De Taimer En Silence
#1
Posted 04 November 2006 - 03:01 PM
Je garde au fond de moi ton merveilleux sourire
Celui qui m’envoûta l’espace d’un moment
Ephémère beauté qui croisa simplement
Mon vieux chemin d’amant et mon âme en délire.
Sous ta robe marron je devinais sans peine
Les formes de ton corps tes appas généreux
Que j’aurai pu frôler sur l’arène d’un jeu
D’un royaume feutré dont tu seras la reine
Avec vingt ans de moins j’oserai les caresses
Allant faire frémir ton corps jusqu’au plaisir
C’est ta main qui viendra provoquer le désir
A mes cheveux blanchis d’un début de vieillesse.
Fantôme d’un amour ange de la passion
Tu passas dans mon ciel en étoile filante
En comète stellaire aux rondeurs affolantes
Et puis tu disparus, filant vers l’horizon.
Outrage d’un printemps qui marque sa présence
Vieillir est un endroit où je ne peux dormir
Ma belle d’un matin princesse en devenir
Mon âge me permet de t’aimer en silence.
jc blondel
#2
Posted 04 November 2006 - 03:49 PM
#3
Posted 04 November 2006 - 07:33 PM
un peu de gaite sur le site ca ne fait pas de mal
amities
jean claude
#4
Posted 04 November 2006 - 10:13 PM
#5
Posted 04 November 2006 - 10:14 PM
hommage au monsieur[attachment=420:attachment]
toi aussi t la pour baiser?
#6
Posted 04 November 2006 - 10:24 PM
sans pâlir de vulgarité ce poème Monsieur JC je l admire...
il me parle.
bravo ... maintenant j'éspère juste que ma lecture ne fut pas trop mauvaise.
tout mon respect
#7
Posted 04 November 2006 - 10:26 PM
#8
Posted 04 November 2006 - 10:31 PM
#9
Posted 05 November 2006 - 12:44 AM
de cette lecture
ca fait drole d'ententre un de ses textes par un autre que soi
amicalement
jean claude
par contre je laisse a zapisski le courage indecent de ses commentaires
le silence est d'or il devrait mediter cette maxime
et tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de sortir une betise
cordialement
jean claude
#10
Posted 05 November 2006 - 01:03 PM
#11
Posted 05 November 2006 - 02:33 PM
Oui.
ça fait drôle de lire un texte dont on fut la muse par une autre personne que celle dont on fut la muse.
Aussi.
Oui.
Il y a des choses qui blessent. Ou plus exactement qui ont blessé. Ecrire est une belle manière d'enterrer tous les mots et les silences. L'écrire est la forme suprême du détachement. Une façon d'être hors de portée, sans games ni notes blanches ou noires à suivre. Etre simplement, dans son propre tempo. Piano. Lontanissimo.
#12
Posted 05 November 2006 - 04:51 PM
detre passe
amicalement
jean claude
#13
Posted 05 November 2006 - 05:10 PM
#14
Posted 07 November 2006 - 10:02 AM
#15
Posted 07 November 2006 - 01:42 PM
pour cet elan du coeur
amities
jean claude
#16
Posted 07 November 2006 - 02:28 PM
Je garde au fond de moi ton merveilleux sourire
Celui qui m’envoûta l’espace d’un moment
Ephémère beauté qui croisa simplement
Mon vieux chemin d’amant et mon âme en délire.
Sous ta robe marron je devinais sans peine
Les formes de ton corps tes appas généreux
Que j’aurai pu frôler sur l’arène d’un jeu
D’un royaume feutré dont tu seras la reine
Avec vingt ans de moins j’oserai les caresses
Allant faire frémir ton corps jusqu’au plaisir
C’est ta main qui viendra provoquer le désir
A mes cheveux blanchis d’un début de vieillesse.
Fantôme d’un amour ange de la passion
Tu passas dans mon ciel en étoile filante
En comète stellaire aux rondeurs affolantes
Et puis tu disparus, filant vers l’horizon.
Outrage d’un printemps qui marque sa présence
Vieillir est un endroit où je ne peux dormir
Ma belle d’un matin princesse en devenir
Mon âge me permet de t’aimer en silence.
jc blondel
C'est un très beau thème, poignant,
traité avec une belle légèreté de rythme
et une pudeur de sentiments.
Artemisia
#17
Posted 07 November 2006 - 03:19 PM
d'etre passe et surtout d'avoir apprecie
amities
jean claude
#18
Posted 10 November 2006 - 02:31 AM
Les métaphores sont très bien choisies, et le poème en lui même est très vivant.
En le lisant, on s'imagine aisément l'instant.
J'ai beaucoup aimé "Vieillir est un endroit où je ne peux dormir".
Amitiés.
Hadrien.
#19
Posted 10 November 2006 - 12:56 PM
malgre quelques fantomes indecents qui voltigent par ci par la
amicalement
jean claude
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