On se connaît mal, un jour on ne se reconnaît plus...
Merci Jean-François.Merci aussi à Marcek et à Hauteur pour ses vers.
A bientôt.
Calli
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There have been 52 items by callinira (Search limited from 28-April 23)
#339909 Un Visage
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on 22 August 2006 - 08:37 AM
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Salon de publication principal
Merci, Carla. Je n'ajoute rien, nous avons dit l'essentiel en privé.
On se connaît mal, un jour on ne se reconnaît plus... Merci Jean-François.
Merci aussi à Marcek et à Hauteur pour ses vers.
A bientôt.
Calli
On se connaît mal, un jour on ne se reconnaît plus...
Merci Jean-François.Merci aussi à Marcek et à Hauteur pour ses vers.
A bientôt.
Calli
#339907 Dune
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on 22 August 2006 - 08:10 AM
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Salon de publication principal
C'est vrai, Béa, il "date" déjà du printemps dernier. Les premiers vers m'en étaient venus sur une dune vendéenne, devant la mer. Merci.
Hauteur, Marcek, merci infiniment de la gentillesse de vos commentaires.
Condor, des vers où je me retrouve. Quel beau sonnet si tu ajoutais deux tercets...
A bientôt.
Calli
Hauteur, Marcek, merci infiniment de la gentillesse de vos commentaires.
Condor, des vers où je me retrouve. Quel beau sonnet si tu ajoutais deux tercets...
A bientôt.
Calli
#339841 Dune
Posted by
on 21 August 2006 - 08:49 AM
in
Salon de publication principal
Dune
Sur l’ocre détrempé de la dune venteuse,
Le jour, déjà figé, grisâtre crayonné,
Hâtif, un peu tremblé, dans le temps étonné,
Laisse entre les oyats une traînée laiteuse.
Une langue de mer, agile, velouteuse,
Dans le contre-jour blanc et noir a floconné.
Quand je me souviendrai de ce jour griffonné,
Que pourrai-je accrocher à sa vague écumeuse ?
La pluie vient s’écraser sur les carreaux salis,
Mon attente a brouillé la page que je lis,
Je regarde sans voir une cime qui bouge.
Nul n’entendra jamais notre cri bâillonné.
Le temps s’écoule, lent, et semblable à la vouge,
Élague, patient, ce long jour griffonné.
20 avr. 06
Les Piérides-2
Sur l’ocre détrempé de la dune venteuse,
Le jour, déjà figé, grisâtre crayonné,
Hâtif, un peu tremblé, dans le temps étonné,
Laisse entre les oyats une traînée laiteuse.
Une langue de mer, agile, velouteuse,
Dans le contre-jour blanc et noir a floconné.
Quand je me souviendrai de ce jour griffonné,
Que pourrai-je accrocher à sa vague écumeuse ?
La pluie vient s’écraser sur les carreaux salis,
Mon attente a brouillé la page que je lis,
Je regarde sans voir une cime qui bouge.
Nul n’entendra jamais notre cri bâillonné.
Le temps s’écoule, lent, et semblable à la vouge,
Élague, patient, ce long jour griffonné.
20 avr. 06
Les Piérides-2
#339471 Un Visage
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on 15 August 2006 - 02:56 PM
in
Salon de publication principal
Un visage
Vague et mouvante image au miroir embué,
Visage nébuleux qu’une lumière douce
Ceint et cajole là où le doigt fin repousse
Une mèche mouillée. Sur le col dénué
De grâce, de candeur, et presque asexué,
Le temps perfide et lent que la fraîcheur courrouce
A mis comme un lacis que la vapeur émousse,
Où pervers, sans pitié, les ans ont sinué.
Le regard a déjà la grave bleuité
De la mer, au couchant, sur les plages d’été,
Dans l’instant désolé où le soleil y plonge.
L’eau coule sur la glace en filets tortueux,
Hésite, se reprend, insolite s’allonge
Et vient frôler la bouche au souffle halitueux.
24 févr. 06
Les Piérides 2
Vague et mouvante image au miroir embué,
Visage nébuleux qu’une lumière douce
Ceint et cajole là où le doigt fin repousse
Une mèche mouillée. Sur le col dénué
De grâce, de candeur, et presque asexué,
Le temps perfide et lent que la fraîcheur courrouce
A mis comme un lacis que la vapeur émousse,
Où pervers, sans pitié, les ans ont sinué.
Le regard a déjà la grave bleuité
De la mer, au couchant, sur les plages d’été,
Dans l’instant désolé où le soleil y plonge.
L’eau coule sur la glace en filets tortueux,
Hésite, se reprend, insolite s’allonge
Et vient frôler la bouche au souffle halitueux.
24 févr. 06
Les Piérides 2
#339451 Sauve-moi !
Posted by
on 15 August 2006 - 04:21 AM
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Salon de publication principal
Elle n'est jamais perdue, Jean-François, la souffrance qu'on sublime. Quand les maux deviennent des mots, la moitié du chemin est faite.
A bientôt.
Calli
A bientôt.
Calli
#333448 La Nymphe Au Doigt Savant
Posted by
on 06 July 2006 - 11:12 AM
in
Salon de publication principal
Goldmund, Lacape, merci à tous deux.
Bien amicalement.
Calli
Bien amicalement.
Calli
#333095 La Nymphe Au Doigt Savant
Posted by
on 05 July 2006 - 01:58 PM
in
Salon de publication principal
Merci, Belvis, je suis heureuse que ce sonnet vous ait plu.
Bien amicalement.
Calli
Bien amicalement.
Calli
#332798 La Nymphe Au Doigt Savant
Posted by
on 04 July 2006 - 09:23 AM
in
Salon de publication principal
Elle a, tout en riant, sacrifié l’onyx
Qui blesse et quand, là-haut, discret lampadophore,
Complice du désir -inassouvi phénix-
La lune, pâle hostie, vient caresser l’amphore
De sa croupe creusée, profonde comme un ptyx,
On peut entendre, rauque et gravement sonore
Une plainte venue comme des bords du Styx :
La nymphe au doigt savant, solitaire, s’honore.
Les rayons font briller sur ses lèvres un or
Dont la flaveur mouillée se perd au frais décor
Confusément discret où s’agite la nixe.
La lèvre dit « assez », la bouche dit « encor »
Et la note qui meurt est lascivement fixe,
Violon violenté au sein d’un septuor.
23-juin-06
Les Piérides 2
Qui blesse et quand, là-haut, discret lampadophore,
Complice du désir -inassouvi phénix-
La lune, pâle hostie, vient caresser l’amphore
De sa croupe creusée, profonde comme un ptyx,
On peut entendre, rauque et gravement sonore
Une plainte venue comme des bords du Styx :
La nymphe au doigt savant, solitaire, s’honore.
Les rayons font briller sur ses lèvres un or
Dont la flaveur mouillée se perd au frais décor
Confusément discret où s’agite la nixe.
La lèvre dit « assez », la bouche dit « encor »
Et la note qui meurt est lascivement fixe,
Violon violenté au sein d’un septuor.
23-juin-06
Les Piérides 2
#332471 Ni Sultane Ni Mulâtresse, Ni Maîtresse
Posted by
on 02 July 2006 - 07:12 AM
in
Salon de publication principal
Culture, aisance... J'ai bien aimé.
Bien amicalement.
Callinira
Bien amicalement.
Callinira
#322315 Cette Faille
Posted by
on 15 May 2006 - 06:28 AM
in
Salon de publication principal
Citation (Remo @ May 14 2006, 08:43 AM) <{POST_SNAPBACK}>
franchement , j'ai beaucoup aimé le premier vers , sa construction et son rythme, mais alors le second fout tout en l'air ... "le corbeau qui criait never more", c'est à la limite du risible. Je te dis ça parce que franchement, le reste est réussi, c'est pas ma tasse de thé, ça ne m'a pas interpellé mais c'est bien écrit ... sauf ce vers.
Je comprends ton étonnement, mais dans ce vers je fais allusion au poème d'Edgar Poe, Le Corbeau (The Raven). Il a été traduit par Baudelaire et Mallarmé. Voici la strophe en question dans la trduction de Mallarmé :
Alors cet oiseau d'ébène induisant ma triste imagination au sourire, par
le grave et sévère décorum de la contenance qu'il eut : «Quoique ta
crête soit chue et rase, non! dis-je, tu n'es pas pour sûr un poltron,
spectral, lugubre et ancien Corbeau, errant loin du rivage de Nuit
- dis-moi quel est ton nom seigneurial au rivage plutonien de Nuit?»
Le Corbeau dit : «Jamais plus!»
Merci de ton commentaire et bien amicalement.
Calli
Héloïse, Jean-François, Erre, Balila, merci infiniment de votre gentillesse.
Deux cents ans, Jean-François ? Deux cents jours, ce serait déjà extraordinaire.
Bien amicalement.
Calli
#321978 Cette Faille
Posted by
on 13 May 2006 - 06:45 AM
in
Salon de publication principal
Cette faille où la chair a l’éclat d’une mauve
Et dont le cœur suintant brille, je veux encore
Que ta langue qui brûle y fouisse et dévore
Ma chaude impatience et ta cruauté fauve.
Le gémir modulé qui monte de l’alcôve,
Dolemment se mourra lorsque viendra l’aurore
Et je songe au corbeau qui criait never more
Dans la nuit pâlissante où le rêve s’ensauve.
Ah ! qu’en adviendra-t-il de cette déchirure
Où tu lapais la vie ? La cruelle biffure
De ces temps éloignés où nous ne serons plus
Me fait peur. Au jardin, les fleurs de la guimauve
Mouillées offrent encore au revers du talus
Cette faille où la chair à l’éclat d’une mauve.
9 avr. 06
Les Piérides 2
Et dont le cœur suintant brille, je veux encore
Que ta langue qui brûle y fouisse et dévore
Ma chaude impatience et ta cruauté fauve.
Le gémir modulé qui monte de l’alcôve,
Dolemment se mourra lorsque viendra l’aurore
Et je songe au corbeau qui criait never more
Dans la nuit pâlissante où le rêve s’ensauve.
Ah ! qu’en adviendra-t-il de cette déchirure
Où tu lapais la vie ? La cruelle biffure
De ces temps éloignés où nous ne serons plus
Me fait peur. Au jardin, les fleurs de la guimauve
Mouillées offrent encore au revers du talus
Cette faille où la chair à l’éclat d’une mauve.
9 avr. 06
Les Piérides 2
#321977 A Quelques Amies Poétesses
Posted by
on 13 May 2006 - 06:40 AM
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Salon de publication principal
Citation (heloise @ May 9 2006, 10:33 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Merci pour cette image
Tes passages se font rare Calli
Bises
Tes passages se font rare Calli
Bises
C'est vrai, tu as raison, mais j'écris assez peu en ce moment. J'ai quelques sonnets récents tout de même...
A tout de suite.
Bises.
Calli
#320881 A Quelques Amies Poétesses
Posted by
on 09 May 2006 - 05:25 PM
in
Salon de publication principal
Calli
#315850 Portrait Chinois
Posted by
on 16 April 2006 - 05:44 PM
in
Salon de publication principal
« Un objet je voudrais être le pot de chambre »
De qui ?
Calli
De qui ?
Calli
#278330 La tragédie
Posted by
on 15 December 2005 - 12:58 PM
in
Salon de publication principal
Deirdre, Carla, merci.
Oui, c'est peut-être sur mon site, je crois qu'il y est.
Merci encore à toutes deux et bien amicalement.
Calli
Oui, c'est peut-être sur mon site, je crois qu'il y est.
Merci encore à toutes deux et bien amicalement.
Calli
#278276 La tragédie
Posted by
on 15 December 2005 - 06:53 AM
in
Salon de publication principal
Merci à tous, bien sincèrement.
Calli
Calli
#277973 La tragédie
Posted by
on 14 December 2005 - 04:06 PM
in
Salon de publication principal
La tragédie
« Dans ce malheur doré, la tragédie culmine. »
Camus
Le soleil en éclats intensément fourmille,
Dans un cliquetis muet ou presque. La beauté
De l'instant me foudroie. Ruisselle, diamanté,
Un jour d'ambre doré sur la mer qui pétille.
Le ciel blanc flambe encor, l'air vibrant qui vacille
Brûle les yeux. Cette poignante immensité
Me nie et je me noie dans le temps arrêté.
Je ne suis de la vie qu'une brève apostille.
Nous n'étions rien, vois-tu, rien, tout juste une trace,
L'herbe qui ploie, foulée sous le talon qui passe.
Rien, ces fleurs de montagne un jour cueillies, fanées,
Puis jetées un matin. Rien, ces mots que j'écris,
Que tu lis. Rien encor, ma vie embruinée,
Ce silence angoissant qui blesse comme un cri.
23-juil.-05
Le Calame 2005
« Dans ce malheur doré, la tragédie culmine. »
Camus
Le soleil en éclats intensément fourmille,
Dans un cliquetis muet ou presque. La beauté
De l'instant me foudroie. Ruisselle, diamanté,
Un jour d'ambre doré sur la mer qui pétille.
Le ciel blanc flambe encor, l'air vibrant qui vacille
Brûle les yeux. Cette poignante immensité
Me nie et je me noie dans le temps arrêté.
Je ne suis de la vie qu'une brève apostille.
Nous n'étions rien, vois-tu, rien, tout juste une trace,
L'herbe qui ploie, foulée sous le talon qui passe.
Rien, ces fleurs de montagne un jour cueillies, fanées,
Puis jetées un matin. Rien, ces mots que j'écris,
Que tu lis. Rien encor, ma vie embruinée,
Ce silence angoissant qui blesse comme un cri.
23-juil.-05
Le Calame 2005
#277968 Poisons
Posted by
on 14 December 2005 - 03:50 PM
in
Salon de publication principal
Merci, Carla.
Bien amicalement
Callinira
Bien amicalement
Callinira
#277928 Poisons
Posted by
on 14 December 2005 - 01:01 PM
in
Salon de publication principal
Ce texte n'est pas très récent. Il fait partie d'une petite série. Je vais essayer de retrouver les autres.
Merci à tous.
Amicalement.
Calli
Merci à tous.
Amicalement.
Calli
#277329 Poisons
Posted by
on 12 December 2005 - 04:25 PM
in
Salon de publication principal
Poisons
Ne portez pas à votre bouche ces arilles, mon ange, non. Voyez ces ifs au cimetière et leur ombre au-delà des pierres. Gardez-vous bien des fruits de l'if, gardez-vous-en quelle misère...
Mais, ami, vous voilà bien pâle. Gardez-vous bien des digitales, avez-vous perdu la raison ? Ces doigts sont vénéneux mon cher, comme les ifs du cimetière, gardez-vous en quelle misère...
Je ne vous trouve pas très gai, qu'avez-vous fait de ce muguet ? Mon âme, est-ce donc un mystère ? Non, non, je ne vais pas me taire. Vous les voyez au cimetière les beaux ifs aux rouges arilles ? Gardez-vous du muguet, mon cher...
Ami, je vous devine inquiet, vous êtes pensif et distrait, avez-vous perdu la raison ? De l'amour est-ce la saison ? Ah ! gardez-vous de ce poison !
2003
Ne portez pas à votre bouche ces arilles, mon ange, non. Voyez ces ifs au cimetière et leur ombre au-delà des pierres. Gardez-vous bien des fruits de l'if, gardez-vous-en quelle misère...
Mais, ami, vous voilà bien pâle. Gardez-vous bien des digitales, avez-vous perdu la raison ? Ces doigts sont vénéneux mon cher, comme les ifs du cimetière, gardez-vous en quelle misère...
Je ne vous trouve pas très gai, qu'avez-vous fait de ce muguet ? Mon âme, est-ce donc un mystère ? Non, non, je ne vais pas me taire. Vous les voyez au cimetière les beaux ifs aux rouges arilles ? Gardez-vous du muguet, mon cher...
Ami, je vous devine inquiet, vous êtes pensif et distrait, avez-vous perdu la raison ? De l'amour est-ce la saison ? Ah ! gardez-vous de ce poison !
2003
#276979 L'ERE DE LA LUNE
Posted by
on 11 December 2005 - 10:36 PM
in
Salon de publication principal
Citation (moonage @ Dec 11 2005, 02:05 AM) <{POST_SNAPBACK}>
remontée en regard de"tes fesses dans le miroir"
Elles font la paire !
Calli
#276870 Tu dors ?
Posted by
on 11 December 2005 - 02:48 PM
in
Salon de publication principal
Tu dors ?
Moi je ne dors pas. Écoute,
écoute…
Tu n’entends pas chanter ? Approche ton oreille
de mes lèvres, approche…
Tu ne sens pas l’odeur
des fleurs
dans le jardin où la nuit a bleui
la pierre du banc ?
Approche tes doigts…
La mousse est douce et tiède encore,
approche…
Tu ne vois pas, dis, tu ne vois pas la courbe de la colline,
Comme un sein, comme mon sein,
ne dors pas…
As-tu goûté, dis, as-tu goûté au miel
des abeilles du Mont Hymette,
oui ?
Goûte-moi comme tu goûtes au miel,
goûte ma ruche
et je bourdonnerai doucement,
mon ventre contre ton dos
si doux, si doux…
Tu bouges, tu ne dors plus ?
Goûte-moi et je te goûterai ensuite,
lentement, longuement,
amoureusement…
Tu veux ? Tu veux…
2004
Moi je ne dors pas. Écoute,
écoute…
Tu n’entends pas chanter ? Approche ton oreille
de mes lèvres, approche…
Tu ne sens pas l’odeur
des fleurs
dans le jardin où la nuit a bleui
la pierre du banc ?
Approche tes doigts…
La mousse est douce et tiède encore,
approche…
Tu ne vois pas, dis, tu ne vois pas la courbe de la colline,
Comme un sein, comme mon sein,
ne dors pas…
As-tu goûté, dis, as-tu goûté au miel
des abeilles du Mont Hymette,
oui ?
Goûte-moi comme tu goûtes au miel,
goûte ma ruche
et je bourdonnerai doucement,
mon ventre contre ton dos
si doux, si doux…
Tu bouges, tu ne dors plus ?
Goûte-moi et je te goûterai ensuite,
lentement, longuement,
amoureusement…
Tu veux ? Tu veux…
2004
#276869 Tes fesses dans le miroir
Posted by
on 11 December 2005 - 02:40 PM
in
Salon de publication principal
#276830 Rondel
Posted by
on 11 December 2005 - 11:48 AM
in
Salon de publication principal
Citation (Condor @ Dec 10 2005, 10:42 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Je ne suis pas tous les jours heureux
Mais c’est la vie il faut j’y passe
Comment sortir un jour de l’impasse
Sinon qu’étant fort et valeureux
J’attends en vain l’amour chaleureux
Qui tiédirait ma vieille carcasse
Je ne suis pas tous les jours heureux
Mais c’est la vie il faut j’y passe
Timide inquiet sauvage et peureux
J’ai dans mes liens une amie en grâce
Mais de m’attendre elle en sera lasse
Je me complais en poète ombreux
Je ne suis pas tous les jours heureux.
10 décembre 2005
Mais c’est la vie il faut j’y passe
Comment sortir un jour de l’impasse
Sinon qu’étant fort et valeureux
J’attends en vain l’amour chaleureux
Qui tiédirait ma vieille carcasse
Je ne suis pas tous les jours heureux
Mais c’est la vie il faut j’y passe
Timide inquiet sauvage et peureux
J’ai dans mes liens une amie en grâce
Mais de m’attendre elle en sera lasse
Je me complais en poète ombreux
Je ne suis pas tous les jours heureux.
10 décembre 2005
Au risque de me répéter
On n’est jamais vraiment heureux,
La nuit s’en vient et le temps passe
Qui sournoisement tout efface
Même les instants savoureux.
On tombe parfois amoureux,
Mais de l’amour même on se lasse.
On n’est jamais vraiment heureux,
La nuit s’en vient et le temps passe.
Nous sommes tous des songe-creux
Et le rêve à la fin se casse.
Croyons-en le poète Horace,
Cueillons le jour même terreux,
On n’est jamais vraiment heureux.
Calli
#276775 Tes fesses dans le miroir
Posted by
on 11 December 2005 - 06:37 AM
in
Salon de publication principal
De la pêche au péché il n'y a qu'un pas.
Merci à tous.
Calli
Merci à tous.
Calli
