Il est paraît t il un pays ou une fleure ravissante est si chérie, qu’elle ne flétrie pas,
Un endroit où le temps, le traître, n’aurait plus ses droits,
Un pays où mon ennui n’aurait pas lieu d’exister,
Un endroit où l’âme pervertis d’un homme n’aurais pas droit de cité.
M’y suivrais tu, si je te demandais de tout quitter ?
De prendre ma main et poursuivre nus pieds les dédales de se vaste sentier,
Si large et sinueux que je ne sais pas où te mener,
Qu’importe de se perdre, si tu es à mes côtés.
Je ferais en sorte que ta peau si fragile, ne soit plus jamais altérée.
Lorsque couché sur un lit de nuages, ma bouche en goûtera toutes les subtilités,
Je ferais couler des torrents de mes paupières arides, afin que tu puisses t’abreuver,
Tu es mon pays, ma patrie, mon unique destiné.
Car cet endroit, je l’ai trouvé en ton sein, et jamais je ne veux m’en détourner,
Il me suffit juste de te contempler, pour y être transporté,
Ton visage a la splendeur, les couleurs de toutes les nations,
Et de tes rires a été puisé, l’harmonie divine de la Création.
Alors s’il te plait prend ma main, laisse moi te guider,
Et ce soir je te montrerais,
Que vivre à deux dans ce monde de misère,
C’est un peu trouver le paradis aux portes de l’enfer.
Ceci est un texte que j'ai écrit sous le pseudo ichaan, je l'ai un peu modifier, et j'en ai profité pour changer de pseudo! merci .
l'invitation
Started by magaubei, Dec 08 2005 06:02 PM
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