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ortie

Member Since 21 Dec 2006
Offline Last Active Dec 22 2006 07:07 PM
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Posts I've Made

In Topic: L'image.

22 December 2006 - 05:52 PM

Citation (ortie @ Dec 21 2006, 04:39 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Je me souviens qu’elle portait une robe transparente
Qui laissait l’apparence à toutes ses rondeurs
Qui attiraient même ceux qui fuyaient les sentes
Des envies qui sont difficiles à éviter avec les leurres.

Ses petits seins tenaient de l’assise leur belle forme
Qui tirait sa typique ressemblance des pommes ;
Ses hanches dévalaient bien moulées leur solidité
Reposante sur ses belles jambes aussi bien sculptées.

Je n’en avais pas à l’oeil toutes ses formes uniques
Qui rajeunissaient avec ces moments féeriques.
Elle n’en avait pas au cœur la chaleur qui gruge
L’envie recherchant ailleurs un nouveau refuge,

Et au sommet du délire je fermais cet oeil pour mûrir
En attendant avec l’image qui volait mes regards
Mais l’offrande des moments féeriques à retenir,
Ne revenait pas avec la réalité, sa décence et son art.

"ortie"


merci à vous !
j'ai rimé comme j'ai voulu rimer sans toutefois compter mes syllabes.
la forme n'a rien avoir avec le classique du moment que les vers ne se reposent pas sur 12 pieds.
les césures ne sont pas vraiment bonnes avec les rimes féminines, masculines plurielles et riches etc.
je n'irai pas loin avec mes remarques pour rester un peu loin de ceux qui veulent percer certains mystères...
moi "ortie"

In Topic: L'âne Et Le Boeuf

21 December 2006 - 03:06 PM

Citation (recreation @ Dec 21 2006, 01:14 PM) <{POST_SNAPBACK}>
L'âne
Marcheur infatigable devenu bête de somme
j’ai parcouru le monde sous la férule des hommes
Supportant les horions les piques les médisances
Même j’ai soufflé sur Dieu le jour de sa naissance

Le boeuf
Quand je sors de l’étable, quelques pailles jaunes me restent.
J’en garde une que je mâche, et c’est là tout mon bien.
Parmi ceux qui me croisent à l’étable, combien
qui savent qu’entre mes cornes, j’ai serré les étoiles.
Alain
http://www.mespoemes.net/recreation


et imbécile.
menteur incrédule sous l'ahabit du mensonge
tu es resté brillant pour en adoucir les regards
qui te dénudent au sommet des louanges.

moi l'ortie.