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#356798 Société

Posted by had75 on 11 November 2006 - 01:47 AM in Salon de publication principal

Merci pour ces précisions jean claude.
Amitiés.
Hadrien.



#356795 Société

Posted by had75 on 11 November 2006 - 01:20 AM in Salon de publication principal

Citation (jc-blondel @ Nov 10 2006, 07:19 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Hadrien
un vers boiteux pour un alexandrin est un vers qui n'a pas 12 pieds
pae exemple
Par-l'i-llu-sion-pro-fon-de-de-la-ré-a-li-té. ca fait 13
il en est de meme pour les cesure en milieux de vers

voila ce que j'ai trouve

amicalement

jean claude


Merci pour ces informations.
Je ne suis qu'un débutant en poésie, et même si les vers viennent naturellement, j'avoue avoir un peu de mal avec l'aspect technique.
Pour moi profonde n'a que deux syllabe: pro-fonde , mais j'en crois volontier ton expérience.
Il faudra que je me plonge dans des livres d'explication. Ca m'aidera surement.
Au niveau des césures par contre je vois bien mes erreurs.
Je vais essayer, d'arranger cela au plus vite.
Amitiés
Hadrien



#356707 Ecrire Quelques Mots

Posted by had75 on 10 November 2006 - 05:17 PM in Salon de publication principal

Citation (jc-blondel @ Nov 10 2006, 02:37 PM) <{POST_SNAPBACK}>
ECRIRE QUELQUES MOTS

Ecrire quelques mots sur une page blanche
Pour réveiller les feux d’un fougueux souvenir
Qui semblait lumineux orné par le désir
En ne durant que temps d’éphémère dimanche.

Ces quelques mots couchés sur des bouts de papier
Chahuteront vos corps, bousculeront vos âmes
Car ils viendront chanter vos rêves oubliés
En faisant resurgir vos vieux songes, Mesdames.

Utilisant ces mots par l’encre de ma plume
J’essaye d’estomper les tracas du passé,
De ces matins d’hivers anéantis de brume
J’en ferai des soleils qui n’auront qu’à briller.

Au-delà de l’amour des mots seront hargneux
Ils condamnent sans fin la guerre et la misère.
Ils attaquent toujours, en les rendant honteux,
Ces hommes malappris qui torpillent la terre.

Ecrire c’est un tout qui parfois nous démange
Lorsque l’existence a de vilaines saveurs
Car l’homme ne sait plus laisser parler son cœur.
Les mots seront bien là, tant pis si ça dérange.

jc blondel

Tres beau poème. Je crois que le premier vers est récurrent à beaucoup de poètes, mais l'ensemble est très bien écrit.
Si je peux me permettre, j'aurai écrit la deuxième strophe autrement:

Ces quelques mots couchés sur des bouts de papier
Chahuteront vos corps, bousculeront vos âmes
En faisant resurgir vos vieux songes, Mesdames
Car ils viendront chanter vos rêves oubliés.

Amitiés.
Hadrien.



#356706 Cauchemar

Posted by had75 on 10 November 2006 - 05:03 PM in Salon de publication principal

En effet, mais je prefere le laisser tel quel car je l'ai écrit au reveil en un seul jet sans même réfléchir, et pour moi ça serai trahir l'instant que de le retoucher.
Merci.
Amitiés.
Hadrien.



#356704 L’enfant Des Milles étoiles

Posted by had75 on 10 November 2006 - 04:58 PM in Salon de publication principal

Désolé pour cette faute, je vais arranger cela.
Merci carla.
Amitiés.
Hadrien.



#356703 Société

Posted by had75 on 10 November 2006 - 04:56 PM in Salon de publication principal

Merci à vous deux pour vos appréciations.
Amitiés.
Hadrien.

PS: qu'est ce que tu entends par "vers boiteux" , précise comme ca je serai plus à même d'arranger cela.
Merci



#356542 O Vent Joyeux Fripon

Posted by had75 on 10 November 2006 - 02:42 AM in Salon de publication principal

Deux choses à corriger ( enfin pour moi, je te laisse le soin de décider ).
Je pense que caresse prend un S car dans ma lecture il s'agit de multiples caresses.
Et au début de ton poème , je trouve que écrin nacré sonne trop dur au niveau de la diction.
Amitiés.
Hadrien.



#356541 De Taimer En Silence

Posted by had75 on 10 November 2006 - 02:31 AM in Salon de publication principal

Bravo, très beau poème, mais cela ne m'éttone pas , je ne suis inscrit que depuis trois jours et j'aime à découvrir tes poèmes au fur et à mesure.
Les métaphores sont très bien choisies, et le poème en lui même est très vivant.
En le lisant, on s'imagine aisément l'instant.
J'ai beaucoup aimé "Vieillir est un endroit où je ne peux dormir".
Amitiés.
Hadrien.



#356540 Cauchemar

Posted by had75 on 10 November 2006 - 01:46 AM in Salon de publication principal

Cauchemar

Sur le songe de ma nuit
Plus profond qu’aucun puits
Je me penche lentement
Et je tombe en dedans
Tout est noir et si sombre
D’ou sortent toutes ces ombres ?
Mon cœur s’accélère
Je ne sais plus quoi faire !
Vite, trouver la sortie
Sinon je suis fini
Mon rêve m’englouti
Je suis anéanti
Viles pensées impies
Toutes je vous maudis.



#356538 L’enfant Des Milles étoiles

Posted by had75 on 10 November 2006 - 01:43 AM in Salon de publication principal

L’enfant des milles étoiles

Je regarde le ciel
Moi enfant des étoiles
Je regarde le ciel
Qui comme une grande toile
De sa lumière dorée
Me laisse prisonnier.
Je regarde le ciel
Au coucher du soleil
Quand il vire du rose
À un noir glacial
Que seules les étoiles
Et cette grande lune
Réchauffent d’une auréole
Qui m’entoure de bien être
Et me rappelle l’être
Qui sommeille en moi
L’enfant des milles étoiles
Au cœur en émoi.



#356445 Folle Realite

Posted by had75 on 09 November 2006 - 06:24 PM in Salon de publication principal

Citation (jc-blondel @ Nov 7 2006, 06:15 PM) <{POST_SNAPBACK}>
FOLLE REALITE

Folle réalité, cruelle déchirure
Quand l'amour est forcé par les feux du tourment
Quand le désir est fou, lorsqu'il devient violent
Il peut vous emporter dans sa triste aventure.

Combien de désarroi, de vaines salissures
Quand le corps est meurtri par un être méchant
La petite qui n'est encore qu'une enfant
Supportera longtemps ces vilaines blessures.

Comment sera-t-il fait demain leur avenir
Errant jour après jour, traînant leur existence
En se forçant à vivre en mettant sous silence
Cet instant détesté, cet affreux souvenir.

Aujourd'hui, malgré tout, voilà ce qui me navre
Ces assassins mesquins sont toujours du voyage
Il laisse derrière eux plus qu'un simple carnage
Il laisse derrière eux quelquefois, un cadavre.

Les passions les plaisirs toujours auront un droit
Le viol en aura pas, c'est l'arme des malades
Il faudra l'obliger à ranger ses salades
Pour que l'amour enfin redevienne une foi.

jc blondel


Très beau poème, plein d'émotion et de vrai.
Néanmoins il y'a deux points qui me dérangent dans ton poème: "la petite qui n'est encore qu'une enfant".
Je trouve que ce vers est beaucoup moins fluide que le reste du poème, la diction accroche un peu sur le "qui".
Et une autre chose mais qui doit être une erreur d'inattention je pense: Le viol (n')en aura pas ...

Quoi qu'il en soit, mes remarques n'enlève en rien la beautée et le travail du reste.
Amitiés.
Hadrien.



#356364 Société

Posted by had75 on 09 November 2006 - 04:08 AM in Salon de publication principal

Chaque jour, au matin, de bonne heure au réveil
Le moindre de mes sens se retrouve en éveil
Pour lutter de tout coeur contre ce monde qui veille
Car il est dangereux, même s'il nous émerveille.

La société englobe chacun de ses moutons
Sans même leur laisser une place pour la raison,
Car elle a peur que l'Homme se pose des questions,
Et superpose un autre monde à sa vision.

Notre vie est déjà entièrement tracée,
Car les choix qui garantissent notre libertée
Ne nous appartiennent pas, mais nous sont imposés
Par l'illusion profonde de la réalité.



#356363 Vieil Homme Fatigué

Posted by had75 on 09 November 2006 - 03:45 AM in Salon de publication principal

Merci pour cette réponse.
J'aime beaucoup ton style littéraire.
Je viens de lire ton parcours et cela ne m'étonne pas du tout que tu soit reconnu en tant que poète.
Tu as du talent.
C'est d'ailleur très aimable à toi de me le faire partager par cette réponse.
Félicitation en tout cas.
Hadrien.



#356123 Vieil Homme Fatigué

Posted by had75 on 08 November 2006 - 12:14 AM in Salon de publication principal

« Vieil homme fatigué »

Le regard d’une âme
Posée sur des mots
Les pensées tourmentées
Par leur sens compliquées
Le lecteur lève la tête
Les yeux dans le lointain
S’arrête une minute
Et reprend sa lecture
Avec sur son visage
Les rides de son âge
Et dans ses yeux troublants
La sagesse du temps