[/i]Rue parisienne…
Un mètre, deux sourires
Deux mètres, des amourettes
Trois mètres, le kiosque vient d’ouvrir
Quatre mètres, photo face tour Eiffel
Cinq mètres, homme d’affaire, cigarette, j’ai vu pire
Six mètres, remise en jeu
Sept mètres, jolie brunette
Huit mètres, elle est jolie mais pressée
Neuf mètres, « deux francs pour manger »
« Pensée …La misère pas à pas
En kilomètre ça se dénonce
Les enfoirés fête leur vingt ans »
Dix mètres, tiens le soleil perce, ça existe encore finalement
Onze mètres, barrière, police, manif, les jeunes défendent leurs idéaux
Douze mètres, cigarette
Treize mètres, je pense à elle
Quatorze mètres, ça se lit sur son visage qu’elle voit la vie en rose
Quinze mètres, une rose habillée de blanc
Seize mètres, le bonjour qui dénonce le coup de foudre
Dix-sept mètres, « »
Dix-huit mètres, main dans la main sur les bancs publiques
« Pensée… L'amour pas à pas
En kilomètre ça existe
Inexorablement à reculons »
Dix-neuf mètres, je m'arrête
Le coeur passe au rouge…………………………
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Simplementdireleschoses
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Rencontre
24 April 2006 - 09:03 PM
Il était bien trop solitaire
22 October 2005 - 09:59 PM
Il était bien trop solitaire
Pour pouvoir oser lui plaire
Il passait son temps à la contempler
Sans jamais oser
Le jour, il avançait d’un pas hésitant
Tournait à gauche quand elle tournait à droite
Puis lorsque que vint enfin la pose
Il attendait sur ce banc qu’elle passe devant lui
Sans jamais oser
Seul, quand le vent est dans le bon sens
Il profite
Seul, dans le parc de ses envies
Il peint son monde
Il était bien trop solitaire
Pour pouvoir oser lui plaire
Il la regardait s’éloigner avec douceur
Sans jamais oser
La nuit, il dormait d’un rêve agitateur
Où son cœur égaré succombé ses envies.
La fille de la rue dans face, il l’aimait
Sans jamais oser…
Le silence lui allait bien
Seul, quand le vent est dans le bon sens
Il profite
Seul, dans le parc de ses envies
Il peint son monde
Il était bien trop solitaire
Pour pouvoir oser lui plaire
Pour pouvoir oser lui plaire
Il passait son temps à la contempler
Sans jamais oser
Le jour, il avançait d’un pas hésitant
Tournait à gauche quand elle tournait à droite
Puis lorsque que vint enfin la pose
Il attendait sur ce banc qu’elle passe devant lui
Sans jamais oser
Seul, quand le vent est dans le bon sens
Il profite
Seul, dans le parc de ses envies
Il peint son monde
Il était bien trop solitaire
Pour pouvoir oser lui plaire
Il la regardait s’éloigner avec douceur
Sans jamais oser
La nuit, il dormait d’un rêve agitateur
Où son cœur égaré succombé ses envies.
La fille de la rue dans face, il l’aimait
Sans jamais oser…
Le silence lui allait bien
Seul, quand le vent est dans le bon sens
Il profite
Seul, dans le parc de ses envies
Il peint son monde
Il était bien trop solitaire
Pour pouvoir oser lui plaire
Une épine à chaque souffle de sa voix
18 October 2005 - 10:07 PM
Au cris intérieur de mon corps
Je me blesse encore et encore
J’inonde pour m’y noyer
Ce territoire que j’ai rêvé
J’enflamme pour y brûler
Ses souvenirs que j’ai tant aimé
Quand j’y vois encore son reflet
Je le grave encore à jamais
Une épine à chaque souffle de sa voix
Traverse mon cœur enfin, je l’évite en vain
Quand sa voix chuchote bonjour
Mes matins deviennent câlins
Quand ta peau frissonne mes sens
J’ai mal quand j’y repense
… Trop tard je ne suis plus très loin…
Du précipice, est-ce un vice ?
Ridicule l’amour quand il est triste
Je me blesse encore et encore
J’inonde pour m’y noyer
Ce territoire que j’ai rêvé
J’enflamme pour y brûler
Ses souvenirs que j’ai tant aimé
Quand j’y vois encore son reflet
Je le grave encore à jamais
Une épine à chaque souffle de sa voix
Traverse mon cœur enfin, je l’évite en vain
Quand sa voix chuchote bonjour
Mes matins deviennent câlins
Quand ta peau frissonne mes sens
J’ai mal quand j’y repense
… Trop tard je ne suis plus très loin…
Du précipice, est-ce un vice ?
Ridicule l’amour quand il est triste
On s'aime jusqu'à hier
12 September 2005 - 08:52 PM
Hier j’ai souris aux regards
La musique entraînante flirtant mes idées
Ces ombres vagabonde perdues dans la foule
Ces discours de muet, les sourires au répondant
Flirt d’un soir… on s’aime jusqu’à hier
On continue pourquoi pas…
Jusqu’au levé jusqu’au regret
On s’offre un instant
Un plaisir, une chance
On est d’accord … on s’aime jusqu’à hier
On développe, on se présente ?
L’ivresse prend le dessus
On continue en silence
Notre cadeau pour ce soir
Plions bagage… on s’aime jusqu’à hier
Triste réalité, sueur d’un soir
Et le matin au miroir on est plus roi
Claque les pieds sur le parquet
La veille, quelle jolie bouquet
Bise au coin de la joue… on s’aime jusqu’à hier
La musique entraînante flirtant mes idées
Ces ombres vagabonde perdues dans la foule
Ces discours de muet, les sourires au répondant
Flirt d’un soir… on s’aime jusqu’à hier
On continue pourquoi pas…
Jusqu’au levé jusqu’au regret
On s’offre un instant
Un plaisir, une chance
On est d’accord … on s’aime jusqu’à hier
On développe, on se présente ?
L’ivresse prend le dessus
On continue en silence
Notre cadeau pour ce soir
Plions bagage… on s’aime jusqu’à hier
Triste réalité, sueur d’un soir
Et le matin au miroir on est plus roi
Claque les pieds sur le parquet
La veille, quelle jolie bouquet
Bise au coin de la joue… on s’aime jusqu’à hier
coïncidence/élégance/importance/évidence
10 September 2005 - 12:16 PM
Est-ce que nous deux c’est…coïncidence
Est-ce que cette vie sera… belle élégance
Est-ce que ces choix ont vraiment…tant importances
Est-ce que cet amour là est…une évidence
????
Emu devant le panneau des évidences…
La coïncidence a choisi l’élégance
Plus d’importance…
Est-ce que cette vie sera… belle élégance
Est-ce que ces choix ont vraiment…tant importances
Est-ce que cet amour là est…une évidence
????
Emu devant le panneau des évidences…
La coïncidence a choisi l’élégance
Plus d’importance…
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