Lassé des hamburgers
Des cités et du stress
Des lieux puant la sueur
Des bordels et du sexe
Je me tire quelque temps
Rechercher un ailleurs
Au fond de mon présent
Du pire et du meilleur
La violence de la rue
Me bousille les oreilles
Putain si j'avais su
J'aurais pas fait pareil
Le noir du MacAdam
M'apporte la lumière
La où le feu des femmes
Vient de remplir mon verre
Reste encore
Je vais bien
Si je dors
Prends ma main
Le dégoût du bonheur
M'a jeté sur le sol
Et de battre en mon coeur
Cette musique folle
Dans une mer de sang
J'ai trahis mon passé
Et dans un rêve absent
Perdu l'éternité
Les néons des rues noires
Me sifflent dans la tête
Et ce putain de soir
Où j'ai trahi la fête
Sans savoir
Reste encore
Je vais bien
Si je dors
Prends ma main
Cités
Started by Jacques Adamski, Apr 27 2006 09:30 AM
3 replies to this topic
#1
Posted 27 April 2006 - 09:30 AM
#2
Posted 27 April 2006 - 02:35 PM
il est très beau ce texte Jacques. Malgrés le côté très sombre de ce texte, il reste quand même le sommeil et la main que l'on donne.
Amitiés
Bohémia
Amitiés
Bohémia
#3
Posted 27 April 2006 - 07:55 PM
Citation (bohemia @ Apr 27 2006, 03:35 PM) <{POST_SNAPBACK}>
il est très beau ce texte Jacques. Malgrés le côté très sombre de ce texte, il reste quand même le sommeil et la main que l'on donne.
Amitiés
Bohémia
Amitiés
Bohémia
merci Bohemia... La poésie n'est-elle pas parfois un exutoire?
#4
Posted 27 April 2006 - 08:03 PM
Citation (Jacques Adamski @ Apr 27 2006, 08:55 PM) <{POST_SNAPBACK}>
merci Bohemia... La poésie n'est-elle pas parfois un exutoire?
oui bien sûre qu'elle est un exutoire la poésie : un équilibre,une harmonie, une résistance, un combat, et etc...
Cela est le cas depuis des siècles.
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