Muette
Started by Henri., Apr 06 2006 11:00 PM
12 replies to this topic
#1
Posted 06 April 2006 - 11:00 PM
Pudibonde blessure
délicate,
ombrée
d’une fine fourrure
je viens, doux, déposer
une délicatesse
un poème, un baiser,
une tendre caresse
une fleur de pommier.
Impudente nervure
Irradiante
Ourlée
D’une frêle parure,
Impérieux, je viens défier
Le ciel qui se déchire
La houle de l’océan
Le tonnerre qui roule
Les abysses et le vent
L’orage, la tempête
Le vertige, les tourments
Qui convulsent la terre.
Dionysos. Les Titans.
délicate,
ombrée
d’une fine fourrure
je viens, doux, déposer
une délicatesse
un poème, un baiser,
une tendre caresse
une fleur de pommier.
Impudente nervure
Irradiante
Ourlée
D’une frêle parure,
Impérieux, je viens défier
Le ciel qui se déchire
La houle de l’océan
Le tonnerre qui roule
Les abysses et le vent
L’orage, la tempête
Le vertige, les tourments
Qui convulsent la terre.
Dionysos. Les Titans.
#2
Posted 07 April 2006 - 12:20 AM
Délicate attention...
Délicieuse tendresse...
En beauté...
Bisous Henri
Délicieuse tendresse...
En beauté...
Bisous Henri
#3
Posted 07 April 2006 - 06:23 AM
Citation (Henri. @ Apr 7 2006, 12:00 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Pudibonde blessure
délicate,
ombrée
d’une fine fourrure
je viens, doux, déposer
une délicatesse
un poème, un baiser,
une tendre caresse
une fleur de pommier.
Impudente nervure
Irradiante
Ourlée
D’une frêle parure,
Impérieux, je viens défier
Le ciel qui se déchire
La houle de l’océan
Le tonnerre qui roule
Les abysses et le vent
L’orage, la tempête
Le vertige, les tourments
Qui convulsent la terre.
Dionysos. Les Titans.
délicate,
ombrée
d’une fine fourrure
je viens, doux, déposer
une délicatesse
un poème, un baiser,
une tendre caresse
une fleur de pommier.
Impudente nervure
Irradiante
Ourlée
D’une frêle parure,
Impérieux, je viens défier
Le ciel qui se déchire
La houle de l’océan
Le tonnerre qui roule
Les abysses et le vent
L’orage, la tempête
Le vertige, les tourments
Qui convulsent la terre.
Dionysos. Les Titans.
wouah.... dès le matin,
ça réveille !
j'aime beaucoup le rythme différent des deux parties
calme et tempête
bonne journée Henri
bises
Ambréance
#4
Posted 07 April 2006 - 06:42 AM
L'axe de notre existence!
Joliment décrit!
Amicalement
Joliment décrit!
Amicalement
#5
Posted 07 April 2006 - 06:43 AM
Oulah !
Pas si muette
Entre douceur et violence
Ce que j'aime !
Bizzzzzz
Pas si muette
Entre douceur et violence
Ce que j'aime !
Bizzzzzz
#6
Posted 07 April 2006 - 09:08 AM
j'adore cette puissance, le chaud, le froid, la vie quoi, ça bouge !! ouais!!!
bonne journée henri !!
bonne journée henri !!
#7
Posted 07 April 2006 - 09:12 AM
oui, d'une indécence rare, mais c'est pour ça qu'on l'aime...
Bien joué,
M
Bien joué,
M
#8
Posted 07 April 2006 - 11:09 AM
Et bin, quel souffle délicat dans ces vers criant de douceur !
Bisous
Bisous
#9
Posted 07 April 2006 - 11:12 AM
Voilà qui
Déménage
Assez
Délicatement
Bien à toi
Maud
Déménage
Assez
Délicatement
Bien à toi
Maud
#10
Posted 07 April 2006 - 11:12 AM
Ah ! Excellent, je trouve.
#11
Posted 07 April 2006 - 11:23 AM
Citation (Joa @ Apr 6 2006, 11:20 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Délicate attention...
Délicieuse tendresse...
En beauté...
Bisous Henri
Délicieuse tendresse...
En beauté...
Bisous Henri
Merci Joa,
tes mots sont en phase avec le texte...
bises
Henri
Citation (ambreance @ Apr 7 2006, 05:23 AM) <{POST_SNAPBACK}>
wouah.... dès le matin,
ça réveille !
j'aime beaucoup le rythme différent des deux parties
calme et tempête
bonne journée Henri
bises
Ambréance
ça réveille !
j'aime beaucoup le rythme différent des deux parties
calme et tempête
bonne journée Henri
bises
Ambréance
promesse tenue...
bonne journée aussi
bises
Henri
Citation (bergel @ Apr 7 2006, 05:42 AM) <{POST_SNAPBACK}>
L'axe de notre existence!
Joliment décrit!
Amicalement
Joliment décrit!
Amicalement
Merci Bergel de passer et laisser com...
et quel "axe" !
amitiés
Henri
Citation (heloise @ Apr 7 2006, 05:43 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Oulah !
Pas si muette
Entre douceur et violence
Ce que j'aime !
Bizzzzzz
Pas si muette
Entre douceur et violence
Ce que j'aime !
Bizzzzzz
Salut Héloise, ravi de ton passage
pas si muette non...
bises
Henri
Citation (lacape @ Apr 7 2006, 08:08 AM) <{POST_SNAPBACK}>
j'adore cette puissance, le chaud, le froid, la vie quoi, ça bouge !! ouais!!!
bonne journée henri !!
bonne journée henri !!
Hello Dominique
et où as tu senti du froid ?
bonne journée
amitié
Henri
Citation (Mojo @ Apr 7 2006, 08:12 AM) <{POST_SNAPBACK}>
oui, d'une indécence rare, mais c'est pour ça qu'on l'aime...
Bien joué,
M
Bien joué,
M
Certes...indécence...
merci Mojo
amitiés
Henri
Citation (DouceSarah @ Apr 7 2006, 10:09 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Et bin, quel souffle délicat dans ces vers criant de douceur !
Bisous
Bisous
un souffle délicat c'est une bonne idée non ?
bonne journée à toi
bises
Henri
Citation (Desmaudesmots @ Apr 7 2006, 10:12 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Voilà qui
Déménage
Assez
Délicatement
Bien à toi
Maud
Déménage
Assez
Délicatement
Bien à toi
Maud
Merci Maud
au plaisir...
bise
Henri
Citation (Merqur @ Apr 7 2006, 10:12 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Ah ! Excellent, je trouve.
Ah ! tant mieux
Henri
#12
Posted 07 April 2006 - 11:34 AM
Je viens de lire le texte de Maud "chaleur"... c'est la journée des textes à deux visages.
Je vais aller dans une idée, là... si je peux, Henri.
Il y a le grondement de la deuxième strophe. Et la tendre luminosité de la première. On pourrait penser à mettre d'abord le grondement, ensuite la luminosité. Pour apaiser.
Figurez-vous, Henri, que cela me fait penser à un commentaire que j'ai entendu d'un écrivain (peut-être bien Queffeleq) :
il a perdu sa mère étant très jeune. Et il dit cette chose (en gros, hein, de mémoire) :
la lumière d'abord. Le grondement ensuite. Parce que lorsque la lumière est vraiment à son sommet, elle a beau disparaître, elle nous aura donné assez d'amour pour tout le reste d'une vie sans elle.
suis-je claire ? Je ne sais pas...
Félice.
Je vais aller dans une idée, là... si je peux, Henri.
Il y a le grondement de la deuxième strophe. Et la tendre luminosité de la première. On pourrait penser à mettre d'abord le grondement, ensuite la luminosité. Pour apaiser.
Figurez-vous, Henri, que cela me fait penser à un commentaire que j'ai entendu d'un écrivain (peut-être bien Queffeleq) :
il a perdu sa mère étant très jeune. Et il dit cette chose (en gros, hein, de mémoire) :
la lumière d'abord. Le grondement ensuite. Parce que lorsque la lumière est vraiment à son sommet, elle a beau disparaître, elle nous aura donné assez d'amour pour tout le reste d'une vie sans elle.
suis-je claire ? Je ne sais pas...
Félice.
#13
Posted 07 April 2006 - 02:46 PM
[quote name='Félice' date='Apr 7 2006, 10:34 AM' post='313136']
Je viens de lire le texte de Maud "chaleur"... c'est la journée des textes à deux visages.
Je vais aller dans une idée, là... si je peux, Henri.
Il y a le grondement de la deuxième strophe. Et la tendre luminosité de la première. On pourrait penser à mettre d'abord le grondement, ensuite la luminosité. Pour apaiser.
Figurez-vous, Henri, que cela me fait penser à un commentaire que j'ai entendu d'un écrivain (peut-être bien Queffeleq) :
il a perdu sa mère étant très jeune. Et il dit cette chose (en gros, hein, de mémoire) :
la lumière d'abord. Le grondement ensuite. Parce que lorsque la lumière est vraiment à son sommet, elle a beau disparaître, elle nous aura donné assez d'amour pour tout le reste d'une vie sans elle.
suis-je claire ? Je ne sais pas...
Félice.
Les com me font savoir que le contraste est perçu fortement. Plus que de mon point de vue, peut être...
Ensuite chère Felice, merci de ce beau cadeau...
Henri
Je viens de lire le texte de Maud "chaleur"... c'est la journée des textes à deux visages.
Je vais aller dans une idée, là... si je peux, Henri.
Il y a le grondement de la deuxième strophe. Et la tendre luminosité de la première. On pourrait penser à mettre d'abord le grondement, ensuite la luminosité. Pour apaiser.
Figurez-vous, Henri, que cela me fait penser à un commentaire que j'ai entendu d'un écrivain (peut-être bien Queffeleq) :
il a perdu sa mère étant très jeune. Et il dit cette chose (en gros, hein, de mémoire) :
la lumière d'abord. Le grondement ensuite. Parce que lorsque la lumière est vraiment à son sommet, elle a beau disparaître, elle nous aura donné assez d'amour pour tout le reste d'une vie sans elle.
suis-je claire ? Je ne sais pas...
Félice.
Les com me font savoir que le contraste est perçu fortement. Plus que de mon point de vue, peut être...
Ensuite chère Felice, merci de ce beau cadeau...
Henri
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