suis l’espoir qui tourne résolument le dos aux exils et guérit les âmes des amertumes et des aigreurs de leurs défaites successives.

Je suis l’espoir, ami et coéternel confident des utopies qui font trembler les éphémères et iniques certitudes.

Je suis l’espoir, intime  secret des êtres dont les désirs de bonheur frôlent le cœur des étoiles et flattent les cimes des horizons indécis.

Je suis l’espoir, portion d’existence, qui dénoue l’écheveau des frustrations dont les profondes stigmates endolorissent les âmes et bouleversent les cœurs.

Je suis l’espoir, intense lumière des soleils qui confortent les optimismes et encouragent les justes alliances.

Je suis l’espoir, quelquefois fou, qui cultive les bonnes augures et nargue les détresses des femmes et des hommes attardés dans les espaces désertés par l’amour.

Je suis l’espoir qui bourgeonne au seuil des printemps dont la venue annonce l’imminence des joies et des réjouissances.

Je suis l’espoir, immensité fleurie des champs de blé ondoyant sous la brise parfumée des mois de mai, témoin d’une richesse qui se constitue.

Je suis l’espoir, lumière brillant dans les yeux des saisons, je rêve d’apaiser le monde des hommes en pacifiant ses tensions.

Je l’espoir, promesse de délivrance et d’émancipation, je libère les femmes et les hommes du joug des tyrannies des désespoirs.


Je suis l’espoir qui arme la plume des rebellions et invente l’éclair orageux dans les yeux des insoumissions.

Je suis l’espoir, paroles qui alignent les mots dont les mystères syllabiques immobilisent les reniements et inventent les sens des espérances et de leurs significations.

Je suis l’espoir qui aspire à conquérir le cœur de l’amour.

Je suis l’espoir, ivre du bonheur de voir se matérialiser mes consistances.

Je suis l’espoir qui donne le goût de vivre.

Je suis l’espoir, fragment de lumière, j’élargis les horizons pour laisser poindre l’aube qui sonne la révolte contre tous les fatalismes stérilisants.

Confidences à Une Rose!

04 December 2006 - 01:06 PM


Confidences à une rose, confidence intime à ma rose



Rose, reine des fleurs, ta voix me parle du secret de la rose.

Rose, de la rose tu conserves le mystère des senteurs envoûtantes de la rose,

Rose, de la rose tu gardes le souvenir de la grâce, des fragrances et la subtilité des nuances.

Rose, tu es la rose qui pare le cœur des amants au moment de l’embrasement des sens par l’amour.

Rose, tu ornes le sourire suave qui illumine le regard des amants.

Rose, tu me contes le souvenir mystérieux du monde des roses

Rose, tu es ma rose, amie intime du jasmin et compagne fidèle de la tulipe.

Rose, de la rose tu as le parfum qui donne vie aux rêves d’extase.

Rose, de la rose tu gardes la sagesse du monde des fleurs qui apaise les angoisses et apaise les cœurs.

Rose, reine des roses, ma reine, tu fais chavirer mon âme et troubler mes regards.

Rose, somptueux décor des matins flamboyants et des crépuscules incendiés par le jour qui fuit et la nuit qui s’avance.

Rose, intime complice de mes nuits sans sommeil, tu habites le cœur de mes mémoires nostalgiques.

Rose, reine de mes aubes naissantes, tu veilles sur mes rêves et tu berces mes illusions.

Rose rouge de la passion, tu luttes contre les insouciances, les indifférences, les stérilisantes routines qui se vident de l’amour, tu es source de vie et de délices.

Rose rouge, tu donnes vie à la passion qui combat les absences et réveille la vigilance des cœurs meurtris dont la mémoire se vide des mots, des gestes, des caresses et des regards qui constituent la substance, l’origine et la source de la vie.

Rose rouge, tu attises les passions, origine de turbulence des sens, tu bouleverses les existences, tu sèmes la discordance, tu sonnes la rébellion et la désobéissance.

Rose rouge, tu déclenches des tempêtes dans les consciences, tu désarticules les présents, tu modèles les possibles lendemains et tu réaménages les hiers non assumés.

Rose rouge, essences des passions, tu déranges les équilibres précaires des vies désertées par l’amour, tu remets en cause les convictions qui stérilisent le frémissement des cœurs, tu consumes les incertitudes des amants impatients et avides de présence, tu embrases les nuits électrisées des corps ivres de plaisir et de désir.

Rose rouge, tu allumes le feu de la passion amoureuse dans les cœurs qui s’apprêtent à s’abandonner aux délices des sens.

Rose bleue, tu es la force de l’amant qui brave l’inconstance et l’adversité des néants pour rejoindre la source de sa vérité, l’origine de son existence.


Rose bleue, tu es le viatique de l’amoureux qui s’acharne à s’approprier le cœur, l’âme et le corps de son étoile qui brille aux quatre horizons

Rose, tu embaumes de tes étranges effluves les contrées mystérieuses des serments d’amour pour faire frémir les souvenirs et faire ressurgir le goût d’aimer et de chérir.

Rose, souvenir vivace de la rose et des couleurs de la rose, tu berces la mémoire de mes tendres émois, chantes la douceur de vivre, psalmodies l’hymne de l’amour, réinventes les possibles aléatoires et fais taire les improbables contingences des instants désertés par l’ombre des fleurs et de la présence de la reine des fleurs.

Fleur du premier matin du monde, tu réveilles délicatement la vigilance des cœurs, tu donnes sens et conscience à leurs exigences d’immortalité, tu sublimes leur contemplation des espaces infinis où les matins sont radieux et où les êtres et les choses resplendissent de l’éclat de la vérité.

La subtile énergie des tes fragrances bouscule les inconsistances des non-sens et la virtualité des espérances, ébranle les inerties coupables, investit les coeurs dévorés par l’amertume du souvenir des déroutes non assumées, laboure les mémoires endolories et endurcies pour y faire germer les graines des lendemains imprévus.

Rose, ton arôme éblouit mes yeux, tes pétales sont des promesses de plaisirs plantés dans les parcelles des espérances, arrosées par l’onde bénéfique de nos complices attentes.

Reine des fleurs, tu es ma rose dont la quintessence des parfum, puisés au cœur des mystères de la grâce et de la féminité comble les espoirs de bonheur et de sérénité des amoureux.

Tu es la rose qui se baigne timidement dans la rosée des aubes naissantes, réminiscences nées dans les profondeurs des corps en extase qui arrosent les heures brûlantes des nuits auréolées par la clarté laiteuse de la lune.

Rose blanche, innocence virginale, candeur immaculée, tu réconcilies les femmes et les hommes avec leur essence primordiale, tu les incites à retrouver, au fond de leurs mystères, le chemin de la mémoire des origines et la nostalgie de la grâce et de la beauté.

Rose de lumière, baignée de rosée lumineuse et irisée, tu bisses les souvenances des sourires innocents et nacrés de tous les fragments de bonheur que mon cœur a tant espérés et attendus.

Je Suis Un Rêve( Suite Et Fin)

02 December 2006 - 12:28 AM

Rêve, image d’un mirage surgissant des confins de nos doutes et de nos convictions pour nous conduire dans le monde des certitudes chancelantes et des vaines attentes aux portes de l’espace des incompréhensions.

Rêve, songe prémonitoire, tu sacralises mes espoirs, tu brises mes résistances, tu réveilles ma conscience et tu m’aides à mémoriser le sens des mots qui ornent le coeur des caresses.

Rêve d’Orient, songe d’Occident, vision magique et féerique née au sein des quatre horizons, mirage d’ici et de là-bas jaillissant de nulle part, tu embrases le crépuscule de mes caprices et tu illumines les aubes de mes fantasmes.

Songe étrange, je suis le rêve, un rêve d’amour, issu de l’amour, conçu dans l’amour, riche du souvenir de tes moments de trouble, de tes candeurs, de tes innocences, intime de tes espaces magiques où la réalité sublime se  confond avec les illusoires évidences des mirages.

Mirage, je suis une vision intemporelle née au coeurr du néant des espérances reconquises, j’habite la mémoire des rêves qui ornent tes nuits de délires et tes jours de désirs.

Rêve, je suis un mirage né au milieu des déserts incendiés par le soleil des fantasmes, je fonde la vigilance des insouciants pour transformer les possibles en certitudes, les amours éphémères en passions ciselées dans l’or des coeurs des amants.

Songe, du rêve je possède le parfum et la flamme qui donne vie et entretient la vigilance des âmes qui errent aux confins des espaces singuliers des caprices qui nargue le temps et le hasard des jours qui passent.

Rêve surgissant du néant de l’immédiateté des instants de bonheur, je survis au bord de la nostalgie persécutée d’un univers vide de ta présence, orphelin de l’image de ton visage et des promesses que ton regard incruste sur la paroi fragile de mes espérances.

Mirage, souvenir de l’image d’une réalité qui n’a pas de prise sur son essence, une réalité évanescente qui se nourrit du passé pour donner souffle à un présent  porteur d’un futur qui tend ses bras pour abriter notre amour et notre complicité.
_________________________________________________________________