J’avais rêvé le beau soleil
Et ses rayons sur les hauteurs
Qui vous réchauffe et qui vous veille
Quand au matin le corps se meurt.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé moi l’océan
Pour quand viendra l’heure dernière
Où corps et cœur foutent le camp
Pour le paradis, pour l’enfer.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer opale.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer trop pâle.
Rêverie D’une Oraison Funèbre
Started by Sebastian1980, Dec 11 2006 10:28 PM
1 reply to this topic
#1
Posted 11 December 2006 - 10:28 PM
#2
Posted 14 December 2006 - 01:03 PM
Citation (Sebastian1980 @ Dec 11 2006, 10:28 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J’avais rêvé le beau soleil
Et ses rayons sur les hauteurs
Qui vous réchauffe et qui vous veille
Quand au matin le corps se meurt.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé moi l’océan
Pour quand viendra l’heure dernière
Où corps et cœur foutent le camp
Pour le paradis, pour l’enfer.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer opale.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer trop pâle.
Et ses rayons sur les hauteurs
Qui vous réchauffe et qui vous veille
Quand au matin le corps se meurt.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé moi l’océan
Pour quand viendra l’heure dernière
Où corps et cœur foutent le camp
Pour le paradis, pour l’enfer.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer opale.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer trop pâle.
C'est pas mal... j'ai l'impression de lire des paroles de Brel ou de Brassens.
0 user(s) are reading this topic
0 members, 0 guests, 0 anonymous users